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  • « La victoire en chantant » par Télérama
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    Fièvre commémorative oblige, les compilations consacrées au débarquement allié et à la Libération défilent en rangs serrés. Souvent, on y retrouve peu ou prou les mêmes titres : du « Chant des partisans à Paris sera toujours Paris », en passant par « In the mood » et « Lily Marlène », on a un peu l’impression de feuilleter un seul et même album (de famille), avec ses clichés colorisés de foules en liesse, jeunes beautés enchoucroutées et jeeps kaki. Et parfois aussi, des extraits de discours de De Gaulle, Churchill, Pétain ou Roosevelt. Dans le genre, c’est encore « Songs of WW 2 », et la place importante qu’elle accorde à la musique des libérateurs, qui s’en tire le mieux. On y entend les crooners en vogues, Bing Crosby, Tony Martin, Frank Sinatra, et quelques marches martiales habilement mâtinées de swing par les « army bands » du major Glenn Miller et de ses acolytes.Stéphane JARNO – TELERAMA

  • « André Falcon assume avec bonheur la charge de lire ce texte » par Notes Biblio
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    On sait que Jean Cocteau (1889 - 1963), bien que réformé, connut, comme ambulancier volontaire, les horreurs de la guerre de 14-18. Il peut donc les évoquer dans son roman, « Thomas l’imposteur », publié en 1923. Guillaume-Thomas, son héros, seize ans, s’invente une filiation avec le général de Fontenoy. Tombant amoureux d’Henriette de Bornes, il se lance dans les plus folles extravagances. C’est un imposteur, il vit dans le mensonge qui, pour lui, n’est qu’un aspect de la vérité. Contraint d’aller jusqu’au bout de son personnage, il s’engage et est tué sur le front. Le récit se déroule dans l’ordre du merveilleux poétique et bien des thèmes chers à Cocteau s’y retrouvent : « Où est le vrai du faux ? », « L’artifice n’est-il pas nécessaire pour vivre ? ». André Falcon, dont l’enregistrement est de 1955, assume avec bonheur la charge de lire ce texte où l’onirisme se mêle à la réalité. Sa voix est celle d’un artiste sensible.NOTES BIBLIOGRAPHIQUES

  • « Un magnifique CD, intense et serein » par Notes Bibliographiques
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    […] Ce CD a été enregistré le 14 avril 2003. Entre les paroles d’amour et de paix de l’Abbé Pierre, extraites de ses livres et interventions, s’intercalent de courts interludes de piano pour la simplicité et la noblesse de cœur, et de l’électro-acoustique, pour le côté révolutionnaire et avant-gardiste des textes. Puis les cors tibétains incitent à la prière et les deux cultures s’unissent pour un chant puissant (composé au IIe siècle) conduisant à l’éveil et au bonheur de tous. Un magnifique CD, intense et serein. « Si je peux transmettre une certitude c’est décidément, et je ne peux pas dire autre chose, ‘la vie c’est apprendre à aimer’. » (Abbé Pierre)NOTES BIBLIOGRAPHIQUES

  • « The greatest county and Western performer who ever lived » par Dirty Linen
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    Presumably few readers need to be told that Hank Williams was the greatest county and Western performer who ever lived. Williams was master of every genre, from tearjerkers like “Cold, Cold Heart” or humorous pieces of every type (“Move It in Over”, “Fly Trouble”) to gospel (“I saw the Light”) to classic honky-tonk (“Hey, Good Lookin’”). He didn’t have great vocal ability from a technical standpoint, but no one was ever more expressive. This two-CD set gathers 36 great songs, including those named above, for a peculiar cross-section that generally but not consistently avoids the big hits. Sound is excellent, and the notes do a good job of delineating Williams’ sad story. Diehards will eventually want a full-length bio and the complete recordings, but for listeners who want a sampling that includes some of the master’s less-celebrated creations, this set will be sure to please.Duck BAKER - DIRTY LINEN

  • Particulièrement bien servi par l’interprétation sobre de Michel Aumont par lexn
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    "Lus par de grands artistes, ces enregistrements nous font revivre d’une autre manière des textes découverts par le livre seul. Détaché des lignes à parcourir, l’ouie prend le relais pour une autre sensibilité, celle des sonorités des mots, de leurs articulations et de leurs silences. Découvrons tout d’abord « Le Banquet ou de L’Amour» de Platon lu par Michel Aumont. « Le Banquet » est avant tout un éloge de l’amour décliné au pluriel. Les différents discours de ce banquet particulièrement bien arrosé offrent en effet plusieurs manières de désirer le Beau, certaines plus crues que d’autres. Mais par cette réflexion sur l’eros, le « lecteur-auditeur » accède également à une interrogation plus générale sur ce qui mène au Vrai et au Bien. Ce texte fondateur de la philosophie est particulièrement bien servi par l’interprétation sobre de l’homme de théâtre qu’est Michel Aumont." par LEXNEWS.COM

  • Cette très belle lecture fait parfaitement résonner le sens de ce texte majeur p
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    "Lus par de grands artistes, ces enregistrements nous font revivre d’une autre manière des textes découverts par le livre seul. Détaché des lignes à parcourir, l’ouie prend le relais pour une autre sensibilité, celle des sonorités des mots, de leurs articulations et de leurs silences. Le stoïcisme est à l’honneur avec le fameux « De brevitate vitae », De la brièveté de la vie, de Sénèque lu par Jean-Pierre Cassel récemment disparu. Cette très belle lecture fait parfaitement résonner le sens de ce texte majeur qui tend à démontrer que si la vie n’est pas si brève si nous apprenons à la vivre pleinement. Cette leçon de vie comme pratique philosophique est une exigence de tous les instants. Sénèque nous rappelle que nous gaspillons trop souvent notre temps au lieu de réaliser de grandes tâches. Si nous concevons nos journées comme une vie tout entière, la vie ne sera pas brève en raison de sa richesse…" par LEXNEWS.COM

  • Grand prix de l’Académie Charles Cros, cet enregistrement fera en effet date ! p
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    "Lus par de grands artistes, ces enregistrements nous font revivre d’une autre manière des textes découverts par le livre seul. Détaché des lignes à parcourir, l’ouie prend le relais pour une autre sensibilité, celle des sonorités des mots, de leurs articulations et de leurs silences. « Les Essais » de Michel de Montaigne lu par Michel Piccoli ne tiennent pas du rêve mais de deux superbes coffrets de la même Librairie Sonore. Grand prix de l’Académie Charles Cros, cet enregistrement fera en effet date tant la rencontre du texte et de l’artiste tend à la symbiose parfaite ! Cette sélection d’écrits ont fait l’objet d’un travail remarquable de réécriture pour l’oralité. « Que philosopher c’est apprendre à mourir » ou « De l’inconstance de nos actions » sont les fruits d’une réflexion qui ne s’est pas donnée de plan a priori. « Les Essais » occuperont en effet Montaigne jusqu’à sa mort. C’est une nouvelle fois la connaissance de soi qui est au cœur de ces essais de la part d’un human [...]

  • Texte à écouter et à partager pour des instants de vrai bonheur ! par lexnews.co
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    "Lus par de grands artistes, ces enregistrements nous font revivre d’une autre manière des textes découverts par le livre seul. Détaché des lignes à parcourir, l’ouie prend le relais pour une autre sensibilité, celle des sonorités des mots, de leurs articulations et de leurs silences. Pour finir, un texte plus moderne d’Albert Camus, « Le mythe de Sisyphe », lu par Jacques Pradel, est un moment de véritable découverte. Camus reconnaissait que c’est lors de la descente pour rechercher la pierre qu’il aurait à remonter sans cesse que le personnage mythologique de Sisyphe l’intéressait le plus. Conscient de la vacuité des recherches de l’homme, Camus regarde son tourment dont il sait qu’il ne connaîtra pas la fin. Mais c’est également là le génie de ce texte de ne point sombrer dans un pessimisme nihiliste : le regard est tragique car Sisyphe est conscient mais la tâche du héros peut également être joyeuse selon Camus car son destin lui appartient ! La voix de Jacques Pradel met bien [...]

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