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  • « Django Combo » par Arts et Métiers Magazine
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    Dans la mouvance du jazz manouche et la descendance de Django Reinhardt : une formation initialement en duo (Marc Joubert, guitare solo et Jean-Charles Mater, guitare rythmique – Duo Gadjo Combo, début des années 2000), puis en quatuor avec Philippe Plassard, violon et Serge Saussart, basse acoustique. Un enregistrement tout récent réalisé, « à la maison », par Marc Joubert, lui-même. JD – ARTS ET METIERS MAGAZINE

  • « Gadjo c´est une histoire d´amour et d´amitié » par The Lion
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    Encore une étiquette « Swing » qui n´est pas usurpée. Du swing le Gadjo Combo en a à revendre. Gadjo c´est une histoire d´amour et d´amitié : amour de la musique de Django Reinhardt, amitié de deux hommes venus de Frache-Comté : Marc Joubert, guitariste soliste issu du rock et Jean-Charles Mater guitariste rythmique. Ils ont crée en 2000 un duo, rejoint en 2003 par le violoniste Philippe Plassard et le contrebassiste Serge Saussard. Ils se consacrent au jazz manouche inscrit dans la tradition de Django. Ayant parfaitement assimilé la technique et le style de leur génial modèle, héritiers respectueux mais non plagiaires ils jouent une musique spontanée, fraîche, vivante, colorée et jubilatoire sur Modern`Swing (LLL322). Ils interprètent deux thèmes de Django et onze compositions de Marc Joubert, fidèles à l´esthétique manouche mais marquées de sa propre personnalité. Un disque illuminé par la joie éprouvée à jouer et improviser ensemble, qu´ils nous transmettent généreusement.  THE LION

  • « Un florilège bien présenté des grands du jazz » par Arts et Métiers Magazine
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    Rappel détaillé des origines, composition d´un orchestre de jazz, mise en évidence de ce qui différencie ce dernier des autres formes et traditions musicales, analyse claire et pertinente des morceaux inscrits au programme de ce disque : tout cela figure dans le remarquable texte de présentation de Jacques Morgantini. Et justement : savoir « comment cela fonctionne » permet d´apprécier davantage, dans ce domaine, les apports respectifs des grands maîtres du jazz… Ceux des Louis Armstrong, Duke Ellington, Count Basie, Lionel Hampton, Sidney Bechet par exemple.JD – ARTS ET METIERS MAGAZINE

  • « Frémeaux mérite plus que jamais son titre d´éditeur du patrimoine sonore ! » p
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    Frémeaux mérite plus que jamais son titre d´éditeur du patrimoine sonore ! Quelques pages (format livret) de Jacques Morgantini, un CD et on sait sinon tout, du moins l´essentiel sur ce qu´est le blues ! 12, 16 ou 8 mesures, rural ou électrique. Deux objets pour le prix d´un, puisqu´on pourrait très bien se contenter d´écouter la sélection du CD, ce qui viderait le boulot de tout son sens : non seulement il faut lire en même temps, mais le mieux est de faire une photocopie du tableau représentant les schémas pour bien suivre le propos. Count Basie, Lightning Hopkins, Muddy Waters, Big Bil Broonzy, Bessie Smith et les plus grands sont là pour ce petit rattrapage pédagogique. Ce disque trouvera-t-il son public ? C´est pourtant un sacré « pied à l´étrier » pour qui veut tenter de comprendre, de savoir, même avec le blues – l´essentiel est certainement pour l´auditeur comme pour l´auteur, l´instinct ! Très flatteur pour nous, petits Français, la seconde partie de ce « traité » sur le [...]

  • « Une véritable ‘carte postale sonore de l´intérieur d´Arletty’ » par Eléments N
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    Il est des courriers qui vous arrivent avec des années, voire des décennies de retard. Ainsi de ces entretiens enregistrés en 1982 par Marc Laudelout, véritable « carte postale sonore de l´intérieur d´Arletty », comme les définit très bien Patrick Frémeaux, éditeur du document. A l´époque, la Grande Dame du cinéma français avait déjà été frappée de cécité et vivait loin des scènes et des tournages, en insomniaque, dans un appartement sans télévision. Elle n´en était pas pour autant en rupture avec l´actualité, toujours attentive et considérant avec sérieux et fatalisme l´évolution de son hexagone natal. Prêter l´oreille à cette voix surgie d´un siècle autre, c´est replonger dans une époque révolue, mais vivace à l´esprit de ceux qui l´ont connue : la France de Carné, le « Karajan de l´écran », et des saillies de Guitry. C´est aussi aller à la rencontre d´un tempérament fièrement trempé, dont le phrasé est toujours libre et le rire indéfectiblement cristallin. Face au micro, Arlett [...]

  • Le chamamé : tradition et originalité par Ouest France
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    "Si, pour la bonne société argentine, le chamamé c'est « la musique des domestiques », pour les Indiens guaranis du sud-est du pays, c'est une musique spontanée, légère, joyeuse, l'expression de leur panthéisme, et la synthèse entre leurs airs traditionnels et les musiques apportées par les immigrants européens (valse, mazurka, polka). « Tout au long de ma vie, j'ai fait des morceaux avec beaucoup de joie, dans la tonalité majeure de mas ancêtres. » Mais pas uniquement. Qu'il pense aux malheurs des hommes, la tonalité devient mineure, le chamamé se fait plus syncopé, à écouter plus qu'à danser. Comme Carlos Gardel avec le tango, Raul Barboza a fait du chamamé une musique de concert."par Ouest France

  • « Le ‘chamamé’ » par Télérama
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    Jusque chez les Indiens guarani d´Argentine, l´accordéon a colporté ses mixtures de valse et de polka nommées « chamamé ». La bonne société de Buenos Aires décida alors que c´était une « musique de domestiques » avant de succomber, elle aussi, à ces danses de la pampa qui voguent de gros soupirs en primesautière gaieté avec un goût certain pour la méditation.TELERAMA

  • « Un excellent livret définissant bien le style harlémite » par Audio Vidéo
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    Ce double CD est une anthologie de ce que furent les grandes heures de Harlem, avant que le jazz, la soul music, l´entertainment en général, qui faisaient la gloire de ce quartier noir de New York, n´émigrent vers Broadway, autre quartier de New York, mais blanc, celui-là, et sous la coupe des puissances d´argent du showbiz.  Avec un excellent livret définissant bien le style harlémite (piano stride, jam-sessions, compétitions et rencontres entre musiciens, swing, sensibilité, émotion, feeling) dû au talent de Jacques Morgantini, cette anthologie fait revivre merveilleusement l´âge d´or de Harlem, grâce à certains enregistrements rares. Ainsi un « Tuxedo Junction », par Erskin Hawkins, où une chanteuse, sifflée par le public. Ces temps-là sont bien révolus. Michel BEDIN – AUDIO VIDEO

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