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  • L'âge d'or du genre par Centre France
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    Avec Scotto, Marseille montait à Paris sur l'air de l'impérissable "Un de la Cannebière" comme le rappelle "La gloire de l'opérette, 1922-1937", coffret de deux disques paru chez le même éditeur. C'est l'âge d'or du genre avec "Phi-Phi" et "Dédé", de Christiné, "L'amour masqué", de Messager, "La veuve joyeuse" et "Le pays du sourire", de Léhar, "Rêve de valse", d'Oscar Strauss, "Ciboulette", de Hahn, "L'auberge du cheval blanc", de Benatzky. Parfums d'époque, avec Yvonne Printemps, Georgel, Lina Dachary et Alibert. Et l'on y entend Ninon Vallin, la plus grande cantatrice française du XXe siècle, dans un extrait d'"Une revue" de Raynaldo Hahn et de la "Veuve joyeuse", mais aussi Richard Tauber, prestigieux ténor, dans le "pays du sourire". Heureuse époque où les plus beaux représentants de l'art lyrique ne pensaient pas déchoir en abordant ce type de répertoire, bien au contraire ! CENTRE FRANCE

  • Une belle tranche de répertoire par La Croix
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    Alors que Mistinguett fait les beaux jours de l'Opéra-Comique, façon Savary, les éditions Frémeaux proposent une belle tranche de répertoire à la gloire de l'opérette. Le genre reprenait des couleurs, au sortir de la Grande Guerre et redescendit alors dans la rue. Dans la vie faut pas s'en faire n'a pas été chanté par Maurice Chevalier; Ce double album aux couleurs roses du souvenir permet d'écouter Yvonne Printemps, Alibert, ou Georges Milton, créateur de l'Auberge du Cheval-Blanc. Les influences viennoises sont au programme, ainsi que les airs d''Amérique. Sans oublier Dranem et sa Phi Phi. Le livret s'ouvre par une préface de Jacques Rouchouse rappelant l'histoire du genre opérette. R.M. - LA CROIX

  • La Gloire de l'operette par Platine
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    La gloire de l'operette, voilà un double CD pour tous les passionnés d'Yvonne Printemps, Ninon Vallin, André Baugé, Georges Milton, Georgel,  Dramen, Alibert, Lina Dachary... Ces derniers et bien d'autres chantent : C'est une gamine charmante de Phi-Phi, l'heure exquise de La Veuve joyeuse, les airs de Rose-Marie, Old man river de Mississipi Show Boat, Dans la vie faut pas s'en faire de Dédé, La fille du Bédoin du comte Obligado, Cane, cane, Canebière d'Un de la Canebière... On retrouve les signatures de Christiné et Willemetz Messager, Yvain, Moretti, Van Parys, Scotto et Sarvil, St Granier, Hammerstein et Kern, Léhar et de Flers ou Mauprey, Strauus et Xanrof... PLATINE

  • Une maîtrise parfaite des effets par l'Express
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    Les étiquettes, ça vous colle à la peau. Même 22 ans après sa mort, et 74 ans après ses premiers triomphes discographiques, Marise Damien, dite Damia, sera toujours la Tragédienne de la chanson. Qu'importe qu'elle ne soit pas cantonnée au répertoire dramatique (des trucs comme Ploum, ploum, ploum visait à la rapprocher de Fréhel, qui avait la faveur du populo), c'est dans le registre du pathos qu'elle s'est forgée une légende. Il suffit de parcourir les 36 titres de Damia 1926-1944 ( Frémeaux et Associés FA 167/Importation) pour s'en convaincre. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on ne rigolait pas outre mesure, chez Damia. Oscillant dangereusement entre le mélo et le macabre, entre l'eau de vie et l'eau de rose, des tableaux comme La veuve, Tout fout l'camp, La hantise, La malédiction, J'ai l'cafard exigeaient une maîtrise parfaite des effets pour passer la rampe. Le fait qu'une invective comme La suppliante puisse encore nous prendre aux tripes aujourd'hui est bien la preuv [...]

  • Le plus beau chanteur de charme français par Le Figaro
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    Séduisant, séducteur, sublimement généreux, Réda Caire fit tourner des têtes et des coeurs pendanr des lustres. Un très beau double CD pour découvrir le plus beau chanteur de charme français - ou se souvenir. Bertrand DICALE / Jean-Luc WACHTHAUSEN - LE FIGARO

  • Son chant d'une qualité sans rivale par Phonoscopies
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    En janvier 1938, Ribadeau-Dumas &eacute;crivait : &quot;Depuis longtemps nous avons dit que R&eacute;da Caire n'avait pas la place qu'il m&eacute;ritait. Son chant d'une qualit&eacute; sans rivale, sa prestance, lui m&eacute;ritent un sort meilleur encore que celui de Tino Rossi.&quot; Il est vrai que le ph&eacute;nom&eacute;nal succ&egrave;s du chanteur corse a longtemps fait de l'ombre &agrave; tous les autres. Une remise en perspective s'impose aujourd'hui. Parmi les 36 titres s&eacute;lectionn&eacute;s par Andr&eacute; Bernard figurent les faces totalement introuvables enregistr&eacute;es chez Decca et Lutetia ainsi qu'un in&eacute;dit Music-Monde datant de 1948. PHONOSCOPIE

  • L'élégance du timbre par Le Monde de la musique
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    Peu de chanteur ont su comme Réda Caire allier le romantisme à la retenue. Né Joseph Gandour-Bey en 1905 au Caire, d'un père égyptien et d'une mère française, il avait su trouver l'exacte mesure entre douceur et bon goût, après avoir fait ses classes dans l'opérette et la bluette. L'art de Réda Caire est un art du sentiment qui ne déborde jamais. Prédécesseur de Tino Rossi, il ne participa pas à son escalade effrénée au sommet du pain de sucre de la chanson française, mais incarna, autant dans l'élégance du timbre et la qualité du répertoire que dans la mesure au cours des échappées exotiques, un possible équivalent français de Caros Gardel. Sa seconde carrière, après que son étoile romantique eut quelque peu pâli, le conduisit dans les années 50-60 à élargir son répertoire jusqu'à une étonnante versionde Monsieur mon passé de Léo Ferré, présentée ici. Bertrand DICALE - LE MONDE DE LA MUSIQUE

  • Une joie de vivre par Trad Magazine
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    Si les musiques traditionnelles sont celles que l'on chante en travaillant, que l'on dance ensemble, qui trouvent leur place dans la fête... Alors la nuance avec les musiques populaires n'est pas prête d'être clarifiée ! La période du Front Populaire fut une époque terrible (depuis 1932-1933), avec chômage et misère à la clé. Mais paradoxalement elle fut aussi celle des espoirs politiques et d'une joie de vivre débridée, d'un goût pour les bals et la fête, jusqu'au coeur des usines en grève. Mes parents et mes grands-parents ont toujours mélangé les chansons traditionnelles qu'ils m'ont apprises avec la fantaisie presque surréaliste de Ray Ventura, la musette d'Albert Préjean et l'une des mazurkas les plus délicieuses que j'aie entendues était "la Tonkinnoise" popularisée par Joséphine Baker, jouée au violon avec le coup d'archet du rigaudon par Emile Escal, du Champsaur. Ces mélodies ont servi à remplir les cahiers de chansons de l'entre-deux-guerres, où cultures urbaine et paysa [...]

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