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  • Les historiens y trouveront leur compte par Libération
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    Non, il ne s'agit pas de la compil paresseuse rééditant éternellement les mêmes titres archi connus. Ces deux CDs sont voués aux chansons françaises des films parlants. Plein de noms sur des affiches retrouvent une voix : Jeanne Boitel, Meg Lemonier, la grande Margo Lion (elle faisait carrière à Berlin, retournée en France avec le nazisme elle n'eut droit qu'aux seconds rôles), Roland Toutain, Kate de Naguy, Giga Manès. Beaucoup d'enregistrements reprennent la bande sonore du film et non le disque. Les historiens y trouveront leur compte, les cinéphiles et les amoureux de la chanson aussi, bien sûr. Hélène HAZERA-LIBERATION  

  • Sélection de Noël par Télérama
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    Un cadeau que les enfants pourront faire à leurs grands-parents : Jean Sablon et un grand orchestre jazz passent "Sur le pont d'Avignon", Ray Ventura et ses collégiens reprennent aux Sept Nains "Siffler en travaillant" et visitent "Le Vieux Château", de Mireille et Jean Nohain... "Mon oncle a tout repeint", de Marianne Oswald, "Au clair de la lune", version Yvonne Printemps, figurent encore parmi les friandises de ce petit coffret, à déguster en famille. TELERAMA

  • Les ritournelles invincibles par Le Monde
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    Jean Sablon a chanté Sur le pont d'Avignon en version swing, et Yvonne Printemps, Au clair de la lune. Ray Ventura faisait rire la galerie avec Les Chausettes de l'archiduchesse, Mireille faisait s'écarquiller les yeux avec Les trois Petits Lutins, et Jonnhy Hess donnait des fourmis dans les pieds avec Coco le corsaire. Dans cet album, on trouvera le talent de Jean Nohain, la drôlerie du jazz récréatif de Ray Ventura, la tendresse voilée de Marie Dubas et de Lys Gauty. L'équipe du label Frémeaux a fait le tri, extirpant les fadaises pour ne garder que les ritournelles invincibles, avec en exergue, une phrase de La Bruyère : "Les enfants n'ont ni passé ni avenir et, ce qui ne nous arrive guère, ils jouissent du présent." La génération bébé-techno, tortues Ninja et Biker Mice, adorera réviser Siffler en travaillant (Du dessin animé Blanche-Neige et les sept nains, version française de Ray Ventura), fera du zapping en boucle sur le Lycée Papillon de Milton, et fredonnera Papa n'a pas [...]

  • J'ai deux amours, mon pays et Paris... par Jukebox
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    Entre les deux guerres, Josephine Baker, née à St-Louis, Missouri, en 1906, révolutionne avec sa Revue Nègre. Ses danses nues (le fameux pagne de bananes) indiquent un changement de moeurs. La France devient son port d'attache, elle chante "J'ai deux amours, mon pays et Paris"; et épouse Jo Bouillon. En Dordogne, elle élève douze enfants adoptés. Elle décède le 12 avril 1975. De sa carrière, il reste des reportages, des films et des chansons dont 36 constituent le CD double "1927-1939" (Frémeaux). JUKEBOX

  • Un beau témoignage par Sud-Ouest Dimanche
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    Edith Piaf 1935-1947 est une compilation en forme d'album double, accompagnée d'un livret assez complet sur les débuts de la Môme, avec des classiques tels que l'accordéoniste; Mon légionnaire ou Mon coeur est au coin d'une rue. D'emblée, la voix de Piaf est présente et nous permet de retrouver non sans plaisir ces mélodies signées Michel Emer, Jonnhy Hess, complice de Charles Trénet, ou encore Albert Lasry, sans oublier Léo Poll, le père de Polnareff. Un beau témoignage sur la "troubleuse d'ondes", comme Henri Jeanson la surnommait. SUD-OUEST DIMANCHE

  • Anthologie Jean et Ferdinand Gabin (Frémeaux) par Première
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    Une idée pour les amateurs : réunir en un double CD, la compil' des chansons de Jean Gabin (qui, comme on le sait pas toujours, a démarré sa carrière en tant qu'artiste de cabaret, notamment aux côtés de Mistinguett, soit de Quand on s'promène au bord de l'eau jusqu'à Jeeeeee sais) avec celle de son papa, fameux chanteur de café-concert de la fin du siècle dernier. PREMIERE 

  • Délicieux et magnifiquement restauré par Le Figaro
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    Comme Paul Meurisse ou Bourvil, Jean Gabin est venu au cinéma par la chanson, la revue et le music-hall. Voici  l'intégrale de ses vingt-neuf enregistrements phonographiques, les duos avec Mistinguett (1928) comme les succès de scène (Léo Léa Elie, C'est chouette d'être un monsieur) et , évidemment l'indispensable Quand on s'promène au bord de l'eau, tiré du film La Belle équipe de Duvivier en 1936. En 1974, deux ans avant sa mort, il devait accepter de revenir dans un studio pour enregistrer Maintenant je sais, chanson parlée qui marquait une sorte d'adieu au show business. Ce dont l'on se souvient encore moins, c'est que Jean Gabin était le fils de Ferdinand Gabin, fantaisiste réputé, dont dix-sept titres (cylindres et disques de 1896 à 1906) complètent ce double CD : un supplément délicieux et magnifiquement restauré. LE FIGARO

  • Un superbe coffret par Le Film Français
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    Il était l'homme de la rue, l'homme de tous les jours, le mécano, le cheminot, le manoeuvre, l'ouvrier, le marlou... Il était celui que l'on croise dans la rue, dans le métro, au bistrot, à l'usine, place Pigalle, dans les rues de Londres, Rome, New York... Jean Alexis Moncorgé, alias Jean Gabin, réunissait ce tour de force d'être universel tout en restant essentiellement français et qui plus est "parigot". La grandeur de Gabin, c'est d'avoir fait accéder cet homme de tous les jours à la tragédie, de l'avoir intégré aux grandes légendes de la douleur des hommes poursuivis par le destin et la fatalité. Pour célébrer ce comédien d'exception, l'éditeur musical Patrick Frémeaux publie un superbe coffret de deux CD, où l'on retrouve la face cachée de Jean Gabin, celle du chanteur. Un Gabin qui était, comme aimait à le souligner son ami Jacques Prévert, synchrone de la tête aux pieds. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si, vers la fin de sa vie, son dernier grand succès fut une chanson ( [...]

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