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  • « Tout simplement magique » par L’Alsace
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    « Si ce copieux coffret ne renferme qu’une partie du monde musical du regretté Michel Legrand (1932-2019), il invite à suivre son incroyable itinéraire instrumental allant de 1953 à 1962. Legrand joue Aznavour, Nougaro, Gershwin ou Cole Porter. Il passe du jazz aux musiques de films (Le Cave se rebiffe, Eva, Lola, etc.) et dirige de main de maître quantité de grandes formations. Tout ceci pétille follement avec la reprise d’albums du temps de Big Mike comme le très romantique I Love Paris, puis le tropical Legrand In Rio, le séduisant De Marlène à Marilyn et le spectaculaire Broadway Is My Beat. Les standards côtoient les stars, Michel Legrand trouvant souvent le cinéma au bout de sa baguette. Et c’est tout simplement magique. » Par Thierry BOILLOT – L’ALSACE

  • « Donne de l’ethnographie une image passionnante » par Daily Passions
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    « (...) Je ne saurais trop vous recommander d’offrir ce coffret aux gens que vous appréciez. Parce que c’est Germaine Tillion et pour au moins deux autres raisons. L’indéniable qualité de la lecture d’abord. (...) Ensuite la qualité du travail accompli. Elle donne de l’ethnographie une image passionnante. Et offre surtout cette impression de poser plus de questions sur les autres et nous-mêmes que d’apporter des réponses « apaisantes ». (...) A la fin de ce récit, Germaine Tillion demande : qui a raison l’Ancien Testament ou le Coran ? Si vous avez une réponse toute prête, posez-vous la question : est-elle assez et correctement argumentée ? Vous serez alors en bonne voie pour faire des recherches… comme je pense tout bon ethnologue… »Par Noé GAILLARD – DAILY PASSIONS

  • « Une réédition soignée » par Musikzen
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    « Vous avez dit « crossover » ? Quand Menuhin jouait et enregistrait avec Shankar et que la 5ème de Beethoven se la jouait rock avec le groupe Ekseption, Jacques Loussier obtenait un succès colossal avec son « Trio play Bach ». Moins connu, son album consacré en 1962 aux airs les plus fameux de Weill, également arrangés pour le trio qu’il formait, lui au piano, avec Pierre Michelot à la contrebasse et Christian Garros à la batterie, méritait amplement cette réédition soignée – d’autant plus avec cette sonorité bastringue ! Trois ans plus tôt, il s’attelait à un arrangement de la Toccata et Fugue en ré mineur qui ne manque pas non plus de panache. Élève niçois de Duruflé, Claude Bolling, jazzman réputé dès les années 1950, n’a pas son pareil pour faire danser les classiques : pour preuve cette Sonate « Au Clair de lune » de Beethoven et ce « Bach to swing » au clavier si léger. Pianiste, chef d’orchestre et compositeur, André Prévin se sera distingué dans tous les domaines. À ses p [...]

  • « Ce CD illustre la subtilité et l’autorité du grand chef » par l’Humanité
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    « Synthèse des volumes 1 et 2 de Négropolitaines (1989 et 1992), produits sous la houlette de l’historique manager africain André Gnimagnon, ce CD illustre la subtilité et l’autorité du grand chef, en matière de fusion entre legs africain, jazz et autres éléments afro-américains, mijotés selon sa propre recette. Avec la connivence des plus fins planteurs de groove africains (Justin Bowen, les frères Sabal-Lecco, André Manga, Etienne Mbappé…), décisifs dans l’essor d’une musique africaine résolument moderne, le géant « afropéen » combine compositions et adaptations de standards, dont Pata Pata (popularisé par Miriam Makeba) et Indépendance Cha Cha (de Joseph Kabasele). »Par Fara C –L'HUMANITE

  • « Un somptueux collier de classiques »
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    « Un somptueux collier de classiques, Si tu t’imagines, les Feuilles mortes, Chanson pour l’Auvergnat… Et des titres moins connus à (re)découvrir, tels la Rue des Blanc-Manteaux (de Sartre/Kosma), Ça va (le diable) (Brel) et Java partout (Ferré). Avec la muse mutine, on se promène à travers des auteurs et compositeurs majeurs du XXe siècle, comme Queneau, Aznavour, Sagan, et même Mauriac et Desnos. »Par Fara C –L'HUMANITE

  • « Un très beau travail » par Ludwig-van.com
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    « Qu’est-ce que le jazz vient faire dans une chronique consacrée à la musique classique ? La réponse suivra sous peu, mais bien des musiciens de la note bleue ont été formés au Conservatoire de musique ou ont intégré des pulsions classiques, comme le firent Duke Ellington et son alter ego Billy Strayhorn avec la relecture de Casse-noisette, Charlie Parker citant parfois Stravinski tout comme Art Tatum, Spike Jones et ses City Slickers dans une version déjantée de La danse du sabre, Keith Jarrett parfois, le prodige/trompettiste Wynton Marsalis aussi à l’aise avec son Lincoln Jazz Orchestra que dans le répertoire baroque, sans oublier Le Modern Jazz Quartet. Avec cette nouveauté qui tombe à point, nous allons examiner et plus écouter les débuts du maillage entre le classique et le jazz, bien avant la réunion du pianiste Claude Bolling avec le flûtiste Jean-Pierre Rampal, le trompettiste Maurice André, le guitariste Alexandre Lagoya et le violoncelliste Yo-Yo Ma. Dans ce doublé, vou [...]

  • « Les Tables de la Loi du blues... » par DNA
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    « Robert Johnson, en parler, c’est bien. L’écouter, c’est mieux. Le label Frémeaux et Associés compte à son catalogue l’intégrale des enregistrements réalisés par le bluesman, d’abord à San Antonio, puis quelques mois plus tard à Dallas. Soit 29 titres en un coffret de 2 CD. Les Tables de la Loi du blues... »Par Serge HARTMANN – DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE

  • « La voix mettait en évidence des mots que je n’aurais pas retenus à la lecture
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    « J’ai écouté votre audio « Trouve le verbe de ta vie » que j’avais déjà lu comme livre. C’était magique ! La voix était un chant qui m’emmenait vers des lieux pas trop connus de moi, elle me montrait des paysages, ses couleurs, me promenait ici et là, faisant des pauses, histoire de laisser le verbe résonner en l’intime. La voix mettait en évidence des mots que je n’aurais pas retenus à la lecture, elle mettait du sens là où je n’allais pas… » Témoignage de Camille C.

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