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  • « Une exceptionnelle virtuosité » par Jazz Hot
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    « Dans le registre de la musique de Django, voici un excellent enregistrement porté par une culture populaire qui continue de rayonner en Europe par sa qualité et le nombre élevé de musiciens de talent qui la transmettent. Ici, nous avons le très expressif Tcha Limberger, dont le violon semble traduire l’histoire et l’âme de l’Europe, en particulier dans des aigus d’une sensibilité extrême et par une sonorité profonde. L’autre soliste de cette rencontre est Mozes Rosenberg, le frère de Stochelo Rosenberg, une de ces grandes familles tziganes (de Hollande) qui transmet la musique de Django avec une exceptionnelle virtuosité, une qualité totalement maîtrisée pour donner à la musique la plénitude expressive nécessaire. Mozes est donc non seulement très brillant mais aussi parfait de clarté dans ses chorus («Someday You'll Be Sorry»), ses contre-chants («I Surrender Dear»), ses échanges («Topsy») avec Tcha Limberger. La rythmique assurée par le fondamental Sébastien Girardot et par Da [...]

  • « Du pur jazz intemporel » par Jazz Hot
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    « Il s’agit de la réédition du vinyle Jazz Odyssey 012 mais les titres sont placés dans l'ordre du déroulement des deux séances en y insérant à leur place, des morceaux qui ne figurent pas dans le 33 tours original («Three Little Words», «Indian Summer», «Al & Billy Fast Blues») et une prise alternative de «Who». (…) C'est Hugues Panassié qui a eu l'idée de cette séance avec une instrumentation inhabituelle. La réalisation étant déléguée à son fils Louis. Décédé le 8 décembre 1974, Hugues Panassié a eu l'opportunité d'en apprécier le résultat et de rédiger le texte reproduit dans le livret. Le disque est à la hauteur de l'estime qu'il portait à ces trois musiciens (…), loin de toute considération de «figue moisie», propose une musique pure, hors mode. Le swing est paisible dans «Tea for Two» exposé par Al Casey (qui opte pour quelques inflexions à la Django, son guitariste préféré selon Panassié). Dans «St. Louis Blues», c'est Billy Butler qui expose le thème avec des effets music [...]

  • « Ces faces deviennent indispensables » par Jazz Hot
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    « L'orchestre de Woody Herman, qui survit à son chef, a fait preuve d'une grande longévité et fait mentir le cliché de la fin des big bands après ladite Swing Era. Dans cette période 1939-1962, l’œuvre de Duke Ellington et Count Basie, ainsi que la virgule aussi dynamique que créative du big band de Dizzy Gillespie en 1946-49, nous semblent plus indispensables que celle de Woody Herman (avis non partagé par feu Leonard Feather). L'orchestre n'a d'ailleurs pas un «son» personnel comme ceux signalés et celui de Jimmie Lunceford si l'on excepte la couleur trois sax ténor+1 baryton à partir de 1947. Le clarinettiste Woody Herman, pas ridicule, n'a pas la virtuosité de Benny Goodman et d'Artie Shaw ni l'étrange créativité de Pee Wee Russell. Mais aujourd'hui, où d'infiniment plus virtuoses que ces Herds qui sont pourtant, à leur époque, avec les éléments de Stan Kenton parmi les maîtres de la technique, sont incapables d'émettre un phrasé balancé, ces faces deviennent indispensables. ( [...]

  • One of the finest New Orleans-style clarinetists on the scene Los Angeles Jazz S
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    "One of the finest New Orleans-style clarinetists on the scene during the past 20 years. (…) The quartet was a classic group in which Christopher and his sidemen brought out the best in each other. (…) The quartet was a classic group in which Christopher and his sidemen brought out the best in each other."By Scott YANOW – THE LOS ANGELES JAZZ SCENE

  • « Le testament musical » par France-Antilles
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    « Stellio : le testament musical. Entamée en 1994, l’épopée discographique conçue par Jean-Pierre Meunier pour restituer le patrimoine musical des musiciens antillo-guyanais qui ont bâti «l’âge d’or» de la biguine à Paris, s’achève en 2020 avec le plus illustre d’entre eux : Alexandre Stellio. Un coffret de 83 titres dont ses derniers enregistrements datés de 1938, soit une année avant sa mort. (...) Dans une interview qu’il nous avait accordée en 2019, Jean-Pierre Meunier expliquait pourquoi il voulait mener à bout ce nouveau chantier discographique : « Depuis très longtemps, j’avais le projet de rééditer ses dernières œuvres, enregistrées de 1932 à 1938, pour compléter le premier coffret de 40 titres paru chez Frémeaux en 1994. Pour l’instant, il me manque 5 titres seulement sur les 88 qui restent, mais j’ai décidé de passer quand même à la réalisation pour commémorer le 80e anniversaire de la mort de Stellio ». Avec le soutien de Frémeaux & Associés et de la CTM, M. Meunier a p [...]

  • « Amateurs de musiques plurielles » par Paris Move
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    « Publié en vinyle 25 cm avec pochette verte post-cubique par Paris Jazz Corner quand les disquaires avaient encore pignon sur rue au quartier latin, Cocktail D’Amour illustre à merveille la formule de Boris Vian: “En France, le blues a trois temps et s’appelle musette”. Dominique Cravic et Didier Roussin, guitaristes zinzins du musette du Paris canaille des années 30, profitent du séjour français de Robert Crumb (banjo chez les Cheap Suit Serenaders, table à dessin chez Zap Comics), invité du festival de BD d’Angoulême en 1986, pour lancer l’aventure des Primitifs Du Futur. Leurs accompagnateurs, professionnels (références chez Dee Dee Bridgewater, Lee Konitz, Toots Thielemans), sont aussi amateurs de musiques plurielles. “Accordéon Jo”, reprise de “Joe” Cornell Smelser (1930) et non Jo Privat comme crédité depuis la réédition de 2002, permet à la virtuose Florence Dionneau de sortir son instrument de l’ornière dans laquelle l’avaient plongé tant de besogneux du dépliant. “Eddie [...]

  • « Auberge espagnole d’inrockuptibles Parigots » par Paris Move
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    Ce troisième album des Primdufs voit le guitariste Dominique Cravic (Henri Salvador, Olivia Ruiz, Georges Moustaki), privé de son duelliste Didier Roussin emporté d’une tumeur au cerveau en 1996, réunir le plus incroyable des castings transgenres. Amuseurs publics (Fay Lovsky, scie musicale), scatteurs délurés (Daniel Huck, saxophone alto) et autres officiers de réserve font cause commune pour hisser haut un genre décrié : le musette métissé d’influences tziganes et jazz d’Emile Vacher puis de Gus Viseur. Ici, le nombre devient une qualité. Hommage avec amour et humour à Robert Crumb, “Portrait D’un 78tard” chante le barbon collectionneur compulsif des artworks de The Stuff That Dreams Are Made Of (2006) et Chimpin’ The Blues (2013). L’accordéoniste Daniel Colin et l’oudiste Mohammed El Yazid Baazi semblent avoir trouvé leur chemin de Damas sur “C’est La Goutte D’or Qui Fait Déborder La Valse” (orientale) où ils se questionnent/ répondent sans avoir l’air d’y toucher… Prodrome d’u [...]

  • « Profitez de cette version pour vous familiariser avec la mythologie romaine »
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    « Énée, les cruciverbistes ne connaissent que lui (et Io bien sûr) mais vous ? L’avez-vous vu portant son père Anchise sur ses épaules et fuyant Troie ? Peut-être. Mais la suite ? Virgile (70 av. J. C. – 19 av. J.C.) l’a racontée. Daniel Mesguich la lit/interprète dans une traduction de Paul Veyne. Si vous n’êtes pas latiniste, profitez de cette version pour vous familiariser avec la mythologie romaine. »Par Noé GAILLARD – DAILY PASSIONS

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