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  • Irrésistible musique de danse aux parfums épicés comme leur jambalaya par le Mus
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    « L’expression populaire de nos lointains "cousins français" d’Amérique se manifeste avant tout dans leur irrésistible musique de danse aux parfums épicés comme leur jambalaya. Puisant dans les plus anciennes traditions franco-acadiennes, elle mêle les vieilles danses françaises aux rythmes entraînant du blues et de la country music dans l’explosion des sons uniques, à la fois joyeux et mélancoliques, gais et nostalgiques, de l’accordéon et du violon, et avec la saveur d’une langue colorée et imagée. C’est cette culture toujours bien vivante, car ancrée dans de solides traditions, qu’explore Jean Buzelin grâce à des disques souvent très rares qui font revivre son histoire et son évolution depuis les premiers enregistrements de 1928 jusqu’à la veille de la guerre. Tout le pays des bayous tient dans la musique cajun." (Patrick Frémeaux, extrait des notes de pochette du double CD) » Musée du Quai Branly

  • Une culture caractérisée par l'insularité par le Musée du Quai Branly
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    « La biguine, la valse et la mazurka créoles constituent les trois genres principaux d’une musique qui traduit admirablement la spécificité hétérogène d’une société et d’une culture caractérisées par l’insularité (Martinique, Guadeloupe), le métissage ethnique et la persistance d’anciennes traditions françaises. La biguine fait flore à Paris ; entre 1918 et 1939 surtout grâce aux musiciens antillais, au clarinettiste martiniquais Alexandre Stellio, au Bal colonial de la rue Blomet et aux grandes expositions internationales de 1931 et 1937. Les enregistrements réalisés à Paris entre 1929 et 1940 sont les plus intéressants, témoignant à la fois de la diversité des styles et des orchestres, biguine satirique, improvisations jazziques des orchestres de la Nouvelle-Orléans, influences de l’éclectisme parisien de l’époque. » (Patrick Frémeaux, extrait des notes de pochette du double CD) - Musée du Quai Branly

  • Divine surprise pour un heureux événement! par le Hot Club de France
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    « Divine surprise pour un heureux événement ! Frémeaux se lance dans la publication de l’intégrale du génie du jazz : Louis Armstrong. Voici une quinzaine d’années, ce même projet avait connu un début d’exécution sous l’étiquette ‘Masters of Jazz’ mais les embûches de la production firent que cette édition complète ne dépassa pas le volume 7 et l’année 1925 ! Tous les amateurs de jazz seront ravis d’apprendre que cette entreprise essentielle revient d’actualité grâce à Frémeaux, surtout connaissant le sérieux et la compétence qu’il apporte à l’élaboration de son catalogue ; On ne s’étonnera pas de constater que le contenu de ce coffret correspond, à quelques variantes anodines près, aux trois premiers volumes Masters of Jazz MJCD 1, 2 et 21 (cf. Bulletins 396, 397, 407).Louis Armstrong n’a pas encore 22 ans lorsqu’il inaugure son œuvre discographique comme membre du King Oliver Creole Jazz Band. Cette série historique, qui occupe le CD1 et plus de la moitié du CD2, a connu de mult [...]

  • Une voix unique par La Revue parlementaire
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    « “Une bande magnétique miraculeusement conservée au Palais Bourbon nous donne à entendre la voix inimitable, la verve et la force démonstrative du grand Malraux, auditionné le 12 mai 1976 par les députés membres de la commission spéciale dite «des libertés»”. Voilà ce que contient ce CD. Evoquant tour à tour l’Etat, la démocratie, l’enseignement l’ancien ministre de la Culture y développe sa vision de la liberté et de l’action publique. “Témoignage du patrimoine immatériel détenu par l’Assemblé nationale, cet enregistrement manifeste la richesse de la réflexion élaborée dans les arcanes de nos institutions politiques” souligne le directeur des éditions Frémeaux. Préfacé par Jean-Louis Debré, cet enregistrement permet également de mieux connaître le travail en commission, moins connu que la séance publique. » D.B. – La Revue parlementaire

  • Un vrai régal par le Journal des Instituteurs
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    « Pièce de théâtre sonore d’après Jules Verne créée par la Société des comédiens français, deux CD-audios, réalisé par Jacques Reynier, environ deux heures d’écoute.Feuilleton enregistré en 1954 par de grands comédiens (ou qui allaient devenir célèbres), l’œuvre de Jules Verne adaptée pour la radio est un vrai régal. Une trentaine de pistes, quoique de longueur inégale, permettent de proposer à la classe un bref temps d’écoute quotidien, où le plaisir s’intensifie avec le suspense.Un trimestre peut ainsi être consacré à l’œuvre, dont l’exploitation est simple et multiforme. Une fois les principaux personnages et un rapide canevas de l’histoire (sans la révéler dans sa totalité) présentés aux enfants, on peut installer un planisphère et suivre les étapes du périple fou entamé en 1872 par Philéas Fogg et Passepartout. Chaque étape sera l’occasion d’apprécier les coutumes, les religions et les climats des pays traversés. Les niveaux narratifs, qui se chevauchent ou se mêlent, pourron [...]

  • Un sacré talent pour faire rire en chanson par Chorus
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    « Contrairement aux apparences, il faut un sacré talent pour faire rire en chansons. Bourvil, indéniablement, savait se servir de sa voix et de son physique. Comme ses aînés, Fernandel et surtout Dranem, il avait réussi à façonner un personnage à facettes. Une vraie mine de sentiments qui lui permettra de passer du comique au tragique sans pour autant dérouter son public.Dès 1946, l’année où il signe en exclusivité chez Pathé et où il tourne son premier film en vedette, Bourvil trouve la silhouette qui va l’imposer : un falot campagnard rusé et tendre, et non dépourvu de bon sens. D’emblée, il détourne les conventions du genre.Avec malice, il exploite la parodie comme dans Les Crayons ou dans C’est la fille à tout l’monde, petit clin d’œil à Piaf et à Mon légionnaire. Sur sa lancée, il passe du cabaret au music-hall, enchaîne les films (avec des chansons : La Rumba du pinceau, La Tactique du gendarme, C’est l’piston, Les Enfants fanfan…), les opérettes jusqu’à son triomphe dans La [...]

  • Un chant qui restera à jamais juvénile et gaiement swinguant par Jazz Magazine
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    « “A-Tisket A-Tasket, my little basket… C’est ainsi (balançant un petit panier jaune garni par les fées et qu’une de ses chansons allait bientôt rendre célèbre) qu’on aime imaginer, sortant de son orphelinat de New York, cette toute jeune fille née en Virginie. Timide comme une bergère et délurée comme une arpète ; émue comme une communiante et résolue comme un fondé de pouvoir, elle remporte en 1934 un concours de chant d’amateurs où elle éblouit Chick Webb qui l’engage…” Elle n’avait même pas dix-huit ans et aurait été bien incapable d’imaginer qu’un poète français, plus d’un demi-siècle plus tard, ferait d’elle un aussi charmant portrait (Jacques Réda in Autobiographie du jazz, éd. Climats). Et commence à travers ces deux CD la rapide et douce ascension d’une voix presque enfantine d’abord entourée de la petite foule d’un big band qui, à la mort du batteur-leader, Chick Webb, deviendra le “famous orchestra” de la chanteuse elle-même. Ici point encore d’exploits techniques mais [...]

  • Une phase de transition par Jazz Magazine
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    « Avant les indispensables Tommy Flanagan et Paul Smith, Ella avait abondamment travaillé avec un pianiste pas moins singulier et tout aussi remarquable de pertinence harmonique : Ellis Larkins, que son talent (précoce : à onze ans il jouait dans un orchestre) et son élégante discrétion cantonnèrent au rôle d’accompagnateur de vocalistes. D’où ici, regroupés en un premier CD, dix-neuf standards où prédomine la signature des frères Gershwin, alternance de softitudes ciselées par le duo et de ballades aussi primesautières (mais sans excès) que Makin’ Whoopeei ! ou Nice work if You Can Get it. Le second disque dévoile, à travers un même nombre de thèmes, le versant orchestral du travail de la chanteuse en compagnie des leaders aussi différents que Sy Oliver, Bill Doggett, André Previn et Benny Carter. Soit des contextes moins duveteux, voire plus roboratifs (certains diront “vulgaires”, notamment à cause de quelques interventions vocales très “pop” de l’époque), que les écrins plus o [...]

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