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La Bolduc par Le Nouvel Observateur
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Mary Travers, née en 1894, porte le nom de son plombier de mari. Quand celui-ci se retrouve au chômage, la chanteuse amateur devient professionnelle sous le pseudonyme de La Bolduc et enregistre de nombreux 78 tours, des airs issus des folklores français, irlandais et américains. Les éditions Frémeaux et Associés rééditent une grande partie de ces chansons au langage fleuri que la Québécoise interprétait de sa voix suraiguë. Irrésistible.“ LE NOUVEL OBSERVATEUR
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La Bolduc par Trad Mag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Son répertoire est maintenant rentré complètement dans le patrimoine, et fait partie de la musique traditionnelle du Québec.“ TRAD MAG
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Québec par Répertoire
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Que vous soyez amateur de chansons françaises ou de chansons traditionnelles, cette anthologie s’adresse à vous.” Étienne BOURS, RÉPERTOIRE
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Québec par Le Monde de la Musique
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“En réaction à la pression anglophone, la population francophone s’était reconnue dans les chansons du chansonnier breton, et son exemple encourageait les Québécois à promouvoir leur propre patrimoine chanté. Un néo-folklore vit le jour, idéalisant les valeurs antérieures à l’exode rural. En se disséminant sur le territoire canadien après avoir traversé l’Atlantique, ces chansons avaient souvent connu des variantes mélodiques et poétiques notoires d’une province à l’autre. On appréciera également le dépouillement des interprétations d’Alan Mills. Accompagné de sa seule guitare, il annonce très précisément Félix Leclerc. Tous nos suffrages vont évidemment à La Bolduc, parolière effrontée et turluteuse virtuose qui échappe à tous les académismes. D’une interprétation plus convenue, Ah! Si mon moine voulait danser par Ludovic Hot & les Débutantes n’est cependant pas sans nous laisser rêveur. Une belle contribution patrimoniale.” Franck BERGEROT, LE MONDE DE LA MUSIQUE
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Hawaiians in Paris par Télérama
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Revoici toute la saveur surannée des guitares hawaiiennes des Années folles. C’était l’époque du phonographe aux sonorités aigrelettes. Après une guerre mondiale meurtrière, ces rêveries enchanteresses venues d’îles paradisiaques agissaient comme un baume. La nonchalance suave de ces musiques, les glissandos aériens et métalliques de la guitare hawaiienne (comme du ukulélé ou de la slide guitar) sont inspirés des yodels traditionnels. Elles influenceront des musiques aussi éloignées que la country américaine ou la juju nigériane. Dans cet album officient la star Franck Ferera et une certaine madame Louise. Leurs ondoyantes valses sont ponctuées par la fluidité aquatique des xylophones, mais aussi par des flûtes, des percussions, un saxophone. Et l’on se laisse porter vers d’autres cieux, en douceur, avec une légèreté poétique et malicieuse qui oscille entre naïveté et ironie.” Eliane AZOULAY, TÉLÉRAMA
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Sam Castendet Intégrale 1950 par Epok
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Enfin un CD consacré à ce volubile et voluptueux clarinettiste. Un des plus merveilleux oiseaux musiciens des îles antillaises.” Gérald ARNAUD, EPOK
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Sam Castendet Intégrale 1950 par Trad Mag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Merci encore à Frémeaux & Associés de recycler ces produits populaires de luxe avec textes et images.” Claude RIBOUILLOT, TRAD MAG
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Coeur de Chauffe Tarquin par Jazz Man
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“« Bon sang ne saurait mentir » comme le confirme le clarinettiste Gérard Tarquin, animateur depuis plus de 40 ans des Haricots Rouges et qui consacre enfin un disque à la musique de ses ancêtres martiniquais. Gérard chante, en créole, des originaux (sa touchante composition Couleur cachée) et standards dont certains rendus célèbres par Al Lirvat, Léardée ou Stellio. Retour aux sources, devoir de mémoire, salut aux anciens, voici un disque superbe qu’attendait depuis longtemps le public des Haricots Rouges. Il comblera également les fervents de musiques traditionnelles et, par-dessus tout, les amoureux de clarinette, qui se régaleront de la sonorité volumineuse et chaleureuse du leader.” Jean-Pierre DAUBRESSE, JAZZ MAN