-
Raul Barboza - Juanjo Dominguez par Libération
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Un jour quelqu’un m’a dit : «Fais une seule note, mais bien habillée, car si on fait trop de notes, on ne peut pas toutes les habiller».” Main appuyée sur le clavier, coups de vent du soufflet, envol d’une gamme, l’Argentin Raúl Barboza enveloppe d’atmosphères délicates les sautillements de son chamamé : «De la musique moderne; paraît-il, mais je faisais ça quand j’avais 20 ans, il y a... bien des années!» Je suis du Nord-Est, mon territoire c’est la forêt, le fleuve, le chant des oiseaux, les pythons et les anacondas, et cela se reflète dans ma musique." Hélène LEE - LIBÉRATION
-
Raul Barboza Confidencial par L'Enseignant
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Raúl Barboza est certainement un des plus fameux accordéonistes de notre époque. Et il est de toute évidence celui qui empreint le plus sa musique d’une intense humanité. Selon lui, son accordéon raconte des histoires. Celles de son peuple. Un air de liberté. Son dernier album Confidencial est, comme on pouvait s’y attendre, une pure merveille.” L’ENSEIGNANT
-
Raul Barboza Confidencial par Télérama
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Dans le jeu à l’accordéon de Raúl Barboza, il y a toujours eu une sorte de dimension mystique. Mais, cette fois, l’Argentin guarani, qui a posé ses valises sur les bords de Seine en 1987, revendique le ton de la confidence. « Faire une pause pour réfléchir […], me retrouver avec la nature qui m’émeut toujours, nuages alpins, ou […] forêts du Nord-Est argentin. » Pour mieux exprimer ses « émotions intimes », Barboza ose pour la première fois enregistrer ses « motifs gribouillés » à la guitare. Dans l’album Confidencial, Barboza joue des chamamés, des valses et même un tango, mais avec une douceur assez austère qui, sans aller vraiment jusqu’à la fête, finit par se délier avec sensualité au fil de ses pérégrinations en solo.” Eliane AZOULAY, TÉLÉRAMA
-
Raul Barboza Film de Silvia Di Florio par Mondomix
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Aller écouter Raul Barboza vous rend serein. Etat renouvelé en visionnant ce portrait (filmé par Silvia Di Florio), du musicien argentin prolifique et toujours en questionnement. Le voyage passe par la jungle et par une halte dans un village indien et là, on comprend le chatoiement de sa musique, le chamamé, et d’où vient cette profusion de rythmes et d’accents nuancés.” MONDOMIX
-
El Condor pasa Machu Picchu par Ecouter Voir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Le répertoire est composée de pièces traditionnels mais aussi de compositions dont la pièce éponyme El Condor Pasa d’origine péruvienne, puis Mi Moréna de Bolivie, etc...L’inclusion d’une pièce équatorienne est tout à l’honneur de ce pays dont le corps musical est, du reste, peu connu.” J.N. DE SURMONT, ÉCOUTER VOIR
-
Musique Traditionnelle des Andes Machu Picchu par Trad Mag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“De la musique des Andes, celle que l’on a adoré dans les années soixante-dix. Celle qui a produit des mélodies devenues des tubes internationaux comme El Condor pasa, qui n’était au départ, pour certaines d’entre elles, que de modestes airs traditionnels joués par les indiens. Les mélodies sont toujours belles, les musiciens de bonne qualité. Ne boudons pas notre plaisir, laissons-nous émouvoir avec un zeste de nostalgie que l’on mettra dans le verre de pico sur que l’on boira légèrement frappé !” Michel PLISSON, TRAD MAG
-
Argentina in Paris Vol. 2 par Trad Mag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Cet enregistrement contient quelques grands classiques du Tango argentin, dont La Cumparsita, El Tango de los Tangos. Les cires rééditées ici démontrent le succès de l’orchestre qui était bien un des meilleurs que l’on pouvait entendre alors en France et en Europe.” Marie-Paule BONNÉ, TRAD MAG
-
Argentina in Paris Vol. 2 par Télérama
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Toute la verve canaille du tango argentin des origines était célébrée, dès le début du siècle, sur les bords de Seine, par les chanteurs, violonistes, pianistes et bandonéonistes de l’orchestre Biancho-Bachicha. Enregistrées dans les années 20, leurs voix éraillées nous invitent aux délires de cette danse suggestive, qui eut à l’époque à subir les foudres de l’Eglise.” TÉLÉRAMA