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  • « De très nombreuses raretés » par Classica
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    Les V-Disc (V pour Victoire) étaient des 78 tours envoyés dans le monde entier aux soldats américains pour entretenir leur moral. Les plus grands musiciens, chanteurs et chanteuses participèrent gracieusement à l’opération, et la plupart de leurs prestations sont désormais publiées et bien connues. La copieuse anthologie aujourd’hui éditée présente pourtant de très nombreuses raretés, offrant ainsi un panorama tout à fait passionnant et très vivant de la scène musicale populaire des années quarante.Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Une production précieuse » par Jazz News
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    Envisagés comme soutien moral pour les troupes américaines disséminées sur tous les théâtres d’opération de la Seconde Guerre mondiale, les V-Discs s’avéreront une expression assez pure de ce qu’on a fini par appeler « soft power ». Car il est vrai qu’une grande partie des populations libérées, notamment en Europe, eut connaissance de tout un pan de la culture américaine – qui rattrapait les années de silence voulu par l’occupant – par le truchement de ces grandes galettes 78 tours qui proposaient d’écouter Franck Sinatra, Lionel Hampton, Benny Goodman ou Ella Fitzgerald. Musiciens dont le patriotisme a su s’accommoder de la grande grève des studios d’enregistrement pendant la guerre, qui rend cette production encore plus précieuse. Quatre CD bien remplis ne sont donc pas de trop pour rappeler ces grandes heures d’histoire. Y apparaissent également les noms d’Arthur Rubinstein ou de Maurice Chevalier. Par Bruno GUERMONPREZ – JAZZ NEWS

  • « Les premiers pas de la Reine de la Soul » par Jazz News
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    Avant de décrocher la timbale chez Atlantic, la jeune Aretha Franklin aurait pu embrasser une carrière tout à fait différente de celle qu’on connait. Poussée sous les feux de la rampe par son pasteur de papa après avoir brillé de mille feux dans le registre purement gospel – « Songs of Faith », enregistré en public alors qu’elle a à peine 13 ans et qui ouvre ce volume, est un chef-d’œuvre absolu du genre, la jeune pousse est courtisée par la Motown et Columbia, qui ambitionnent d’en faire la star que tout le monde devine. Papa la jette finalement dans les bras de John Hammond – qui avait déjà couvé Billy Holiday – et du jazz. Mais un jazz avec énormément d’arrière-pensées, commerciales notamment. Si le premier opus de cette ère, gravé sous la houlette du pianiste Ray Bryant, vaut largement le détour, il faut bien avouer que la suite est loin d’être aussi marquante. Les frères Ertegün, d’Atlantic donc, corrigeront le tir en la sacrant « Queen of Soul », mais parcourir ce prologue n [...]

  • « Une anthologie pertinente » par Jazz News
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    Comme souvent pour les anthologies pertinentes, la première surprise est d’ordre général : pourquoi personne n’y avait pensé avant ? Kurt Weill partage avec quelques rares Gershwin et Bernstein le privilège d’avoir fourni au jazz un stock conséquent de standards tout en continuant de captiver par ses œuvres personnelles : ces trois disques abordent la montagne Weill par sa face américaine, en compilant interprétations classiques (Ella à Berlin, forcément) ou plus oubliées (Dick Hyman). Chose pas si systématique chez Frémeaux, le troisième disque est ici prétexte à une excursion parfaite vers des rivages qu’on n’attendait pas, et vaut à lui seul le détour, à l’écoute des chefs-d’œuvre que sont les interprétations d’André Prévin et Jay Jay Johnson.Par Pierre TENNE – JAZZ NEWS

  • « Le leader et les Raelets se donnent à fond » par Libération
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    « Ray Charles apparaît pour la première fois en France en octobre 1961, après le triomphe du festival de Newport. Sur tous les tempos, le leader et les Raelets se donnent à fond, fracassent le public d’Antibes-Juan-les-Pins. Chaque soir, les festivaliers ont droit à quelques nouveaux titres. L’orchestre devient - au premier passage à Antibes-Juan-les-Pins - la coqueluche de la Côte - cela en quatre concerts. Avant de conquérir l’Europe dans les jours qui suivent. Au matériel existant s’ajoutent la bagatelle de 13 inédits. Sans compter 14 raretés (Ray Charles pianiste accompagnateur). Et deux prises de la grande époque sur le label Atlantic. »Par Bruno PFEIFFER - LIBERATION

  • « Un groove terrible » par Télérama
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    « Le contrebassiste cubain Israel « Cachao » López (1918-2008) n’est pas seulement l’inventeur du mambo, il est aussi un pionnier des descargas, ces jam sessions improvisées dans les années 1950 avec les plus aventureux des musiciens insulaires. Entre jazz et son montuno, swing et rumba ou guaracha, « Cachao » et les amis Chico (O’Farrill), Julio (Gutiérrez) ou encore Walfredo (de los Reyes) débrident cuivres et percussions avec un groove terrible. Des rythmes de transe, ancrés dans la culture yoruba, à haute teneur énergétique et spirituelle. »Par TELERAMA

  • « Des sommets en émotion et en joie pure » par Babel Med
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    « A Babelmed nous aimons beaucoup Raphaël Fays, digne héritier de Django Reinhardt dans sa version gitan du Sud aux doigts magiques… Nous avons eu le bonheur de l’entendre à nouveau récemment en concert, et avons ainsi pu mesurer, avec nos yeux outre nos oreilles, la véritable performance que représente l’exécution de ces musiques d’une complexité inouïe, et qui nécessitent d’avoir véritablement de la magie dans les doigts pour pouvoir les interpréter (c’est une ancienne guitariste qui vous parle là…). Mais pas seulement de la dextérité technique : car ces musiques gitano-manouches, qu’elles viennent de Séville, de Paris ou de Belgique comme Django, parlent à notre coeur plus qu’à notre raison, et si l’émotion n’est pas là, et rien que la technique, et bien non ça ne marche pas. Avec ce somptueux album qu’il a pratiquement entièrement composé, Raphaël Fays nous prouve que la guitare flamenca, la guitare manouche, la guitare tout court en somme, peut atteindre des sommets musicaux [...]

  • « Tcha Limberger est béni des dieux » par L'Alsace
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    « Il y a d’abord un violoniste d’une technique sidérante, d’une sensibilité au swing qui l’inscrit dans le sillage d’un Stéphane Grappelli. Fils et petit-fils de musiciens manouches, le Belge Tcha Limberger est béni des dieux, touche également à la guitare et chante plus que correctement. Mais c’est bien sûr le violoniste, à la tête d’un trio constitué du guitariste Dave Kelbie et du contrebassiste Sébastien Girardot, qui retient l’attention. Une « machine » efficace au service du swing manouche, teinté d’une tradition du jazz classique. Un plaisir du jeu qu’un enregistrement live, assuré au festival de jazz de Foix, en 2015, restitue avec un invité de marque : le guitariste Mozes Rosenberg. Une session rythmique d’enfer sur laquelle des solistes prennent leurs envols et dialoguent avec cette sidérante technique qui sait s’oublier pour parvenir à une totale élégance du jeu. L’esprit du grand Django préservé par de dignes héritiers. »Par Serge HARTMANN – L’ALSACE

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