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  • « Tap That’Jazz » par Daily Passions !
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    Oui, oui, vous avez bonne mémoire, « Les oignons » sont bien une composition de Sidney Bechet. C’est aussi le nom du combo créé et dirigé par Julien Silvand, le trompettiste. Il ne se contente d’ailleurs pas de diriger, il compose, arrange et chante… Les paroles […] sont signées June Milo. Sur les deux photos qui illustrent le petit livret intérieur il est facile de remarquer qui fait quoi. Et vous noterez auprès du trompettiste un individu qui tient des chaussures à la main. Ce n’est pas pour être discret c’est parce qu’il « joue » des claquettes et qu’il s’intègre aux morceaux présentés ici. L’autre photo présente un drôle d’instrument qui tient de celui cher à Bobby Lapointe et qui est nommé sousaphone… Non je n’étais pas en train de noyer le poisson en évitant de vous parler des morceaux enregistrés. J’ai noté deux Jelly Roll Morton que les jazzophiles doivent connaître et une Giacomo Puccini. Pour le reste je vous laisse découvrir et peut-être vous interroger sur ce T.P. Alle [...]

  • « Une magnifique odyssée artistique » par Les Dernières Nouvelles d’Alsace
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    On sort à peine de la guerre, et Germain Muller donne le coup d’envoi, à Strasbourg, d’une magnifique odyssée artistique. Elle aura pour nom le Barabli. Et dès cette première édition, en 1946, le dialecte se met au diapason d’une musique venue des États-Unis qui bouge beaucoup avec « Steckelburjer Swing ». « Ce n’est rien d’autre qu’un boogie », réagit Roger Siffer, admiratif de ce que dès l’après-guerre, Germain Muller était déjà à l’écoute des musiques qui allaient, une décennie plus tard, emporter toute une jeunesse occidentale. On retrouve ce titre dans l’anthologie que consacre le label Frémeaux & Associés au Barabli, à Germain Muller et son complice, Mario Hirlé – « Le Barabli, sketches et chansons, coffret de trois CD ». Et puisqu’on parle de boogie, un bonus y est offert avec l’enregistrement à Radio Strasbourg, en 1947, d’un « Schweidissi Boogie-Woogie ».Par LES DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE

  • « Une grande réussite, touchante et hautement musicale » par La Terrasse
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    « La chanteuse donne voix, dans son nouvel album intitulé « Birdy Heart »
(Frémeaux & Associés), à de subtils accents brésiliens et jazz, et à un animal imaginaire, l’oiseau-cœur, qui nous accompagne pour « chanter le mystère de vivre ». Une grande réussite, touchante et hautement musicale. Voyager, traverser le monde, comme elle vient de le faire une fois encore en parcourant 14 000 kilomètres pour concevoir et enregistrer ce nouvel album, semble toujours et d’abord pour la chanteuse l’occasion d’entrer en elle-même. Do Montebello, artiste profonde et humaniste, chante pour parler à la part du plus doux et intime de celui qui écoute. Et pour s’inventer un monde. Son nouvel album intitulé « Birdy-Heart » donne vie à un petit oiseau secret, comme surgi d’un poème de Jacques Prévert, qu’elle imagine lové au fond de chacun d’entre nous. « Dans les nuits calmes ou agitées de l’être, nichée au creux de nos cages thoraciques vit une espèce aviaire d’une grande beauté. Capable de conteni [...]

  • « la splendeur de l’âme » Blog de Choc
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    « (…) Dans “Birdy Heart” (AxolOtljazz / La Lichère /Frémeaux & Associés), elle chante la splendeur de l’âme qui, échappant au regard, se révèle dans le rayonnement de chaque être. Cet album est le dernier que produit AxolOtljazz, label fondé par Jean-Louis Wiart et qui après vingt ans d’existence, cesse son activité. Do l’a enregistré au Brésil avec Sergio Farias et Roberto Taufic (guitares) et Airton Guimarães (contrebasse). Entièrement acoustique, il contient des thèmes de Luiz Eça (le superbe Imagem qui introduit l’album), Antônio Carlos Jobim, Edu Lobo et quelques standards de jazz, Never Let Me Go que Nat « King » Cole interprète dans le film de Michael Curtiz “The Scarlet Hour” (“Énigme policière”) et Peace d’Horace Silver. Des chansons parfois co-signées avec Sergio Farias que Do interprète en portugais, français et anglais. Marc Berthoumieux (accordéon), Jacques Morelenbaum (violoncelle) et Toninho Horta (guitare) jouent sur certaines d’entre-elles. De ce dernier, elle rep [...]

  • « Un exposé d’une érudition jamais pesante. » par Le Soir
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    Marc-Aurèle, c’est l’homme aux multiples facettes, c’est l’empereur du IIᵉ siècle après J-C, c’est un philosophe qui nous a laissé des écrits sous son nom, c’est un empereur romain mais qui écrit en grec. Comment saisir l’insaisissable Marc-Aurèle ? Empereur et philosophe, cela ne va pas de soi. Les historiens s’accordent à dire que l’Empire romain vit sous Marc-Aurèle l’apogée de son histoire juste avant un déclin qu’annoncent déjà les menaces des barbares aux frontières. Véronique Boudon-Millot aborde ce personnage contradictoire avec une érudition jamais pesante et une narration qui ne lasse pas. Par J.-C. V. – LE SOIR

  • « Ce coffret est un exemple insurpassable de l’art vocal du grand Ray » par Clas
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    Voilà quatorze ans que Ray Charles nous a quittés, mais il reste un des plus grands chanteurs qu’il nous ait été donné d’entendre. Sa première apparition en dehors des États-Unis fut en France, au Festival International de Jazz d’Antibes juan les Pins en 1961. L’ORTF avait alors diffusé, sous la direction de Jean-Christophe Averty, le premier concert, celui du 18 juillet, repris sur DVD en 2011 par Reelin’ In the Years. Mais voilà que ceux des 19, 21 et 22 juillet sont désormais ajoutés dans un coffret inespéré de 4 CD permettant de revivre ces soirées fabuleuses. Non seulement Ray Charles s’y montre à son sommet et ses plus grands succès sont présents (« What I Say, Georgia On My Mind, The Right Time, I Believe To My Soul”, etc.), mais son orchestre comprend David Newman, Hank Crawford, Philip Guilbeau et le batteur Bruno Carr, qui furent sans doute ses meilleurs accompagnateurs. En outre, le groupe féminin the Raelets se produit à ses côtés, avec en particulier la brûlante Marjo [...]

  • « De magnifiques révélations » par Classica
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    C’est enfin Kurt Weill dont les airs sont célébrés ( "Mack The Knife, September Song, Speak Low, My Ship, Bilbao Song", entre autres) sur 3 CD par une grande variété d’interprètes et d’interprétations. On y découvre des versions rares, certaines surprenantes, d’autres magnifiques révélations. Toutes ces versions aident à cerner le talent multiforme de ce grand compositeur allemand. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Des documents inédits ou rares » par Jukebox
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    Dans la série de documents inédits ou rares sur scène, Frémeaux exhume ici 17 titres de Jacques Brel à l’Olympia en octobre 1961 consignés par Europe N°1 et sept le 10 septembre 1960 à la Foire de Douai (tous inédits sauf trois). On sait Jacques Brel à la fois adepte de tournées stakhanovistes et très lié à l’Olympia, où il démarre en juillet 1954 au programme de Damia, crée « Amsterdam » en 1964 et fait ses adieux scéniques en 1967. Il fait ô combien partie d’une poignée d’artistes qui sur scène (ou en télé) se sur-dimensionnent, notamment depuis que, en 1958, il a cessé de s’accompagner à la guitare, qui bridait son expressivité. Dans une tradition qui s’est un peu perdue, Jacques Brel rode même certaines de ses créations sur scène. C’est le cas chez Bruno Coquatrix pour « Les Bourgeois », « Les Paumés Du Petit Matin », « Madeleine », « Zangra ». Alors qu’il est en transfert connu et à litige entre Philips et Barclay, le premier édite « A L’Olympia » en 25 et 30 cm plus super 45 [...]

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