« Du St.Louis Blues gravé en compagnie de Bessie Smith à Perdido Street Blues, où il affronte son vieux rival Sidney Bechet, de I Can’t Give You Anything But Love version 1929 à celle de 1938, c’est un Louis Armstrong en majesté qui s’expose au long de trente-six morceaux, de trente-six chefs-d’œuvre. (...) » Alain TERCINET – JAZZMAN.
« Du St.Louis Blues gravé en compagnie de Bessie Smith à Perdido Street Blues, où il affronte son vieux rival Sidney Bechet, de I Can’t Give You Anything But Love version 1929 à celle de 1938, c’est un Louis Armstrong en majesté qui s’expose au long de trente-six morceaux, de trente-six chefs-d’œuvre. Comment qualifier autrement Cornet Shop Suey, Potato Head Blues, ou West End Blues, le Weather Bird interprété en duo avec Earl Hines, ou Ain’t Misbehavin’, Star Dust et Lawd, You Made The Night Too Long ? Qu’importe si les grandes formations qui environnement Satchmo ne sont pas des modèles de légèreté. Tant pis si ses partenaires ne sont pas toujours à sa hauteur. Le génie de Louis Armstrong n’a que faire de ces contingences. Il éclate, bouleverse, bouscule, séduit et étonne encore et encore à la énième écoute de morceaux que l’on croît connaître par cœur. Un tel recueil réunissant une aussi irréfutable sélection est indispensable à tous. Même, et surtout, à ceux qui s’imaginent que le jazz a débuté avec Coltrane. » Alain TERCINET – JAZZMAN.