« “Quelques-uns nous reprocheront sans doute d’avoir ratissé un peu large en allongeant la sauce avec ces faces considérées comme anecdotiques et en aucun cas indispensables. Evidemment. De toute façon, les mêmes nous reprocheraient de ne pas les avoir mises si nous avions opté pour leur exclusion !…”
Ce premier CD couvre les années 1942-1948, la période où Salvador fait partie (chanteur, comédien, guitariste) de l’orchestre de Ray Ventura et joue dans d’autres formations de jazz (Louis Vola). Jazz, swing, chansons d’humour (Les six petits œufs, Silence, on tourne…) et chansons tendres (J’aurais bien donné dix ans de ma vie) font bon ménage. Parfois, il y a un sketch (Le collaborationniste, 1945, où il imite Raimu, Louis Jouvet et Sacha Guitry !) ou des extraits de films (Mademoiselle s’amuse, 1947). A partir de 1948, engagé par Polydor, Henri Salvador “et sa guitare” ou “son trio rythmique” commence la carrière que l’on connaît : Clopin-clopant, Maladie d’amour, Le petit souper aux chandelles, Mon ange et quelques titres jamais réédités (Tout ça, Le portrait de Tante Caroline, Chanson surréaliste). On attend le volume 2 ! » Je Chante
Ce premier CD couvre les années 1942-1948, la période où Salvador fait partie (chanteur, comédien, guitariste) de l’orchestre de Ray Ventura et joue dans d’autres formations de jazz (Louis Vola). Jazz, swing, chansons d’humour (Les six petits œufs, Silence, on tourne…) et chansons tendres (J’aurais bien donné dix ans de ma vie) font bon ménage. Parfois, il y a un sketch (Le collaborationniste, 1945, où il imite Raimu, Louis Jouvet et Sacha Guitry !) ou des extraits de films (Mademoiselle s’amuse, 1947). A partir de 1948, engagé par Polydor, Henri Salvador “et sa guitare” ou “son trio rythmique” commence la carrière que l’on connaît : Clopin-clopant, Maladie d’amour, Le petit souper aux chandelles, Mon ange et quelques titres jamais réédités (Tout ça, Le portrait de Tante Caroline, Chanson surréaliste). On attend le volume 2 ! » Je Chante