« Mais aussi Le loup, la biche et le Chevalier, que l’on retrouvera dans le double CD édité parallèlement chez Frémeaux & Associés.
Entre ces archives chinées dans l’après-guerre et Chambre avec vue, le lien s’établit par le biais de quelques auteurs communs. Rencontrés au début des années 40 dans l’orchestre de Ray Ventura, Paul Misraki et Bernard Michel ont façonné la chanson tendre d’Henri Salvador. Mais comme il est souligné dans le livret fourni, Maladie d’amour n’est qu’une des facettes du personnage, les trois autres étant le genre jazz-swing-be-bop, le style rigolo (impayable imitation dans Popeye) et la chanson exotique, qu’elle soit antillaise ou brésilienne. Le son délicieusement craquelé, ce deuxième volume d’intégrale propose, entre autres signatures prestigieuses (Francis Lemarque, Mireille et Jean Nohain), celle de Léo Ferré (Le Scaphandrier, Saint-Germain-des-Prés) que Salvador contribua à populariser en son temps. » Ludovic Perrin – Libération
Entre ces archives chinées dans l’après-guerre et Chambre avec vue, le lien s’établit par le biais de quelques auteurs communs. Rencontrés au début des années 40 dans l’orchestre de Ray Ventura, Paul Misraki et Bernard Michel ont façonné la chanson tendre d’Henri Salvador. Mais comme il est souligné dans le livret fourni, Maladie d’amour n’est qu’une des facettes du personnage, les trois autres étant le genre jazz-swing-be-bop, le style rigolo (impayable imitation dans Popeye) et la chanson exotique, qu’elle soit antillaise ou brésilienne. Le son délicieusement craquelé, ce deuxième volume d’intégrale propose, entre autres signatures prestigieuses (Francis Lemarque, Mireille et Jean Nohain), celle de Léo Ferré (Le Scaphandrier, Saint-Germain-des-Prés) que Salvador contribua à populariser en son temps. » Ludovic Perrin – Libération