"Qui ne connaît le nom de l’un des plus célèbres architectes au monde, Le Corbusier, synonyme de renouveau de l’architecture après la seconde guerre mondiale. Pour pouvoir approcher de plus près ce personnage atypique qui refusait les honneurs, ces Entretiens de la Librairie Sonore Frémeaux & Associés marquent incontestablement un témoignage clé dans la mémoire de ce visionnaire infatigable.
Charles-Edouard Jeanneret naquit le 6 octobre 1887 à la Chaux de Fonds et ne prendra son pseudonyme Le Corbusier qu’en 1920 d’après le nom de l’un de ses ancêtres albigeois. Le Corbusier est avant tout un peintre avant d’être architecte comme il le rappelle dans l’un des deux entretiens proposés. Très sensible à l’art pictural (qui aura sa place dans la conception même de ses créations architecturales), il fondera un mouvement, le mouvement puriste, avec son ami Amédée Ozenfant. Ces deux entretiens (avec Georges Charensol en 1962, et Robert Mallet en 1951) montrent bien que l’homme est en rupture avec l’académisme de ses débuts. Jetant un œil acerbe, et même parfois acide, sur les institutions académiques trop souvent responsables d’un art figé selon lui, Le Corbusier soutient une architecture purifiée et revisitée grâce à de nouveaux matériaux tel le béton armé dont il exploitera toutes les possibilités techniques et esthétiques. La dimension sociale est essentielle dans le travail créatif de l’artiste. Il sera même d’ailleurs l’un des rares architectes à avoir pu concevoir une capitale (Chandigarh). Même si certains critiqueront ses réalisations, le génie est à ce prix et Le Corbusier est définitivement entré dans le panthéon culturel du XX° siècle comme en témoignent ces enregistrements à découvrir absolument.
« Je fais mon architecture comme un organisme vivant, elle est biologique, il y a un support osseux, des forces musculaires, des réseaux sanguins lymphatiques nerveux,… » Le Corbusier, 1962." Sur le site internet Lexnews
Charles-Edouard Jeanneret naquit le 6 octobre 1887 à la Chaux de Fonds et ne prendra son pseudonyme Le Corbusier qu’en 1920 d’après le nom de l’un de ses ancêtres albigeois. Le Corbusier est avant tout un peintre avant d’être architecte comme il le rappelle dans l’un des deux entretiens proposés. Très sensible à l’art pictural (qui aura sa place dans la conception même de ses créations architecturales), il fondera un mouvement, le mouvement puriste, avec son ami Amédée Ozenfant. Ces deux entretiens (avec Georges Charensol en 1962, et Robert Mallet en 1951) montrent bien que l’homme est en rupture avec l’académisme de ses débuts. Jetant un œil acerbe, et même parfois acide, sur les institutions académiques trop souvent responsables d’un art figé selon lui, Le Corbusier soutient une architecture purifiée et revisitée grâce à de nouveaux matériaux tel le béton armé dont il exploitera toutes les possibilités techniques et esthétiques. La dimension sociale est essentielle dans le travail créatif de l’artiste. Il sera même d’ailleurs l’un des rares architectes à avoir pu concevoir une capitale (Chandigarh). Même si certains critiqueront ses réalisations, le génie est à ce prix et Le Corbusier est définitivement entré dans le panthéon culturel du XX° siècle comme en témoignent ces enregistrements à découvrir absolument.
« Je fais mon architecture comme un organisme vivant, elle est biologique, il y a un support osseux, des forces musculaires, des réseaux sanguins lymphatiques nerveux,… » Le Corbusier, 1962." Sur le site internet Lexnews