« Cher Benjamin,
Bien reçu le très joli disque de Bolo-Fo-Pon-Sorin !! Excellente musique par des « grands » de leurs instruments. Il est réjouissant de constater que les accordéonistes – grâce au travail de sape, dans le passé, de Didier Roussin, François Billard et… ton serviteur – n’ont plus honte de leur « piano à bretelles » !! Car avant leur retour à cet instrument, on connaissait Bolognesi et Galliano comme trombone de big band… Ton très bon texte de présentation l’évoque d’ailleurs… Ce qui frappe à l’écoute, c’est que finalement ce trop modeste Marc Fosset semble être celui qui imprime le climat particulier de l’album : très « exotique », biguine antillaise, rythmes brésiliens ou cubains, mélancolie de certaines plages… Non ? J’en veux pour preuve le fait que l’on retrouve l’ambiance musicale d’un disque paru en… 1982 (Caratini-Fosset-Azzola Trio), alors que l’accordéoniste leader n’est pas le même !!! Mystère de l’alchimie des personnalités riches… Miracle du jazz sans doute. » Alain Antonietto.
Bien reçu le très joli disque de Bolo-Fo-Pon-Sorin !! Excellente musique par des « grands » de leurs instruments. Il est réjouissant de constater que les accordéonistes – grâce au travail de sape, dans le passé, de Didier Roussin, François Billard et… ton serviteur – n’ont plus honte de leur « piano à bretelles » !! Car avant leur retour à cet instrument, on connaissait Bolognesi et Galliano comme trombone de big band… Ton très bon texte de présentation l’évoque d’ailleurs… Ce qui frappe à l’écoute, c’est que finalement ce trop modeste Marc Fosset semble être celui qui imprime le climat particulier de l’album : très « exotique », biguine antillaise, rythmes brésiliens ou cubains, mélancolie de certaines plages… Non ? J’en veux pour preuve le fait que l’on retrouve l’ambiance musicale d’un disque paru en… 1982 (Caratini-Fosset-Azzola Trio), alors que l’accordéoniste leader n’est pas le même !!! Mystère de l’alchimie des personnalités riches… Miracle du jazz sans doute. » Alain Antonietto.