Tout ce beau monde joue et rit comme rarement par Jazzman

« Un soir de septembre 1991, Pierre Barouh est l’invité de Richard Galliano aux Nuits de Nacres à Tulles. Il y reste finalement une semaine et promène sa caméra inexpérimentée au gré des concerts, des bœufs dans les rues, des fins de nuit au bistrot. Retour l’année suivante, après une série d’escapades au Québec, au Pays-Basque et dans son bocage vendéen. Filmé à l’origine par Barouh pour lui-même, ce document, proche de la vidéo amateur, est un hymne à l’accordéon, ou plutôt à la vie autour de l’accordéon. Galliano, Nougaro, Mille, Sivuca, Higelin, Cravic, le Taraf de Haïdouks… Tout ce beau monde joue et rit comme rarement sous l’œil complice de Barouh le poète, tendre artisan qui sait capter l’esprit généreux de la « boîte à frissons », en privilégiant les ambiances, les plans courts, les à-côtés. » Jonathan Duclos-Arkilovitch – JAZZMAN