« Rescapé de la Shoah, où périt sa famille, Emmanuel Levinas est marqué par l’expérience du mal radical qu’il considère comme une inclination intrinsèquement humaine. Attentif à cette tentation toujours présente d’aller jusqu’au bout, « de négliger complètement autrui », il lit dans le visage qui s’offre et s’expose, totalement vulnérable, la figure du plus grand dénuement, de la plus grande faiblesse, ce qui est le plus susceptible d’être violenté »
Par Cédric Enjalbert — LAÏCITE
Par Cédric Enjalbert — LAÏCITE