L’année 1947 fut une des plus créatrices de Charlie Parker. Ce coffret présente en 70 plages le legs enregistré lors du second semestre de cette année féconde, de la première séance de Miles Davis sous son nom pour le label Savoy le 14 août 1947 à la séance pour le label Dial du 17 décembre, toujours avec Miles Davis mais cette fois sous le nom de Charlie Parker.
Entre ces deux monuments devenus des classiques maintes fois réédités et analysés sont collationnées trois autres séances pour Dial tout aussi essentielles où s’illustrent côte à côte Parker et Miles Davis. Véritable bénédiction, figurent aussi trois moments exceptionnels où cette fois c’est Dizzy Gillespie qui tient la trompette. Deux d’entre eux font entendre la réunion en studio des « modernes » réunis par Barry Ulanov vainqueurs du combat musical contre des « traditionalistes » organisée après l’émission « This Is Jazz », où figure en outre le pianiste Lennie Tristano. Le troisième offre la trace du concert donné au Carnegie Hall le 29 Septembre 1947 par un quintet emmené par Dizzy et Charlie Parker, où le piano est confié à John Lewis, futur pianiste du Modern Jazz Quartet.
C’est dire que ce coffret de trois CD copieux soigneusement restaurés sont strictement indispensables, témoins d’une année dont l’écho musical ne cesse pratiquement de retentir 55 ans plus tard.
Par CLASSICA
Entre ces deux monuments devenus des classiques maintes fois réédités et analysés sont collationnées trois autres séances pour Dial tout aussi essentielles où s’illustrent côte à côte Parker et Miles Davis. Véritable bénédiction, figurent aussi trois moments exceptionnels où cette fois c’est Dizzy Gillespie qui tient la trompette. Deux d’entre eux font entendre la réunion en studio des « modernes » réunis par Barry Ulanov vainqueurs du combat musical contre des « traditionalistes » organisée après l’émission « This Is Jazz », où figure en outre le pianiste Lennie Tristano. Le troisième offre la trace du concert donné au Carnegie Hall le 29 Septembre 1947 par un quintet emmené par Dizzy et Charlie Parker, où le piano est confié à John Lewis, futur pianiste du Modern Jazz Quartet.
C’est dire que ce coffret de trois CD copieux soigneusement restaurés sont strictement indispensables, témoins d’une année dont l’écho musical ne cesse pratiquement de retentir 55 ans plus tard.
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