Trente comédiens, une partition musicale originale, des bruitages… Lorsqu’il bénéficie de tels moyens, le livre audio atteint au rang d’œuvre à part entière. Ce « Comte de Monte-Cristo » nous ramène aux grandes heures dramatiques radiophoniques. Avec son récitant prestigieux, (ici, Francis Perrin) et ses comédiens de l’ombre qui, jouant de leur voix, se chargent chacun
de deux ou trois petits rôles. Une astuce autorisée par l’absence d’images qui constitue un autre atout : contrairement au spectateur d’un film ou d’un téléfilm, l’auditeur - comme le lecteur – a tout loisir d’imaginer les visages du héros et des personnages qui s’agitent autour de lui. Sans compter que l’écoute étant aussi exigeante en concentration que la lecture, le livre audio pourrait être une bonne manière de faire « lire » ceux qui croient qu’ils n’aiment pas ça. On peut, pour commencer, se jeter à l’eau avec Edmond Dantès. A lui, ça a plutôt bien réussi…
Par R.T. – L’ENSEIGNEMENT
de deux ou trois petits rôles. Une astuce autorisée par l’absence d’images qui constitue un autre atout : contrairement au spectateur d’un film ou d’un téléfilm, l’auditeur - comme le lecteur – a tout loisir d’imaginer les visages du héros et des personnages qui s’agitent autour de lui. Sans compter que l’écoute étant aussi exigeante en concentration que la lecture, le livre audio pourrait être une bonne manière de faire « lire » ceux qui croient qu’ils n’aiment pas ça. On peut, pour commencer, se jeter à l’eau avec Edmond Dantès. A lui, ça a plutôt bien réussi…
Par R.T. – L’ENSEIGNEMENT