A la même époque, la biguine telle qu’elle se jouait à Paris continuait à entretenir des relations ambiguës avec le jazz, ce dont témoigne le volume « Biguine et Merengué, 1956-1959 » consacré par Frémeaux & Associés à Honoré et Barel Coppet, clarinettiste et altiste aux solos très calibrés que bousculent le piano érudit de René Léopold et, à partir de 1959, le fougueux et savant trombone d’Al Lirvat.
Par Alfred SORDOILLET - JAZZMAN-JAZZMAG
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