Sa liberté d’expression et ses expérimentations radicales préfigurent la contre-culture et l’art underground. « Beat », comme « à la dérive, cassé, lessivé, drogué », au sens argotique, d’abord employé par les voyous et les musiciens de jazz ; au sens rythmique de battement de jazz, aussi. Kerouac y voyait un hymne exalté à la vie, par delà le bien et le mal, une stase béatifique : « Malheur à ceux qui crachent sur la Beat Generation, le vent le leur renverra. »
Par LE MAGAZINE LITTERAIRE
Par LE MAGAZINE LITTERAIRE