“Chaque thème est un instantané du parcours d’Ella Fitzgerald. Tout est agréable : voix claire, prononciation distincte… Ella en trio ou en grande formation c’est le bonheur absolu. Pour ceux qui pensent qu’il y a une rupture musicale entre l’époque swing et le bebop, écoutez l’évolution musicale entre 1936 à 1948 et vous entendrez qu’il s’agit bien de continuité classique du jazz avec « My Melancholy Baby » (1936), « Tain’t What You Do » (1939), « My Man » (1941), « Cow Cow Boogie » (1943), « You Won’t Be Satisfied » (1946), duo divin avec Louis Armstrong et « Lover Man » (1947) avec le big band de Dizzy Gillespie lors de l’enregistrement privé au Carnegie Hall en 1947. Elle est divine ! Richard ANOU, JAZZ HOT