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  • « Au cœur des musiques traditionnelles des ghettos ashkénazes » Paris Move
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    « Puisant sa source au cœur des musiques traditionnelles des ghettos ashkénazes d’Europe de l’Est, le courant que l’on désigne de nos jours sous le vocable klezmer doit principalement son essor et sa reconnaissance à sa collecte et sa diffusion parmi la diaspora israélite émigrée aux États-Unis. À la suite des décennies de persécutions et de pogroms dont ils furent victimes, nombre de juifs polonais, moldaves, ukrainiens, allemands et roumains, avaient en effet opté, dès la fin du XIXème siècle, pour un aller simple vers le Nouveau-Monde. En dépit d’une relégation parfois proche de celle vécue sur place par les Afro-Américains, ils s’y intégrèrent sans heurts, tout en préservant leur culture et leurs particularismes. Si les tout premiers enregistrement ici proposés (datés de 1909 et 1916) présentent de simples duos piano-cymbalum (instrument à cordes frappées faisant partie de la famille des cithares sur table, que l’on l’appelle aussi parfois le piano tzigane), l’orchestre russe [...]

  • « L’homme privé et l’homme public, étaient indissociables » par L’Eveil Normand
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    La balade de Johnny, racontée par son ami Bruno Putzulu. (…) En quoi la démarche de David Rautureau, dans son roman La balade de Johnny, et sa demande de collaboration avec vous, vous a-t-elle au contraire séduit ?« Quand David Rautureau a pris contact avec moi, je n’étais pas très chaud. Et puis j’ai lu son roman et j’ai changé d’avis. Lui qui n’a jamais connu Johnny Hallyday a été capable de faire revivre un Johnny plus vrai que nature. Son livre est l’histoire d’une parenthèse dans la vie de Johnny. Il imagine que ce dernier, avant de donner un concert à Nantes dans les années 70, a tenu à revoir sur place un copain de régiment, Jean-Claude. Il va passer trois jours avec lui. Ils vont parler ensemble, s’écouter, se taire, Johnny fera à manger à son copain… David Rautureau, qui ne connaissait pourtant pas personnellement Johnny mais était fan de lui, a parfaitement réussi à retranscrire le vrai Johnny. Et c’est pourquoi j’ai accepté de prêter ma voix à son roman. »Vous qui l’ave [...]

  • « Cette histoire est très simple et très émouvante » Evasion Mag
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    « (…) Cette histoire est très simple et très émouvante. Précisons toutefois que c’est un roman et non une histoire vécue, même si l’histoire paraît belle et si on a envie d’y croire. Ce roman, écrit par David Rautureau, correspondant de presse et romancier, comme celui de l’histoire, date de 2018 et voilà que ce récit paraît sous un coffret de trois CD, toujours écrit par David mais narré par mon ami Bruno Putzulu et quelle plus belle voix ne pouvait raconter, lui qui est issu de la Comédie Français !Rappelons qu’il nous a déjà offert un magnifique coffret sur les entretiens qu’il avait eu avec Philippe Noiret, qu’il avait rencontré sur le tournage du film de Michel Boujenah « Père et fils » avec qui il s’était lié d’amitié.Amitié aussi, avec Johny d’ailleurs, avec lequel il avait tourné « Pourquoi pas moi ? » de Stéphane Giusti, à Barcelone en en 1996, date de leur amitié naissante. Il a 31 ans, Johnny 55 et après le tournage, ils seront inséparables, une amitié, avoue-t-il scell [...]

  • « Légèreté et finesse » par Daily Passions
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    « La voix est une voix « jazzy » que je qualifierai d’acidulée, en pensant aux bonbons du même genre. C’est une voix qui porte la mélodie avec légèreté et finesse et l’on ne s’étonnera pas que Thomas Dutronc avoue s’être inspiré de la version de Plus je t’embrasse par Blossom Dearie et qu’elle se soit fait connaître en 1954 à Paris avec une chanson adaptée et arrangée par Jean Constantin et Michel Legrand intitulée La légende du pays aux oiseaux. »Par Noé GAILLARD – DAILY PASSIONS

  • Le chanteur-compositeur a l’intelligence de laisser parler la musique par Hexag
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    Nous avons déjà égrené les points forts du dernier Gérard Pierron : son évidence mélodique (chanson du traîne-misère), sa gourmandise de diseur (La marchande d’images), la variété des accompagnements (piano-accordéon pour « Tuileries de mes peines », ou violon-rhodes pour « Berceuse II », flûte enchanteresse en sus), l’intemporel (rondeau de Charles d’Orléans) et l’actuel « Devil-lès-Rouen », les subtiles réappropriations de musiques jadis offertes à d’autres, sa propre écriture, simple mais puissante (« Regarder la Loire », sommet d’émotion et d’étrangeté »). Mais les temps calmes ne sont pas moins beaux : « le doute », qui illustre ce qu’un Leprest mineur et fatigué contient encore de beauté, magnifié par Nathalie Fortin en état de grâce ; « A la brune à la blonde » (« et merde pour le curé ! ») un Queneau irrévérencieux, chœurs complices et chaleureux ; « Petits lapons », sorti de la plume fantaisiste de Georges Fourest, tout en aigus piqués (Marie Mazille et ses nyckelharpa, c [...]

  • « Jackson s’y révèle grandiose avec une voix ample et conquérante » par ABS Mag
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    « Une loi européenne sur l’exploitation du domaine public interdit la publication des enregistrements post-1962 de Mahalia Jackson sans payer les ayant-droits. Ce volume 19 conclut donc cette intégrale jusqu’à nouvel ordre, sauf découverte éventuelle de documents inédits antérieurs à 1962 débouchant sur un volume 20… Qui vivra verra. Les 6 premières faces (sur 16) ont été enregistrées par Mahalia à Hollywood, CA, le 22 mars 1962 avec un orchestre conduit par le pianiste Edward C. Robinson et une chorale dirigée par Thurston Frazier sur 4 faces. La première partie de cette séance se trouve sur le volume 18. Comme d’habitude, Jackson s’y révèle grandiose avec une voix ample et conquérante, une décontraction totale et un talent sans affectation. Grâce à Robinson et Frazier, cela swingue à tout va, cela commence en fanfare avec un Lord Don’t Let Me Fail une valse gospel où une Mahalia en verve est boostée par le piano de Robinson. Cela continue de la même manière dans l’excellent I Co [...]

  • « An uphill struggle in a milieu dominated by white males » by Jazz Journal
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    The three-CD set features no less than 30 ladies on a total of 76 tracks, mainly with trio or quartet rhythm backing, and a few with small groups. In tune with current widespread re-evaluations of women’s commercial status and rights, the Frémeaux label has for some time drawn attention to historic undervaluations of female jazz musicians. The black instrumentalists, particularly, must have found their careers an uphill struggle in a milieu dominated by white males, often with deplorable racist attitudes. An album on this theme entitled Jazz Ladies 1924-1962 featured recordings by a range of instrumentalists on trumpet, trombone, saxes, piano and organ, plus all girl bands. The follow-up release focuses strictly on singing lady pianists. (...)By Hugh RAINEY – JAZZ JOURNAL

  • « Peps, bonne humeur et brio » par TSF JAZZ
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    « On ne pouvait rêver mieux que de célébrer le retour du Paris Gadjo Club, une formation qui mélange avec peps, bonne humeur et brio le swing manouche et les musiques brésiliennes : samba, bossa et choro. » Par Jean-Charles DOUKHAN - TSF JAZZ

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