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  • « Un bonheur incalculable » par Jazz Nights
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    « En matière de composition, surtout dans le monde du jazz et de la musique de film, la référence est inévitablement américaine. Mais de l’autre côté de l’Atlantique, en sol français, il y a le pianiste Claude Bolling (1930). Aussi loin que je me souvienne, le célèbre thème du film Borsalino m’a accompagné ainsi que la trame sonore de Daisy Town (Lucky Luke) avec ce solo de batterie qui vaut à lui seul son pesant d’or. Au fil des décennies, j’ai découvert qu’il avait aussi composé la musique du Mur de l’Atlantique, Flic Story et j’en passe. À travers ce DVD amoureux qui retrace la carrière de ce grand monsieur, vous allez découvrir sa passion intacte pour le jazz et le swing qu’il infusa à travers son Claude Bolling Big Band. Au fil des entrevues, nous croiserons : Alain Delon, le saxophoniste Claude Tissendier, le réalisateur Philippe de Broca, Patrick Frémeaux qui supervisa le projet, bref, un bonheur incalculable. En plus du DVD et parce que le monsieur est avant tout un fin pi [...]

  • « Une belle surprise » par Télérama
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    « (...) pas d'instruments insolites ou d'électronique intempestive : on est bien dans le bain acoustique d'une formation avec guitares, violon et contrebasse. Mais les compositions sont hardies et les solos, même joués à toute vitesse, ne reposent pas sur des clichés éculés. Une belle surprise. » Par TELERAMA

  • « Du bop ripoliné à la sauce manouche » par Nouvelle Vague
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    « RP Quartet fondé par Bastien Ribot (R) et Edouard Pennes (P), joue une musique d’inspiration manouche. Deux guitares, la lead, la rythmique, violon et contrebasse. Plutôt que de reprendre les sempiternels (et néanmoins excellents) thèmes de Django ou Grappelli, un « Minor Swing » par-ci, un « Nuages » par-là, RP Quartet a choisi pour leur 4e album de réarranger à la sauce manouche quelques titres du répertoire jazz classique, certains très connus et d’autres qui le sont moins. C’est ainsi que Wayne Shorter, « Nefertiti », Monk « Brilliant Corners« , Mingus, « Duke Ellington Sound’s Of Love » côtoient Coltrane, « Like Sonny », Billy Strayhorn et son fameux « Take The A Train » sous les doigts agités des cordes fébriles du quartet. Du bop ripoliné à la sauce manouche avec un léger esprit frondeur qui ravi.Jacques LEROGNON – NOUVELLE VAGUE

  • « Une imagination sans limite chez cet esthète coloriste » par Libération
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    « Couvrant les années 1956 à 1962, un coffret de trois CD réunit les multiples facettes du pianiste, compositeur et arrangeur qui fit ses premières armes aux côtés de Boris Vian et de Serge Gainsbourg. Il ne fallait pas moins de trois CD pour donner la juste mesure des débuts d’Alain Goraguer dans le métier. Goraguer, un nom associé à bien des voix, dont il fut un partenaire de première main, cosignant nombre de succès (de la Poupée de cire de France Gall à la terrible version de Mas que nada, requalifiée La ville est là, pour Isabelle Aubret, sans oublier la Montagne de Jean Ferrat). C’est ainsi que ce pianiste aura peaufiné ce son, fait de classe et de décontraction, qui rappelle que le natif de Rosny-sous-Bois (en 1931) a grandi à l’écoute attentive des maîtres du jazz, à commencer par Oscar Peterson, une influence pour tout amateur en ces années-là, et Duke Ellington, la référence pour tous ceux qui vont bâtir d’autres lendemains.Le premier d’entre tous ces chanteurs sera Bori [...]

  • « C’est formidable » par Le Soir
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    « L’âge d’or du jazz belge, c’est sans doute aujourd’hui, avec la multiplication des excellents musiciens qui sortent de nos excellentes écoles et l’émergence de cadors comme Jean-Paul Estiévenart, Antoine Pierre, Igor Gehenot, Fabrizio Cassol, etc. Mais le jazz belge a une histoire et ces nouveaux venus ne figurent pas encore dans le dictionnaire du jazz de chez Laffont alors que les grands anciens belges y sont, eux, et en bonne place : Bobby Jaspar, René Thomas, Jacques Pelzer, Sadi, Toots Thielemans. Ce sont les premiers enregistrements de ceux-là, plus quelques autres, que Frémeaux a eu la très bonne idée de sortir des archives pour nous offrir cette histoire du jazz belge de 1949 à 1961. On y retrouve, outre les musiciens cités, les Bob Shots, Jack Sels, Jean Warland, Herman Sandy, Benoît Quersin, Philip Catherine en 1961 avec Jack Sels et Lou Bennett, Oscar Pettiford avec Toots en 1955, Blossom Dearie avec Sadi en 1956. C’est du bop et c’est formidable. On réécoute avec bon [...]

  • « Cet album peut, à bon droit, susciter l’adhésion » par Jazz Magazine
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    Le « crossover », ce genre censé jeter un pont entre jazz et classique, a connu des adeptes à toutes les époques. En France, outre Jacques Loussier revisitant Jean Sébastien Bach, Claude bolling rencontra un succès mérité pour ses collaborations avec des artistes tels Jean-Pierre Rampal, Alexandre Lagoya ou Maurice André.  C’est donc au tour de Stan Laferrière de livrer une nouvelle preuve de son talent éclectique. Avec son Big One, grande formation dont on a déjà pu apprécier la valeur et la cohésion, et avec l’appoint précieux de Pierre de Bethmann, auteur de soli lumineux, le multi-instrumentiste, compositeur et arrangeur repeint aux couleurs les plus vives ces « Tableaux d’une exposition » du compositeur russe Modeste Moussorgsky (1839-1881). Un musicien qui aurait, à coup sûr, souscrit à une telle initiative tant son œuvre témoigne d’une liberté quasi totale à l’égard des codes et des conventions. La valeur de cet album tient à l’équilibre entre respect de l’esprit, sinon tou [...]

  • « Recommandé à qui s’intéresse aux fructueuses ramifications européennes du jazz
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    « […] Le rigorisme industrieux des Flamands, tour à tour combiné ou opposé à la bonhomie flegmatique des Wallons, produit ce cocktail qui séduit l’étranger de passage, autant qu’il le plonge parfois dans une insondable perplexité. Le pays qui offrit au monde Tintin et Milou, Magritte, James Ensor, Bruegel, Brel, Émile Verhaeren, Georges Simenon, Henri Michaux, Django Reinhardt, Benoît Poelvoorde et les bières d’Abbaye, s’est de tout temps distingué par un dynamisme et un foisonnement culturel dignes de ceux de Londres, Berlin ou New-York (l’auto-dérision en plus). […] Le spécialiste Philippe Comoy dut batailler ferme pour assembler les 62 enregistrements présentant cette séquence du jazz belge, dont certains proviennent du mythique 25cm “Jazz In Little Belgium” d’avril 58, ou encore des LPs que produisit à la fin des années 50 la chaîne de grands magasins l’Innovation. À signaler, outre l’élégante combinaison que formaient Bobby Jaspar et René Thomas, le cool swing de Jack Sels (a [...]

  • « Un voyage musical riche en belles surprises. » par Couleurs Jazz
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    « L’album “Atlântico” mêle le jazz manouche au fado et au choro brésilien. Pour l’occasion, Fapy Lafertin est entouré de trois jeunes musiciens belges : Alexandre Tripodi, violon, Cédric Raymond, contrebasse et Renaud Dardenne, guitare, inspirés par les musiques luso-brésiliennes. Marqué par le sceau de l’éclectisme, le répertoire propose quatre morceaux de Fapy Lafertin parés de nouveaux arrangements, un nombre égal de standards du jazz et une composition originale de chacun de ses collègues. Une écoute attentive de l’autre, des valeurs artistiques communes, le désir de jouer ensemble et une unité de ton dans l’interprétation rendent harmonieuse la coexistence de ces univers musicaux parfois différents. Tous les membres du quartette privilégient le beau son. Tous savent exploiter la richesse d’une mélodie avec une élégance portée par le ressort du swing. Un voyage musical riche en belles surprises. »Par Alain TOMAS – COULEURS JAZZ

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