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  • « Le portrait fin d’une femme de pouvoir qui a marqué le Moyen Age » par Le Mond
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    Rarement une reine aura autant dominé son siècle. La vie d’Aliénor d’Aquitaine fut tout d’abord exceptionnellement longue (1122-1204). Elle reste surtout connue pour avoir gouverné un vaste territoire, l’empire Plantagenêt, qui comprenait l’Angleterre, une partie de l’Irlande et du Pays de Galles, les comtés d’Anjou et du Maine, ainsi que l’Aquitaine. Son personnage de femme insoumise a, lui aussi fait couler beaucoup d’encre. Composer une biographie de cette femme puissante relève pourtant de la gageure, tant elle a été malmenée par l’historiographie. Jusqu’au XIXe siècle, les chroniqueurs l’accusèrent de toutes les transgressions – Jules Michelet, qui n’échappait pas aux poncifs de son temps, écrivait qu’elle était « passionnée et vindicative comme une femme du Midi ». Dans une biographie politique à la fois riche et concise, Martin Aurell, professeur d’histoire médiévale à l’université de Poitiers, la dégage cependant de sa légende noire de débauchée, en reprenant à nouveaux fr [...]

  • « Une bête de scène » par Chant Songs
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    « Caricature du chanteur exotique et vrai ténor, Dario Moreno est sans doute un brin oublié aujourd’hui. Sa prestation dans le disque Live in Paris 1957-1960 montre le métier d’un personnage haut en couleur. Quand il meurt, victime d’un malaise cardiaque à 47 ans, en 1968, Dario Moreno est une star des ondes. Chanteur d’opérette, il avait conquis un large public pour ses chansons francophones sur des rythmes chaloupés en diable, notamment des mélodies brésiliennes dont il avait le flair pour dénicher les meilleures versions. Il suffit d’écouter ce Live in Paris où il aligne ses tubes ; La Bamba, Si tu vas à Rio ou encore son Miguelito, qui ouvre le bal. Sans oublier son Quand elle danse qui fut un vrai tube de la vie noctambule parisienne. Turc par son père et mexicain par sa mère, Dario Moreno avait, très jeune, commencé sa carrière de chanteur, en se produisant dans les bar mitzvah et la synagogue d’Izmir, tout comme le crooner américain Paul Anka le fit aux États-Unis. (…) A dé [...]

  • « Un grand monsieur du jazz à cordes » par DNA
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    Le jeune septuagénaire originaire d’une famille manouche de Courtrai n’a rien perdu de la vitalité de son jeu de guitare. Avec son New Quartet (Alexandre Tripodi au violon, Cédric Raymond à la contrebasse et Renaud Dardenne à la guitare), Fapy Lafertin signe Atlantico : 13 titres, dont un tiers nourri de sa propre inspiration tandis que chacun de ses acolytes livrait un titre. Au final cela donne un swing dans la grande tradition du jazz à la Django, au son vintage et aux notes soyeuses. Un album voyage comme le dit si joliment Francis Couvreux dans la note de l’album puisque s’y croisent çà et là des sonorités portugaises et brésiliennes. Formation à l’élégance mélancolique, menée par un grand monsieur du jazz à cordes, Fapy Lafertin et son New Quartet.Par Serge HARTMANN – DNA (DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE)

  • « Il exhale ici un bonheur absolu de jouer » par L’Alsace
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    « Le Big One du pianiste Stan Laferrière adapte à la sauce jazz les fameux “Tableaux d’une exposition” de Moussorgsky. Les fameux thèmes classiques y sont ouvertement « traités comme des standards ». Saxes et cuivres nous régalent tant en section orchestrale qu’en solo. Entre chaque “Tableau”, une variation improvisée est déclinée au piano solo par Pierre de Bethmann. Six parenthèses audacieuses comme pour mieux inviter le big band à s’enflammer de nouveau sur le brasier du swing. Si le mariage entre jazz et classique n’est pas toujours heureux, il exhale ici un bonheur absolu de jouer. Deux journées de studio auront suffi pour « repeindre » l’œuvre de Moussorgsky. D’où la salutaire spontanéité qui a été divinement captée sur cet album. »Par Thierry BOILLOT – L’ALSACE

  • « De première importance » par L’Académie du jazz
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    « Pays ouvert aux rencontres, la Belgique a toujours entretenu des rapports privilégiés avec le jazz et joué très tôt un rôle déterminant dans la diffusion de cette musique : dès 1924, paraît la revue Musique Magazine qui accorde une large place au jazz et huit ans plus tard, Robert Goffin devient le premier critique de l'histoire du jazz avec son ouvrage "Aux frontières du jazz". Rappelons que Django Reinhardt est né en 1910 à Liberchies, dans le pays d'Adolphe Sax, qui dès les années 20 comptait des jazzmen belges de valeur comme le montrent les enregistrements rassemblés par Robert Pernet dans le coffret "Jazz in Little Belgium", (actuellement indisponible).Poursuivant cette voie d'excellence, cette anthologie, concoctée de main de maître par Philippe Comoy, est consacrée à une génération de musiciens belges dont le talent fut révélé au niveau international lors du festival de Knokke-le-Zoute de 1956. On y entend les premiers enregistrements sous leur nom du guitariste René Tho [...]

  • « Une carrière météorique » par ABS Magazine
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    « A priori, la question se posait de savoir si une chronique relative à un crooner blanc du Rockabilly et du Rock ‘n Roll des années 50 avait sa place dans ABS Magazine. Après écoute des trois Cds de ce coffret Frémeaux et Associés accompagné d’un livret très documenté de 24 pages dû à Bruno Blum, la réponse est « oui » tant Buddy Holly, au-delà de son charisme et de son succès avec Peggy Sue et la suite, était influencé par les rockeurs noirs comme Little Richard, Chuck Berry, Bo Diddley… et même Ray Charles. De son vrai nom Charles Hardin Holley et né à Lubbock, Texas, en 1936, Buddy Holly eut une carrière météorique, de 1955 à 1959, enregistrant en ce bref laps de temps 62 faces d’un rockabilly très rock and roll et aux racines R&B et même blues, avec un succès considérable, devenant la coqueluche d’une jeunesse conquise par son talent et son look de timide à lunettes mais la fatalité a voulu qu’il se tue en avion en 1959, il avait seulement 23 ans ! Il jouissait de l’estime de [...]

  • « Un avant et un après » par Pascal Anquetil
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    « J'étais à ce concert de l'Olympia avec mon jumeau Gilles Nous avions 16 ans. Only sixteen !!! Telle une “coupure épistémologique” comme disait le gourou de large d'Ulm Louis Althusser, il détermina dans mon existence d’amateur de jazz un avant et un après. Je garde encore en mémoire l’empreinte fossile du big bang qu’il provoqua en moi. Jamais un enregistrement ne pourra ressusciter l’intensité magnétique que dégageaient sur scène les quatre musiciens, ni reproduire la puissance “physique” du son de cathédrale de Trane au ténor. Jamais il ne pourra aussi restituer la dimension visuelle de ce tsunami sonore, comme ces images d’Elvin Jones, ses grimaces et ses grands moulinets dans l’espace. Comment un disque pourrait-il faire revivre un tel tintamarre incendiaire ? Un grand merci à l'ami Patrick Frémeaux qui grâce à cette publication, me permet de raviver mes souvenirs et de retrouver mes 16 ans !!! » Par Pascal ANQUETIL

  • « Un disque perdu réédité… » par Chasse Marée
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    Embarqué sur les navires des Messageries maritimes de 1924 à 1960, le marseillais Louis Brauquier était aussi un poète (CM 17) qui se plaisait à évoquer sa vie de marin, ses rencontres et les souvenirs des ports visités. Gérard Pierron a mis en musique et interprété ses « poèmes d’escale » avec des arrangements de Richard Galliano qui l’accompagnait à l’accordéon, au bandonéon et au piano. Un disque paru en 1990 au Chant du Monde, introuvable depuis longtemps et heureusement réédité par Frémeaux & Associés parmi d’autres « Trésors perdus » - c’est le titre de cette « Rétrospective 1981-2013 » où l’on entendra aussi nombre d’autres chansons, souvent inspirées par la Loire et par d’autres voyages de ce « Terre-neuvas des foins » (l’expression est un titre de son complice et également parolier Allain Leprest) embarqué « dans son vieux bateau de 2 CV » plus souvent qu’en mer ! Gérard Pierron, délicat, chante et sert le poète sans jamais tirer la couverture à lui. Par CHASSE MAREE

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