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  • « La grâce d’une voix sans égale » par La Croix
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    « Elle était blanchisseuse à la Nouvelle-Orléans et chantait dans la chorale de son église baptiste où prêchait son père. Devenue la « reine du gospel » par la grâce d’une voix sans égale, elle a été l’amie de Duke Ellington et Martin Luther King, que son chant a accompagné jusqu’à son enterrement. Mahalia Jackson sublima aussi le film Mirage de la vie avec le cantique Trouble of The World. C’est dire ce qu’apporte au patrimoine mondial de la musique l’initiative, pilotée par Jean Buzelin, de l’éditer intégralement. Tous les CD publiés par Frémeaux contiennent des pépites (au son restauré). Pour une première écoute, on peut commencer par le volume 13, consacré à 1961, année qu’elle commença en chantant pour l’intronisation du président Kennedy, avant d’aller triompher sur les scènes européennes, et de donner à l’Olympia le 25 février, un concert dont Paris se souvient encore. » Par Nathalie LACUBE – LA CROIX

  • « Armstrong se donne généreusement » par Saisons de Culture
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    « Ma chance a été d’entrer dans le monde du jazz par l’intermédiaire de Louis Armstrong, ses disques du Hot Five et du Hot Seven, de 1926 à 1929. (…) On les trouve, ces faces, dans les volumes 3, 4 et 5 de l’indispensable intégrale publiée par Frémeaux & Associés, dont le 15e volume paraît à présent. (…) Le début des années quarante vit la fin des grands orchestres, même celui de Louis Armstrong. Mais le succès de celui-ci ne se démentait pas : ayant formé un All Stars avec des musiciens de premier plan comme le tromboniste Jack Teagarden, son vieux complice blanc, le clarinettiste Barney Bigard, ellingtonien notoire, le pianiste Earl Hines avec qui il avait enregistré à la fin des années vingt un chef d’œuvre en duo, Weather Bird, le grand batteur Sid Catllett, qui s’était aussi frotté aux hip cats du bebop, il multipliait les concerts avec un répertoire traditionnel dans de grandes salles classiques, le Town Hall et le Carnegie Hall de New York, le Symphony Hall de Boston, et po [...]

  • « Une place privilégiée dans le great american songbook après » par TSF Jazz
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    « Mack the Knife, mais aussi September Song, c'est lui ! Considéré par certains comme le "chaînon manquant entre Gerswhin et Bernstein", le compositeur de L'Opéra de quat'sous, Kurt Weill, a occupé une place privilégiée dans le great american songbook après avoir incarné ce que l'Allemagne avait de plus progressiste du temps où elle n'était pas encore dirigée par un certain Adolf Hitler. »Par Laurent SAPIR – TSF JAZZ

  • « L’abécédaire sensible d’un homme apaisé » par Joël Jégouzo Over Blog
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    « Un abécédaire sonore égrenant 26 thèmes philosophiques, sociologiques et finalement biographiques. L’abécédaire sensible d’un homme apaisé, qui néanmoins n’a pas peur d’en appeler encore et toujours à l’espoir, sinon la résistance, et cela bien que son sentiment soit des plus pessimiste désormais : c’est qu’Edgar Morin s’est convaincu que tout cela finira mal. «Tout cela»… A commencer par notre incapacité à dépasser un modèle économique néolibéral qui nous mène droit dans le mur d’une philosophie aux yeux de laquelle l’humain n’est qu’une variable d’ajustement. A poursuivre dans notre incapacité à rompre avec l’épuisement des ressources naturelles, voire notre refus à réaliser l’imminence de la catastrophe écologique qui se profile - rappelons que le Golf Stream est en train de faire ses adieux à l’Europe, et que nous y sommes donc, déjà... Tout cela parce que les forces à l’œuvre sont trop aguerries, trop intégrées, trop systémiques pour qu’on puisse leur résister efficacement. [...]

  • « Une oeuvre à faire chavirer le cœur » par La route aux quatre chansons
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    « En 2016, l’étiquette française Frémeaux & associés avait publié une première et puissante anthologie de Gérard Pierron. En voici la suite, «Trésors perdus», quatre cd pour couvrir la période 1981-2013. Les grandes chansons poétiques et sociales n’y manquent pas, chantées d’une voix sobre, belle, frémissante. Parmi les plus fortes, citons Scheveningue, morte saison; La rue des ciseaux dorés; Le marchand d’oranges… On regrettera que son troisième microsillon (1981) ne soit pas intégralement repris ici, mais il paraît que Pierron n’a jamais été satisfait du mixage original du vinyle, pourtant un de ses meilleurs albums en carrière. Pour nous consoler, d’autres extraits du même 33-tours avaient été réédités sur la première anthologie. Sur la nouvelle, on trouve de généreux extraits du double album «Plein chant» et la totalité de «Carnet de bord». On peut y redécouvrir avec plaisir Le maître et la boule (tirée de «Chansons en charentaises»). Les choix y sont généralement judicieux, l [...]

  • « Un concentré de chansons poétiques pleines de révolte et de désespoir» par La
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    « Il y a une vingtaine d’années, le vinyle tombait en désuétude et on pouvait arpenter les disquaires d’occasion à la recherche de trésors. Et on en trouvait encore, à des prix dérisoires. Un jour, au hasard, j’ai mis la main à Montréal sur le premier album de Gérard Pierron, attiré par la pochette où figurait la photo d’un vagabond de dos, par les titres, je ne sais quoi… J’ai posé l’aiguille dans le sillon du 33-tours et… J’ai entendu la voix de ce gars, les premières notes entêtantes, et je savais déjà que le choc serait fort. Il l’a été, et dure encore deux décennies plus tard. Ça s’appelait «La chanson d’un gâs qu’a mal tourné», sur lequel on pouvait entendre les textes anarchistes du poète français Gaston Couté (1880-1911). Chantés par Pierron et dits par Bernard Meulien. Une puissance, une originalité. La langue résonnait du patois beauceron qui ressemble étrangement au joual du Québec. Naturellement, une telle merveille n’était pas rééditée en cd. Il fallut attendre. Longt [...]

  • « Les standards deviennent des nouveautés »
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    « Le jeune violoniste toulousain, Bastien Ribot, a finalement sorti un album, sous son nom, après avoir cofondé le RP Quartet, la formation de jazz manouche la plus atypique et créative de ce siècle. Malgré son titre, plutôt anodin, sa sélection de standards de violon du jazz est loin d’être banale. D’abord, il est accompagné d’un trio inattendu de orgue hammond et batterie (sans guitare ni basse). Ça change tout, même l’interprétation des classiques du swing de Django. Grâce à ses deux complices, ses trois invités et ses arrangements innovants, les standards deviennent des nouveautés et l’album s’inscrit tel le début d’une longue lignée. Ce disque s’ouvre avec Une nuit au violon de Martial Solal et culmine sur les revisites des succès de ses idoles : Didier Lockwood et Jean-Luc Ponty. »Par Sir ALI – LE JAZZOPHONE

  • « Des bijoux de dérision, d’humour, de spiritualité, de résistance, de verve » p
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    « L’éditeur Frémeaux et Associés présente en 3 CD l’anthologie musicale (59 morceaux) qui illustre l’exposition du Quai Branly. Abolie en 1966, la ségrégation raciale a étranglé les relations entre Blancs, Noirs et Métis. Celle-ci a néanmoins inspiré des bijoux de dérision, d’humour, de spiritualité, de résistance, de verve. Du chant de travail au calypso, du gospel au negro spiritual, du blues au jazz, tous les modes devenaient canal pour s’exprimer. Des mouvements de la Harlem Renaissance à celui des Droits civiques, le musicologue Bruno Blum détaille la créativité inextinguible des populations opprimées dans un livret documenté de 24 pages. »Par Bruno PFEIFFER - LIBERATION

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