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  • “Rather nice” par Blues & Rhythm
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    French solo boogie-woogie pianist Sébastien impressed with his debut set « Rag ‘N Boggie” (Frémeaux FA 8507). This album continues in the same vein, though perhaps with a little more of an experimental side, as for example on “Woodywood Pecker Boogie” (sic) with its different tempos at the same time. Sébastien has the proverbial “left hand like God” and as stated, he is not afraid to expand the boogie-woogie repertoire – which means his is not quite as immediately accessible as its predecessor. It does require a few plays before its subtleties can be fully appreciated, though it is worth the effort as he has made a boogie-woogie album on which the primary influences are not immediately obvious. He also keeps faith with the ragtime tradition; try “Boogaudébut Ragalafin” -rather nice.Par Norman DARWEN – BLUES & RHYTHM

  • « L’un des meilleurs choix possibles pour cerner l’œuvre de Lady Day » par Jazz
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    Intégrale ? Sélection autour d’une époque ou d’un label ? Simple « best of » ? Chez Frémeaux le « best of » s’appelle « Quintessence », une collection de doubles albums consacrés aux grands du jazz. Lorsqu’en 1995 Alain Gerber prépara celui consacré à Billie Holiday (« The Quintessence, 1935-1944 »), il devait bouillir de frustration d’être limité à l’année 1944 par le respect du droit de l’interprète et du producteur. Deux ans plus tard, il livrait une deuxième « Quintessence » élargie (1934-1946). Vingt ans après, en tandem avec Alain Tercinet, toute l’œuvre de Billie tombée dans le domaine public, il a constitué une sélection non plus élargie, mais chronologiquement complémentaire aux deux précédentes. Traversant les périodes Decca et surtout Clef-Verve, c’est bien une quintessence que sélectionnent et commentent Gerber et Tercinet dans un esprit d’amoureuse exigence, sortant même des séances officielles pour nous offrir un « Lover Come Back To Me » en concert au Storyville de [...]

  • « L’intérêt d’une telle anthologie tient autant aux succès, qu’aux pièces rares
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    Si June Christy apparaît ici au tout premier rang avec des extraits de son « Something Cool » (le seul de ses disques qu’elle estimait vraiment bon), précisons que les jazz dit « cool » et « West Coast », dont les appellations, ne sont pas synonymes, ont pour grande partie en commun, outre une certaine douceur, l’arrangement comme priorité. On aura garde d’oublier en effet que derrière les talents de ces chanteuses et chanteurs ici réunis se tenaient des plumes expertes et raffinées : Pete Rugolo, Shorty Rogers, André Prévin, Marty Paich, Johnny Mandel, Russell Garcia, Bill Holman. Et parfois, a contrario, un instrumentiste seul, comme dans le « Cry Me A River », « hit » absolu de Julie London où elle est accompagnée par Barney Kessel. Ce qui n’est rien dire de la qualité des solistes dont, plus encore que les vocalistes, il serait fastidieux de dresser ici la liste, et qui, parfois même, constituent l’intérêt premier des morceaux. En outre, l’intérêt d’une telle anthologie tient [...]

  • « Le temple parisien pour les amateurs de chabada et de shuffle » par Jazz Magaz
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    Un joyeux fourre-tout rassemblé autour d’un fil conducteur, la danse dont le Caveau de la Huchette est resté depuis l’immédiat après-guerre, le temple parisien pour les amateurs de chabada et de shuffle. Un temple sur lequel le cinéma a su braquer ses caméras, de « Les Tricheurs » à « La La Land ». On y croise évidemment Dany Doriz (vib), patron depuis 1970, avec Milt Buckner, Bill Coleman, Duffy Jackson et Georges Arvanitas, Bob Wilber, Wild Bill Davis et Sacha Distel, Marcel Azzola, ainsi qu’à la tête de ses formations (du quartette au big band). On y entend Maxim Saury, résident de 1955 à 1968, et les plus grandes têtes d’affiche du lieu : Lionel Hampton et son big band, Memphis Slim accompagné de l’indéfectible Michel Denis (dm), Claude Bolling recréant « Fireworks » en duo avec Roy Eldridge, Sam Woodyard prêtant son shuffle à Jean-Paul Amouroux, Scott Hamilton, Marcel Zanini, Claude Luter… Si les gardiens de la tradition font bonne figure autour de Marc Laferrière, Daniel Sid [...]

  • « La relecture d’une des perles du genre » par Guitare Mag
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    Editeur de l’intégrale Django Reinhardt, Frémeaux & Associés fait partie des rares labels qui continuent de défendre avec assiduité la guitare manouche et les musiques qui lui sont associées. (…) C’est justement à la relecture d’une des perles du genre, le fameux « Manouche Partie » de Jo Privat (featuring Matelot Ferré !), que s’adonnent Daniel Givone et le quartet nantais Swing of France. Il est certes difficile de faire oublier l’original (daté de 1960/1966), qui constitue d’ailleurs un des actes de naissance de ce que l’on appelle aujourd’hui le « jazz manouche », mais nos compères ont du talent à revendre, et la substitution du tuba de Vincent Morinière à la traditionnelle contrebasse contribue à la saveur du propos. Par Max ROBIN – GUITARE MAG

  • « Un opus incontournable » Par Chants songs
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    C’est la renaissance d’un album mythique. Nous sommes en 1960 et l’illustre Jo Privat enregistre un disque qui va devenir, selon l’expression consacrée, culte. Il s’agit de Manouche partie. Devenu un classique du jazz musette, ce disque va influencer des générations de croque-notes. Avec le franc parler qui était le caractérisait, Jo Privat avait déclaré ensuite : « De tous mes disques, c’est certainement celui où tous les musiciens ont mis le plus de cœur; c’était homogène (…) on bandait quoi ! » En refaisant vivre ce disque, Swing of France – un groupe qui se bat pour redonner ses lettres de noblesse au jazz musette – et Daniel Givone ont eu la bonne idée de rester fidèle à l’original sans pour autant jouer la copie conforme. Et le résultat est plein de punch et enlevé. Daniel Givone souligne : « Je crois que la première chose que j’ai entendu en venant au monde c’était un disque de Jo Privat… » Accordéoniste, son père passait régulièrement cet album sur le tourne disque familia [...]

  • « L’exil pour éternel refuge » par Le Figaro
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    Rebetiko. C’est la musique qui a emmené Tony Gatlif en Grèce pour son nouveau film, « Djam ». « Je l’ai découverte en 1983, quand je suis allé présenter mon film ‘Les Princes en Turquie’, dit-il, ça a été un choc parce que j’y ai retrouvé la même rage que dans le flamenco et le blues. C’est une musique née dans la communauté grecque de Turquie, quand les Grecs furent chassés, en 1922. Une musique de révoltés contre l’ordre imposé. Ils ont inventé en prison ce petit instrument, le baglama. Ils aimaient aller en prison parce que c’est là qu’ils pouvaient chanter ensemble. Et Il y a des textes magnifiques. Ils ont emporté leur musique avec eux, et je l’ai retrouvée à Athènes, dans un cabaret du marché de Plaka. Les clients connaissaient tous les morceaux et chantaient avec les musiciens. Depuis, après le flamenco et la musique arabe, cela faisait partie de mes plans d’aborder le rebetiko. » C’est la musique de l’exil, « quand on part avec une valise sans rien de son pays ». Rien ne p [...]

  • « La continuité du travail de Swing of France est impressionnante » L’autre bist
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    « J'ai appris il y a quelques jours l'existence du dernier album de Swing of France ; forcément, illico je l'ai commandé et, depuis que je l'ai reçu, je l'ai écouté plusieurs fois. Chaque fois avec le même intérêt et un même plaisir, voire avec un intérêt et un plaisir croissants. Cet album :"Daniel Givone et Swing of France play Manouche Partie" est une réussite. Comme déjà l'était le disque précédent intitulé :"La contre-attaque du jazz musette - Swing of France". Bref, une formation que l'on apprécie à un très haut niveau depuis qu'on l'avait découverte un certain après-midi de Nuits de nacre à Tulle.(...) Pour ma part donc, je m'en tiendrai à quelques notes synthétiques. D'abord, il est clair et évident que cet opus manifeste un projet qui vient de loin. La continuité du travail de Swing of France est impressionnante. Leur devise pourrait être "Défense et illustration du jazz musette". D'autre part, Swing of France est une formation à géométrie variable, de deux à cinq membr [...]

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