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  • « Le sens profond des mythes grecs » par Mythologie (s)
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    Quel est le sens profond des mythes grecs ? La réponse se trouve dans un passage d’une des œuvres les plus connues et les plus anciennes de la langue grecque, L’Odyssée d’Homère. On y mesure d’emblée à quel point la mythologie n’est pas ce qu’on croit…Par Mythologie (s)

  • « Le plus grand artiste noir du rock and roll » par Soul Bag
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    De fin 1955 à 1957, Little Richard a marqué à jamais la musique populaire mondiale, s’inscrivant comme le plus grand artiste noir du rock and roll. Personne n’a eu autant de hits et créé de standards en si peu de temps, entre sa première session Speciality en novembre 1955 et la dernière en octobre 1957. Chuck Berry, Larry Williams ou d’autres ont eu la créativité mais pas cette densité temporelle. Durant cette période, tout le monde reprendra les chansons de Little Richard, mais lui ne reprendra personne. Il n’avait pas besoin, se suffisant à lui-même. Il n’a bien sûr pas tout inventé, il a lui aussi été influencé par d’autres, comme Billy Wright, mais il a su, par un alliage musical, mental et comportemental unique, cristalliser les forces du rock and roll et les goûts de la jeunesse pour en faire un météore artistique dont la queue n’a toujours pas disparu du ciel. A l’instar d’Elvis Presley, il devint prisonnier d’un royaume  musical et spectaculaire, dont il n’est jamais vrai [...]

  • « Quelle aisance, et quels grands moments de music-hall ! » par Juke Box
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    Dans cette série Frémeaux consacrée à des enregistrements en public millésimés et souvent inédits, Salvador est arrivé. Le cru, 1956-1960, correspond à l’un de ses plus féconds, celui d’avec Boris Vian. Entre Bobino et Alhambra (pas d’Olympia, il s’était fâché avec Bruno Coquatrix), les 24 titres sont un panachage, dont beaucoup avaient été diffusés sur Europe n°1. Toutes les facettes de cet homme-orchestre, unique au monde, sont présentes, avec bien-sûr son rire tonitruant, cette voix de velours et ce don pour les effets de voix et accents (spécialement antillais, lui le Guyanais aux ancêtres gaulois!). Dans la tradition de l’époque, il présente la plupart des chansons (et sketchs), à sa façon. Points d’ancrage, on déguste deux prises de « Rock Hoquet » (avec comme il se doit introduction condescendante sur le rock’n’roll) et de « Bouse Du Dentiste ». Ses fleurons s’enchaînent, « Quand Je Monte Chez Toi », « Je Peux Pas Travailler », « Petite Fleur » (magnifique version chantée d [...]

  • « La hâte et le bonheur de jouer » par Jazz Magazine
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    Le volume 1 retraçait les premières années toujours passionnantes à parcourir. Ce volume 2 plonge dans la plénitude, forcément plus ronronnante, sans trop s’attarder sur le best seller « Concert By The Sea » que tous possèdent et que les autres pourront bientôt se procurer (si les premiers leur en laissent quelques exemplaires dans les bacs) dans une nouvelle édition « Complete » (3CD) que Sony Music nous promet exemplaire et aura livré chez vos disquaires avant même que ces pages paraissent. Ronronnante ? Se lasse-t-on du ronronnement de ce gros chat capable entre deux grâces de décocher de foudroyants coups de griffes, par exemple lorsque, le 7 juin 1956 (pour l’album « The Most Happy Piano ») après s’être longuement laissé caresser le ventre sur The Man I Love, il bondit soudain en tempo double, jouant à estourbir une souris imaginaire d’un bout à l’autre du clavier ou piétinant rageusement une petite zone qui révèle un piano bien mal accordé. Mais peu importe l’accord, ronronn [...]

  • Parfaite anthologie par Rock & Folk
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    Sous-titrée "Black Rock Music Forbidden on US radio", cette parfaite anthologie de trois CD réunit le meilleur de ce qu'on appelle désormais le black rock and roll, soit cette musique, qui, pour des raisons raciales, n'a jamais pu toucher le grand public que purent se payer Elvis, Jerry Lee et les autres. En près de 80 morceaux zigzaguant entre Lightnin’ Hopkins, Rufus Thomas, Junior Parker, Roy Brown ou Fats Domino deux choses sont évidentes : tout d’abord, un nombre invraisemblable de ces titres est extraordinaire, mais malgré tout, rien ici ne sonne à la manière des futurs titres blancs de chez Sun : rhythm and blues et rockability, bien qu’ayant beaucoup de choses en commun, restent fondamentalement différents, la sauvagerie, le minimalisme et l’influence country du second contrastant inévitablement avec les cuivres, le piano, une certaine sophistication et les racines blues, jazz et boogie-woogie du premier. Mastering monumental.  ROCK & FOLK

  • « Une époque où l’humour était aussi une philosophie de vie » par Chants Songs
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    « Quand Queneau croquait la chanson. Passionnant pour tout amateur de chansons,  le coffret Raymond Queneau et Paul Braffort : chansons d’avant l’Oulipo (*). C’est un retour sur une époque riche des années 50 où le célèbre romancier et co-fondateur du mouvement Oulipo a signé bien des textes passés à la postérité. L’Oulipo, c’est l’acronyme passée à la postérité pour l’Ouvroir de littérature potentielle, dont Raymond Queneau fut le cofondateur en 1948  et Paul Braffort (mathématicien, chercheur, auteur, compositeur) un membre actif depuis 1961. Réunissant littéraires (tel Italo Calvino et Georges Pérec) et mathématiciens, le groupe international comptait de nombreux membres qui se définissaient eux-mêmes comme des « rats qui construisent eux-mêmes le labyrinthe dont ils se proposent de sortir. » Si la vocation musicale de Raymond Queneau, cet  enfant du Havre, a tourné court – les gammes le lassaient et il a vite abandonné le piano – l’auteur de Zazie dans le métro est venu à la m [...]

  • « De grands moments d’un jazz pur » Le Quotidien du médecin
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    « La collection « Live in Paris » (Frémeaux & Associés) regorge de trésors inédits, produits par le tandem Frank Ténot-Daniel Filipacchi, enregistrés en direct dans la capitale, durant les décennies 1950 et 1960, grâce aux équipes techniques de la radio Europe 1. Derniers en date, Count Basie et Louis Armstrong. On redécouvre l’immense pianiste et chef d’orchestre à la tête de sa machine bien huilée au swing irrésistible à l’Olympia (novembre 1957 et mai 1962) et au Palais de Chaillot (mars 1960). Un big band dans lequel figurent notamment Thad Jones (trompette), Eddie Lockjaw Davis (saxe-ténor) et surtout une rythmique devenue légendaire, Freddie Green (guitare), Eddie Jones (contrebasse) et Sonny Payne (batterie). Ils interprètent des thèmes regorgeant de swing et de rythmes, la plupart dus à la plume du grand compositeur Neal Hefti. De grands moments d’un jazz pur. Grands moments aussi avec Armstrong en avril 1962, toujours à l’Olympia. Si les musiciens qui accompagnent Satchmo [...]

  • « Un génial amuseur et un magicien de la note bleue » Le Quotidien du médecin
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    « La collection « Live in Paris » (Frémeaux & Associés) regorge de trésors inédits, produits par le tandem Frank Ténot-Daniel Filipacchi, enregistrés en direct dans la capitale, durant les décennies 1950 et 1960, grâce aux équipes techniques de la radio Europe 1. Derniers en date, Count Basie et Louis Armstrong. On redécouvre l’immense pianiste et chef d’orchestre à la tête de sa machine bien huilée au swing irrésistible à l’Olympia (novembre 1957 et mai 1962) et au Palais de Chaillot (mars 1960). Un big band dans lequel figurent notamment Thad Jones (trompette), Eddie Lockjaw Davis (saxe-ténor) et surtout une rythmique devenue légendaire, Freddie Green (guitare), Eddie Jones (contrebasse) et Sonny Payne (batterie). Ils interprètent des thèmes regorgeant de swing et de rythmes, la plupart dus à la plume du grand compositeur Neal Hefti. De grands moments d’un jazz pur. Grands moments aussi avec Armstrong en avril 1962, toujours à l’Olympia. Si les musiciens qui accompagnent Satchmo [...]

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