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  • “The major figures in the blues scene” by Blues in the south
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    “This double CD set is subtitled “Political and Social Blues against Racism at the Origin Of The Civil Rights Movement” and contains plenty of relatively hard-hitting numbers, mainly from commercially released 78s, by many of the major figures in the blues scene during those years: Big Bill Broonzy, Josh White, Brownie McGhee, Tampa Red, Lonnie Johnson, Bessie Smith, Big Joe Williams, Lowell Fulson, Champion Jack Dupree, John Lee “Sonny Boy” Williamson, John Lee Hooker, Charles Brown, Memphis Slim and others. Some – though for obvious reasons not many - deal with racism overtly, others with the pernicious effects of discrimination and poverty. All have something to say, and for those who wonder about the inclusion of songs on natural disasters, just think about how New Orleans was treated in the wake of Hurricane Katrina. The booklet too outlines the route from supposed “separate but equal facilities” to Barack Obama in The White House, focusing on topical events and relating them [...]

  • « Irrésistible » par L’Alsace
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    « Claude Bolling Une anthologie de 3 CD réunit les musiques de films, connues ou méconnues, signées par ce grand baroudeur du jazz. De Borsalino à Flic Story via La Ballade des Dalton, la somme est édifiante, exaltante et irrésistible. »Par Thierry BOILLOT – L’ALSACE

  • « L’album plaira, à coup sûr ! » par Jazzmag
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    Le programme, de Chopin à Piazzola « Oblivion », de Carl Emmanuel Bach à Jaco Pastorius « Teresa » en passant par la « Waltz for Debby » de Bill Evans, sans oublier quelques compositions originales, procède d’un éclectisme révélateur. Marcel Loeffler évolue avec aisance dans plusieurs univers. Il se trouve à l’aise partout, aussi bien dans la valse dont on sait qu’elle est une des prédilections, sinon la marque distinctive du musette, que dans « Solfegietto », pièce que signa l’un des fils du Cantor et où la virtuosité de l’instrumentiste se donne libre cours. Virtuosité, lyrisme, imagination, cet album en regorge. Avec le swing caractéristique de la musique manouche et une légèreté propre à l’accordéoniste dont l’admiration pour Gus Viseur s’est concrétisée dans un précédent disque au titre explicite. « Around Gus ». Son fils Cédric à la guitare rythmique, également auteur inspiré d’une ballade, Railo, et Engé Helmsletter, qui se partagent les soli de guitare, lui offrent, avec l [...]

  • « Son inspiration s’abreuve à plusieurs sources » par Jazzmag
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    Bien connu des amateurs de jazz manouche pour ses prestations dans les clubs parisiens et ses enregistrements, notamment avec Angelo Debarre, le violoniste et chanteur Daniel John Martin montre, à travers sa large palette d’auteur-compositeur-interprète, qu’il n’est pas seulement un épigone de Django, mais que son inspiration s’abreuve à plusieurs sources. Dans son quintette, le guitariste Gilles Réa est l’auteur de soli séduisants.Par J.A.. - JAZZMAG

  • « L’âge d’or du flamenco enregistré » Par Jazzmag
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    Dans cette anthologie de l’âge d’or du flamenco enregistré, on retrouve une bonne partie du coffret LP 25 cm « Antologia Del Cante Flamenco » que l’actrice Beverly Bentley offrit en 1959 à son amant Miles Davis. S’y trouve précisément  les « saetas » chantées par Roque Montoya et Lolita Triana que Gil Evans transcrivit pour Miles sous le titre « Saeta » sur « Sketches Of Spain ».Par F.B. – JAZZMAG

  • Melodies that got the crowd hooting By The Washington Post
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    "(...) Another night I heard the RP Quartet, a young group made up of two guitars, a violin and bass that played “’60s jazz cooked in a Django sauce,” according to the concert poster. They played at New Morning, a cavernous space in the 10th arrondissement that puts on rock and funk as well as jazz. Dressed in black suits and skinny ties, the men perched on stools and strummed charging melodies that got the crowd hooting. Many of the tunes were familiar, like Thelonious Monk’s “I Mean You,” or Miles Davis’s “So What,” covered by jazz musicians everywhere. But the twangy, propulsive sound was distinctly French. The style was knowingly retro, as if winking to jazz history. See, it seemed to say: This music is really ours."By Rebecca DALZELL - THE WASHINGTON POST

  • « Une anthologie fondamentale » par Le Quotidien du médecin
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    « Bien avant Elvis Presley, il y a eu… Bill Haley ! En 1954, alors que le futur King entrait dans les studios Sun à Memphis, pour y enregistrer son premier succès, Bill Haley (de son vrai nom William John Clifton Haley, 1925-1981) avait déjà vendu plus d’un million de disques. Il avait été un des premiers chanteurs blancs à mélanger country & western et rock noir, créant ainsi un style nouveau baptisé rockabilly. Son célèbre morceau, « Rock Around The Clock » avait connu un succès phénoménal, d’autant que le thème avait été repris dans la bande-son du film « Blackboard Jungle » (« Graine de violence ») de Richard Brooks en 1955 et devint le tube de l’été de cette année. À la tête de son groupe, The Comets, Bill Haley va enchaîner les tubes, comme « Shake, Rattle and Rock » ou « See You Later, Alligator ». Autant de morceaux d’une anthologie fondamentale que l’on peut retrouver dans « The Indispensable Bill Haley - 1948-1961 » (Frémeaux & Associés), pour redécouvrir un pionnier au [...]

  • « En route vers la gloire » par Le Quotidien du médecin
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    « En 1962, Johnny Hallyday, qui n’a pas encore 20 ans, a déjà une belle carrière de chanteur derrière lui. C’est à cette époque que le jeune homme, qui commence à largement puiser (piller, plagier ?) dans le répertoire du rock’n’roll made in USA grâce à des adaptations, va devenir « l’idole des jeunes ». C’est aussi à cette époque que celui qui va devenir une icône des yé-yé et, plus tard, de la variété française, traversant toutes les époques et les générations, va investir le temple de la chanson qu’est l’Olympia. Des moments de jeunesse musicale, gravés alors par Europe n°1, que l’on peut réentendre, dans la collection « Live in Paris » (Frémeaux & Associés), avec « Johnny Hallyday - 31 oct./13 déc. 1962 ». Au programme : « Elle est terrible », « l’Idole des jeunes », « Pas cette chanson », « Retiens la nuit » ou encore « 24.000 baisers ». En route vers la gloire. »Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

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