-
« Sans doute le chanteur le plus imparable du rock des années 1950 » par Jazz Ma
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Incandescent, explosif et théâtral ce petit-fils de pasteur baptiste a sans doute été le chanteur le plus imparable du rock des années 1950. Si ses rivaux noirs et blancs ont puisé dans son répertoire d’éruptions vocales et d’onomatopées percutantes, c’est que Little Richard avait « du bagage » et imprimait à ses interprétations autant de rigueur que d’intensité. Son charisme et sa sexualité compulsive, ses coiffures « pompadour », son immersion dans les soirées de travestis, les remords sincères et cocasses qui en firent notamment un adventiste du Septième jour, sont à coup sûr indissociables d’un rock’n roller prompt aux revirements. Mais il a transité par les rassemblements religieux et la glossolalie des fidèles pentecôtistes, les spectacles itinérants de type « vaudeville », le piano d’église ou de bastringue, les orchestres de jump blues et les rencontres clés (Sister Rosetta Tharpe, Billy Wright, Bumps Blackwell, Joe Lutcher…). Sa voix mémorable, qui entraîne l’orchestre et [...]
-
« Un bel exercice à faire… » par Le Soir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Les vacances, en fin compte, ce n’est pas que du loisir. Mettons-les à profit pour apprendre. Ecouter Michel Onfray, par exemple. Avec « Philosophie du cosmos », il présente son livre « Cosmos », pas encore publié à l’époque de cet enregistrement. « La philosophie a été l’art d’économiser le réel au profit des livres qui disaient le réel, énonce-t-il. « En l’occurrence la Bible, le Talmud ou le Coran. On ne regarde plus le monde mais le livre qui dit le monde ». En fait Onfray propose de voir à nouveau le monde. Un bel exercice à faire en sa compagnie. L’homme parle bien, clair et aisé. On l’écoute avec attention.Par LE SOIR
-
A chaque fois que je voyais Cabu...
Catégories : Article de presse ( Article de presse )A chaque fois que je voyais Cabu, par association d’idées, je me disais qu’il fallait que j’écoute Trenet. Je possède l’intégrale des ses chansons, dans l’édition Frémeaux. Mais j’ai jamais trouvé moyen de mettre la main dessus. Cabu n’est plus là. Par association d’idées, je me dis la même chose : il faut que j’écoute Trenet.Joann Sfar . Paris . Février 2015
-
« La magnifique poésie de chanteurs en quête de respect et d’équité » par l’Echo
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Pour les bluesmen, les temps ont toujours été difficiles. Depuis la crise de 1929, de nombreux artistes afro-américains ont chanté l’injustice, la ségrégation, la pauvreté. Les éditions Frémeaux rassemblent quarante-huit chansons qui traitent de ces thèmes très graves. Toutes sont des merveilles. De John Lee Hooker à J.B. Lenoir en passant par Big Joe Williams (notre photo), l’amateur du genre se replonge dans une époque dure transcendée par la magnifique poésie de chanteurs en quête de respect et d’équité. »Par Rémi BONNET – L’ECHO REPUBLICAIN
-
« Les fans de Johnny vont être aux anges » par L’Echo Républicain
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Les fans de Johnny vont être aux anges. Le label Frémeaux et associés exhume de vieilles bandes enregistrées en octobre et décembre 1962, au moment où le chanteur est encore un jeune homme au répertoire presque exclusivement constitué d’adaptations de tubes américains. On y retrouve des versions de L’Idole des jeunes, Retiens la nuit, Elle est terrible, ou encore de l’immortel I Got a woman de Ray Charles, avec le meilleur son possible. Rudimentaire, mais attachant.»Par Rémi BONNET – L’ECHO REPUBLICAIN
-
« Blindtest par Cécile McLorin Salvant » Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )J’ai le cafard !(Elle chante les paroles …) Je connais cette chanson par cœur, je l’ai chantée pour la première fois lors de mon concert à Banlieues Bleues cette année (le 31 mars au Blanc-Mesnil, NDR), et, depuis, je l’ai incluse dans mon tour de chant. Elle n’apparaît pas dans mon dernier album car j’ai eu l’idée de la chanter après avoir enregistré, et puis j’aime bien chanter des chansons inédites lors de mes concerts. Il en existe deux versions mémorables, par Fréhel et par Damia, enregistrées à peu près à la même époque, et du coup j’hésite entre les deux, mais il me semble tout de même qu’il doit s’agir de Damia, car sa façon de chanter est plus moderne. J’ai tellement aimé chanter cette chanson qu’elle m’a donné envie de consacrer un prochain album aux chansons françaises de cette époque, l’déal étant de le faire avec des musiciens français !Par JAZZ MAGAZINE
-
« Toutes ces pièces sont très belles » par Trad Mag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Cette anthologie « Nuevo tango » ne constitue pas à proprement parler le « tango nuevo », intitulé donné par Piazzolla qui voulait rompre avec le tango « chan-chan » de l’époque d’or du tango, soit de 1920 à 1955 environ. Toutes ces pièces furent enregistrées après 1955, époque à partir de laquelle le tango tombe dans un grand trou, pourchassé par les militaires qui, une fois de plus, ont pris le pouvoir en Argentine, après avoir bombardé le Palais présidentiel à Buenos Aires. Beaucoup de morceaux sont en effet très anciens comme « La Cachila », une composition d’Eduardo Arolas, décédé à Paris en 1924. Une fois évacué le soi-disant « tango nuevo », toutes ces pièces sont très belles, une bonne sélection de thèmes et de la « orquesta tipica » d’Anibal Troillo et de son chanteur fétiche Roberto « El Polaco » Goyeneche, le Quinteto Real de Salgan et bien sûr el Quinteto d’Astor Piazzolia. Avec, comme toujours chez Frémeaux, un très bon nettoyage des supports originaux, qui redonne v [...]
-
“The French audiences loved it!” par Blues & Rhythm
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Nat played two shows in Paris on 19th April 1960 with Quincy Jones Big Band, including John Collins on guitar. By the time of this recording, Nat was known as a hit-making crooner and had alienated many jazz lovers, especially in Europe. His blues credentials are limited to his influence on Charles Brown, Ray Charles and others in the same vein, and maybe the jive-y “Straighten Up And Fly Right” and his 1946 hit, “Route 66”, which has been covered by many artists since then. He remakes that twice here, though unfortunately the momentum of these small combo renditions (the band comes in right at the end) is lost a little with the inclusion of lengthy solos on both performances. Contrary to what the notes might lead us to believe, Nat sounds like he’s having great fun throughout both shows. He performs two jazzy versions of “Joe Turner’s Blues” (which Nat recorded on this 1958 album, “St; Louis Blues”), and gets a little bluesy on “Sweet Lorraine” too, though any song which has the [...]