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  • « Une somme passionnante » par Classica
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    Barney Wilen fut un de nos plus brillants saxophonistes, prodigieusement doué et presque étranger à son propre génie. Ce précieux coffret de 3 CD rend compte avec pertinence du poète nonchalant qu’il ne cessa d’être, du glorieux be-bop à « Ascenseur pour l’échafaud », des Jazz Messengers d’Art Blakey à  l’affirmation d’un style unique avec Gilberto Cuppini ou Franco Cerri. Une somme passionnante.Par CLASSICA

  • « Un traité de Rome passionnant » par le Journal du Médecin
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    Professeur d’histoire romaine à l’université de Lille, Stéphane Benoist raconte en cinq CD denses, les mythes fondateurs, l’émergence, l’apogée, et la chute de la Rome antique, des premiers peuplements jusqu’aux invasions barbares. Ce traité de Rome se montre passionnant, qui remonte aux sources de l’histoire européenne, et laisse songeur quant au destin d’un pays qui à l’instar de la Grèce, domina son monde, et pour qui les vestiges de son glorieux deviennent comme pour beaucoup de pays européens, l’un des principaux moteurs de son économie ou de ce qu’il en reste. Bref un gigantesque magasin d’antiquités.Par LE JOURNAL DU MEDECIN

  • Générations Schmitt par Jazz Magazine
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    Quatre Schmitt Dorado (g, vln), Samson, Amati et Bronson (g), plus Ludovic Beier (acc, accordina), Pierre Blanchard (vln) plus deux guitares rythmiques, une contrebasse et deux invitées : Jisso Ok (cello) et Anat Cohen (cl). Tout ce petit monde était-il à la fois au « Live at Birdland » à New York en novembre 2012 et en studio à Paris en février de la même année (1). Le livret ne le précise pas, mais à lire le détail des solos on sait qu’Anat Cohen partagea une émouvante version de « Nuages » avec Dorado au Birdland. La traversée transatlantique d’un titre à l’autre se passe sans mal de mer et, heureusement, le rythme de TGV que Dorado et ses comparses adoptent sur « Swing Gitan » en ouverture (on reconnaît bien là la frénésie du concert) n’est pas la règle. Ballades (tendre accordina de Beier sur « Manoir de mes rêves) et valses font place au rêve.Par Alfred SORDOILLET – JAZZ MAGAZINE

  • « Une étonnante puissance poétique » par Jazz News
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    Le blues, musique de combat ? Sans doute moins que le gospel, bande son du mouvement des droits civiques. D’autant qu’au moment où cette vague déferle, le public noir préfère la soul au blues hâtivement labellisé péquenot, limite oncle-tomiste. Chroniqueurs du quotidien, les chanteurs  de blues se gardaient bien – pas d’autre choix ! – de tout commentaire polémique. Mais quel art consommé du double sens, au service d’une étonnante puissance poétique ! Lorsque des blues à vocation sociale apparaissent vers 1940, c’est dans le périmètre restreint – et blanc – de Greenwich Village. Et JB Lenoir, le plus politique de tous les bluesmen, doit alors davantage sa notoriété à John Mayall, au couple Seaberg qui le filma, plus tard à Wim Wenders, qu’aux siens.Par Jean-Pierre BRUNEAU – JAZZ NEWS

  • « Rachida Brakni incarne une Shéhérazade idéale » par Enfants à l’écoute
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    « Pour nous introduire dans le monde merveilleux et complexe des Mille et une nuits Eric Herbette a choisi trois contes peu connus : "Le marchand et le génie", "Le vieillard et les deux chiens noirs", "Le pêcheur et le génie". Son adaptation futée restitue avec intelligence la complexité de ces contes qui s'emboîtent les uns dans les autres comme des matriochkas. Et nous voilà aspirés dans les replis fantasmagoriques et capiteux de ces histoires venues du fonds des temps que les caravanes apportèrent jusqu'en Europe - de l'Inde et de la lointaine Perse. Rachida Brakni incarne une Shéhérazade idéale qu'on écouterait volontiers bien plus longtemps que la durée d'un CD. Et ce sont purs délices que les improvisations au oud de Fawzi Al-Ayedy. A quand un deuxième volume ? »Par ENFANTS A L’ECOUTE

  • « Sérénité pastorale, détours savoureux et avis de tempête » par Philosophie Mag
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    « Les pieds sur terre/ Marqué par le deuil, Michel Onfray ouvre une nouvelle étape dans son œuvre. Épousant le rythme de la nature, le premier volume de sa trilogie à vocation encyclopédique oscille entre sérénité pastorale, détours savoureux et avis de tempête. […] Dans les pas de son père, Michel Onfray chante le temps virgilien, la culture comme agriculture (conservation, dépassement et transfiguration de la nature), le penseur des champs contre le penseur des villes, le paganisme antique, le sens de la terre et du ciel (où ne se trouvent ni Idées ni dieux, mais l’immensité physique de l’Univers), les animaux comme nos « alter ego dissemblables » : « le paysan donne la matrice à tout philosophe digne de ce nom », affirme-t-il. Sans surprise, sa cosmologie s’ancre chez Lucrèce et Épicure, rejetant toute la pensée chrétienne (qui, en gros, commence chez lui à Platon et s’arrête avec Nietzsche). Il y ajoute des détours surprenants par l’animisme africain […] (diatribe appuyée, et [...]

  • « D’une belle densité, d’une remarquable variété et d’une formidable musicalité
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    « Héritier d’une longue tradition familiale, Marcel Loeffler lève le voile sur « Secrets », un nouvel album d’obédience manouche mais pas seulement… Il existait d’autres cachettes dans son accordéon.  Dans la famille Loeffler, voici revenir Marcel. Accordéoniste de premier ordre. Un magicien au doigté virtuose. Il ne faut guère s’étonner qu’il porte le même prénom qu’un certain Azzola. Avec Secrets, le musicien d’Haguenau sort un disque d’une belle densité, d’une remarquable variété et d’une formidable musicalité. Certes, Marcel Loeffler ne saurait s’affranchir totalement de l’héritage jazz manouche qui se transmet d’une génération à l’autre. Son père guitariste ne lui a-t-il  pas enseigné les rudiments dès le plus jeune âge ? Cette fois, c’est son fils Cédric qui l’accompagne à la guitare. La boucle se boucle… Alors, partons à la découverte de ces secrets qui ne sont pas seulement « de famille », mais cachés jusque dans le soufflet d’un piano à bretelles solidement arrimé aux épa [...]

  • Lettre de François Jouffa à Patrick Frémeaux
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    « Nous avons bien reçu notre nouveau CD de nos enregistrements au Tibet. C'est un bel objet, un bon disque. Pour nous, en plus, très émouvant. Cinq ans déjà ! Incroyable, le Tibet fermé aux étrangers, sauf aux groupes encadrés, s'était ouvert quand nous sommes arrivés, et s'est refermé depuis. La Maison de la Chine à Paris, qui nous avait vendu billets de train, d'avion et autres prestations de porteur, guide et voiture, nous avait prévenus que -jamais- on ne passerait la frontière avec un sac de bandes magnétiques, un lourd Nagra de 15 kg avec des micros, sans compter le matériel photographique de Sylvie Jouffa. C'est pour cette raison qu'on avait choisi de tenter le coup en arrivant par le train Pékin-Lhassa, sachant que les passages de police et douane en gares sont beaucoup plus "bordéliques" que dans les aéroports. Et, miracle !, alors que presque tous les passagers étaient fouillés, pas nous. Je nous revois marcher entre deux rangées de militaires chinois, sacs chargés à l'é [...]

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