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  • « Son inspiration s’abreuve à plusieurs sources » par Jazzmag
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    Bien connu des amateurs de jazz manouche pour ses prestations dans les clubs parisiens et ses enregistrements, notamment avec Angelo Debarre, le violoniste et chanteur Daniel John Martin montre, à travers sa large palette d’auteur-compositeur-interprète, qu’il n’est pas seulement un épigone de Django, mais que son inspiration s’abreuve à plusieurs sources. Dans son quintette, le guitariste Gilles Réa est l’auteur de soli séduisants.Par J.A.. - JAZZMAG

  • « L’âge d’or du flamenco enregistré » Par Jazzmag
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    Dans cette anthologie de l’âge d’or du flamenco enregistré, on retrouve une bonne partie du coffret LP 25 cm « Antologia Del Cante Flamenco » que l’actrice Beverly Bentley offrit en 1959 à son amant Miles Davis. S’y trouve précisément  les « saetas » chantées par Roque Montoya et Lolita Triana que Gil Evans transcrivit pour Miles sous le titre « Saeta » sur « Sketches Of Spain ».Par F.B. – JAZZMAG

  • Melodies that got the crowd hooting By The Washington Post
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    "(...) Another night I heard the RP Quartet, a young group made up of two guitars, a violin and bass that played “’60s jazz cooked in a Django sauce,” according to the concert poster. They played at New Morning, a cavernous space in the 10th arrondissement that puts on rock and funk as well as jazz. Dressed in black suits and skinny ties, the men perched on stools and strummed charging melodies that got the crowd hooting. Many of the tunes were familiar, like Thelonious Monk’s “I Mean You,” or Miles Davis’s “So What,” covered by jazz musicians everywhere. But the twangy, propulsive sound was distinctly French. The style was knowingly retro, as if winking to jazz history. See, it seemed to say: This music is really ours."By Rebecca DALZELL - THE WASHINGTON POST

  • « Une anthologie fondamentale » par Le Quotidien du médecin
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    « Bien avant Elvis Presley, il y a eu… Bill Haley ! En 1954, alors que le futur King entrait dans les studios Sun à Memphis, pour y enregistrer son premier succès, Bill Haley (de son vrai nom William John Clifton Haley, 1925-1981) avait déjà vendu plus d’un million de disques. Il avait été un des premiers chanteurs blancs à mélanger country & western et rock noir, créant ainsi un style nouveau baptisé rockabilly. Son célèbre morceau, « Rock Around The Clock » avait connu un succès phénoménal, d’autant que le thème avait été repris dans la bande-son du film « Blackboard Jungle » (« Graine de violence ») de Richard Brooks en 1955 et devint le tube de l’été de cette année. À la tête de son groupe, The Comets, Bill Haley va enchaîner les tubes, comme « Shake, Rattle and Rock » ou « See You Later, Alligator ». Autant de morceaux d’une anthologie fondamentale que l’on peut retrouver dans « The Indispensable Bill Haley - 1948-1961 » (Frémeaux & Associés), pour redécouvrir un pionnier au [...]

  • « En route vers la gloire » par Le Quotidien du médecin
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    « En 1962, Johnny Hallyday, qui n’a pas encore 20 ans, a déjà une belle carrière de chanteur derrière lui. C’est à cette époque que le jeune homme, qui commence à largement puiser (piller, plagier ?) dans le répertoire du rock’n’roll made in USA grâce à des adaptations, va devenir « l’idole des jeunes ». C’est aussi à cette époque que celui qui va devenir une icône des yé-yé et, plus tard, de la variété française, traversant toutes les époques et les générations, va investir le temple de la chanson qu’est l’Olympia. Des moments de jeunesse musicale, gravés alors par Europe n°1, que l’on peut réentendre, dans la collection « Live in Paris » (Frémeaux & Associés), avec « Johnny Hallyday - 31 oct./13 déc. 1962 ». Au programme : « Elle est terrible », « l’Idole des jeunes », « Pas cette chanson », « Retiens la nuit » ou encore « 24.000 baisers ». En route vers la gloire. »Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

  • « Un son tout en grâce » par Tout prévoir
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    « On fait toujours confiance à Frémeaux et associés pour la qualité sonore des documents historiques d’origine et le traitement de restauration qui leur est appliqué, ainsi que sur la pertinence des informations et illustrations contenues par les livrets. Ces deux volumes consacrés à Miles Davis, prince des trompettistes, couvrent les années quarante-cinq à soixante. On se laisse charmer par ce son tout en grâce, si peu athlétique mais voluptueux et qui n’est qu’à lui. Ces deux volumes regorgent de pépites comme It might as well be spring et Mean to me avec Sarah Vaughan (1950), les sessions réalisées avec Charlie Parker et bien sûr les célèbres prises pour Ascenseur pour l’échafaud (1957). »Par Olivier BRUNEL – TOUT PREVOIR

  • « Produire des émotions fortes en même temps que du swing » par Mediapart
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    « Compositeur américain d'origine italienne, Henry Mancini (1924-1974) fait l'objet d'un hommage de la part des éditions Frémeaux et associés. Les illustres chansons que ce fameux mélodiste a conçues pour Hatari! ou Breakfast at Tiffany's font partie de l'anthologie. Mais c'est aussi l'arrangeur de l'orchestre fondé par Glenn Miller qui est ici célébré. La musique de Peter Gunn -dont le thème principal a été mille fois ressassé depuis 1978 permet de mieux comprendre les penchants de jazz de Mancini, son désir de produire des émotions fortes en même temps que du swing. Pour affronter cet avant dernier dimanche d'août, il n'y a pas beaucoup mieux. »Par Frederick CASADESUS - MEDIAPART

  • « L'orchestre de Bécaud est renversant de caractérisation et de patte » par l’Av
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    « Pour goûter l'Irlande imaginaire et le ton singulier de L'Opéra d'Aran, unique ouvrage lyrique de Gilbert Bécaud qui y mit un métier sûr et une inspiration certaine, il faut l'abstraire de son époque. Monté en grande pompe au Théâtre des Champs-Elysées le 25 octobre 1962, avec une distribution de premier rang assemblée autour de la Maureen de Rosanna Carteri et dans la régie luxueuse de Margarita Wallman, enregistré en studio par EMI sous la baguette de Georges Prêtre, l'ouvrage divisa la critique - les conservateurs applaudissant derrière Clarendon, les modernistes se rangeant au côté de Claude Samuel qui dégaina un peu vite en raillant une partition certes incongrue l'année où Pierre Boulez achève Pli selon pli. Finalement, ce seront les Américains qui auront le nez creux, débusquant derrière ses apparats de grand opéra vériste ce qu'est réellement L'Opéra d'Aran : un musical flamboyant. Paradoxe : si l'orchestre de Bécaud est renversant de caractérisation et de patte - le jeu [...]

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