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  • « Un sens aigu de la mélodie » par Le Journal de Saône et Loire
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    « Didier Levallet a un sens aigu de la mélodie qu’il met au service du jazz et de la musique improvisée depuis 45 ans. La contrebasse c’est sa vie, alors lorsqu’il a pris sa retraite de la direction de la scène nationale de Montbéliard il s’est empressé de remonter un quintet, « Voix croisées », avec des musiciens, dont trois femmes, qu’il apprécie : Airelle Besson, trompette, Sylvaine Hélary, flûte traversière et Céline Bonacina, saxophones, plus François Laizeau, batterie. Et Didier a jubilé vendredi soir au théâtre pour le 4e concert de son quintet tout entier consacré à la mélodie avec ses virtuoses des cuivres, en dialogue avec la section rythmique. Jamais on n’avait vu le directeur de jazz campus aussi détendu. Il était au cœur de ses compos avec des mélodies superbes, emmenées avec aisance par le quintet, rythmées avec brio par le grand François et le leader. Le dialogue a été constant et le bonheur permanent entre les interprètes qui se renvoyaient les notes, mêlaient leur [...]

  • « Un délicat hommage jazzy à l’actrice » par Chant Songs
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    « Jacques Verzier chante Jeanne Moreau est un délicat hommage jazzy à l’actrice qui a remarquablement interprété les poètes. Et surprenait son monde avec un album inspiré d’un roman d’Elsa Triolet. C’est en 1968, invitée de Denise Glaser dans son Discorama devenu une émission-culte que Jeanne Moreau évoque la sortie de son prochain disque dédié au Cycle de Clarisse, de courtes chansons qui sont inspirées de Les Manigances, un roman d’Elsa Triolet. Déjà inclassable, insaisissable (le titre d’une de ces chansons), Jeanne Moreau prêtait sa voix et sa diction singulière à ces chansons mises en musique par Philippe-Gérard sur des textes signés du poète Eugène Guillevic. Se les réappropriant, Jacques Verzier redonne vie, à sa manière, à ces mélodies courtes et nerveuses qui parlent aussi bien d’amour, de rêveries (l’étonnant Rossignol), de la vie d’artiste (Je suis vous tous qui m’écoutez). Pour expliquer son choix, il déclare : « Mon désir était tout d’abord d’interpréter ces mélodies [...]

  • « Apprécier pleinement les enregistrements les plus anciens » par Télérama
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    Mieux vaut être anarchiste, ou historien, pour apprécier pleinement les enregistrements les plus anciens, remontant aux années 1900, avec leurs interprétations datées et leur son altéré. Des versions plus récentes facilitent l’écoute, comme cette Fille d’ouvriers, créée en 1887 et ressuscitée un siècle plus tard par une Michèle Bernard à la voix juste et limpide. A cela s’ajoutent les indispensables Mauvaises Réputation de Brassens, Graine d’Ananar de Ferré ou Le Déserteur de Vian, par Mouloudi. TELERAMA

  • « Un cocktail musical chaleureux et sensuel » par Chants… Songs
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    « Ce qui est bien avec un groupe comme les Primitifs du futur, c’est qu’il reste fidèle au terroir mais ne tourne pas le dos au reste du monde. La preuve avec  son  World Musette. Un cocktail musical chaleureux et sensuel. Le jeu de mot est là, au bas de la pochette et attire habilement l’œil : "C’est la Goutte d’or qui fait déborder le vase." Une fois de plus, Robert Crumb a griffé le visuel coloré d’un groupe pour lequel  il assure aussi les parties de mandoline et de banjo. Flanqué de sa bande de musiciens déjantés, Dominique Cravic secoue la musette à la papa en la revisitant avec l’oud, l’ukulélé, les violons, sans oublier la scie musicale et le xylophone,  sur un tempo qui donne souvent des fourmis dans les jambes. C’est Vian qui avait donné une définition du musette qui depuis en a fait réfléchir plus d’un : "En France, le blues a trois temps et s’appelle musette."  Et dont l’album ci-dessus témoigne de la richesse cosmopolite. Au passage, l’humour tient lieu de carte de vi [...]

  • “Nobody could swing a spiritual like Sister Rosetta Tharpe” par NPR Jazz
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    “The African-American religious folk songs known as spirituals grew out of the slavery experience and the introduction of Christianity into slaves' lives. Though rooted in African musical tradition, they reflected life in a strange and terribly oppressive new world. Often improvisations upon older hymns, they became entirely new songs — songs like "Sometimes I Feel Like a Motherless Child," "Joshua Fit De Battle of Jericho" and "Steal Away." In some ways, they foreshadow the birth of American jazz. Though spirituals were a product of enslavement, they also became a coded means of communicating escape. The lyrics of some are said to have referred to the Underground Railroad, and the singing of spirituals could signal an imminent slave revolt. They were also sometimes used to summon clandestine night-worship services — the so-called "invisible churches" that existed on plantations where masters feared that religious meetings could lead to insurrection and liberation. In the years fo [...]

  • « Les pistes subversives du proto punk » par l’Humanité
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    The Roots of Punk rock Music 1926-1962. Bruno Blum retrace, en un livret instructif (français et anglais), les pistes subversives du proto punk, sur des charbons ardents du blues, bop, rock, vodou caribéen… Ray Charles, Chuck Berry, Little Richard, même combat. On se libère par le mélange déflagrateur de la danse, la conscience et l’irréverence. L’HUMANITE

  • « L’essentiel de sa carrière est enfin disponible » par Classica
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    Un grand ancien tout d’abord : Michel Warlop, émouvant violoniste mort d’épuisement à 36 ans en 1947. En deux CD soigneusement sélectionnés par Daniel Nevers, l’essentiel de sa carrière est enfin disponible, des faces avec les Grégoriens de 1933 à la dernière séance sous son nom en novembre 1945. Ses compositions pour son septuor à cordes ou Modernistic font amèrement regretter sa précoce disparition : son engagement constant, y compris dans des contextes contraints (il s’est entre autres produit avec Line Renaud et Charles Trenet), le lyrisme lunaire de ses phrasés, la relative douceur de ses attaques n’ont pas vraiment d’équivalent dans le jazz : il faudrait évoquer Johanna Martzy. C’est Guy Lafitte, autre grand du jazz en France, qui a dit ce qu’il convient : « Grappelli était fait pour jouer avec Django, Warlop était fait pour souffrir seul ». Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « One of those releases that all serious lovers of music should have » by Blues
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    In the late ’70s I bought a very plainty presented album by the Eureka Brass Band, took it home and, rather perversely, really enjoyed the lack of detail, its poor recording quality and rather mournful music – theses only enhanced the idea thet here was an almost dead tradition, as jazz magazines of the day frequently pointed out that bends such as these now only played for the ‘jazz funerals’ of erderly musicians. I certainly could not have foreseen that four decades later I would be rewiewing  a lively three hours long collection of Crescent City brass bands firmly  rooted in the traditon  but certainly not afraid to step outside it when needed. Since the likes of The Dirty Dozen and Rebirth Brass Bands came along in the ‘80s, the injection into the tradition of a healthy dose of New Orleans r&b has meant that these days many blues lovers sit up and take notice of brass band music. Certainly these collection deserves the attention of anyone who loves the music of The Crescent Ci [...]

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