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  • « Un big band vraiment swing » par Jazzmag Jazzman
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    Quelque part entre Henri Salvador, Colette Renard et Pink Turtle où germa Robeurt Féneck, artiste de music-hall. Rien de tout cela n’est incompatible avec le jazz. La preuve, un big band vraiment swing quand le répertoire s’y prête, quelques arrangements signés François Biensan et deux ou trois solos (Patrick Bacqueville, Pilou Cas…)Par GC – JAZZMAG JAZZMAN

  • “69 tracks that influenced Jamaican music and fed it into ska” by Blues & Rhythm
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    Divided into three CDs respectively subtitled ‘USA 1942-1950’, ‘USA & Jamaica 1950-1962’ and ‘Jamaica 1956-1962’, this set has 69 tracks, all of them with the characteristic shuffle that influenced Jamaican music and fed into ska. The collection opens with four titles by Louis Jordan before moving on to the likes of Gene Philips, T-Bone Walker, Archibald, The Robins, Floyd Dixon and of course Rosco Gordon. Some of these American titles also have the title they were given by Jamaican sound system operators in parentheses too – for example, Gene Coy’s ‘Killer Diller’ was known as ‘Milk Lane Hop’ and most famously, Willis ‘Gator’ Jackson’s ‘Later For The Gator’ was called ‘Coxsone Hop’, with Jamaican record man (and soundman Coxsone Dodd’s biggest rival) Duke Reid taking years to track down the original record due to the subterfuge. Professor Longhair’s primitive sounding ‘Willie Mae’ reminds me strongly of footage I saw of Jamaican pianist Theophilus ‘Easy Snappin’ Beckford a decade [...]

  • « Voilà un pianiste … qui capte l’attention » par So Jazz
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    Voilà un pianiste comme on les apprécie, irrigué par la tradition tonique du stride de James P. Johnson, par les recherches acrobatiques d’un Martial Solal et par les avancées de Thelonious Monk (« Think Of One »). On retrouve en filigrane le sens mélodique de Duke Ellington, dont Benham livre un convaincant « Angelica ». Par le jeu, par les idées, par la limpidité du toucher, par l’évidence du phrasé, par l’ouverture sur les champs d’exploration, le Français capte l’attention.Par Bruno PFEIFFER – SO JAZZ

  • « L’un des pianistes avec qui il faudra compter » par Nouvelle Vague
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    Alors que la plupart des « nouveaux pianistes », comme frappés d’une sombre malédiction transmettent à leur clavier toute la misère du monde, Marc Benham, (est-ce l’effet de fréquents séjours à Mougins ou de son intime connaissance de toute l’histoire du piano jazz ?), opte pour la fraîcheur et la lumière. Au fil de compositions délicates mais limpides et des reprises inspirées et subtilement enrichies (de Monk à Ellington, ou de « Just You » à « Tea For Two »), Marc Benham, pour son premier CD en solo , s’impose comme l’un des pianistes avec qui il faudra compter. Toucher magnifique, inspiration généreuse, technique ahurissante. Un rêve ! Martial Solal, orfèvre en la matière, a adoré. Je partage son enthousiasme !Par Daniel CHAUVET – NOUVELLE VAGUE

  • « Un disque totalement réussi » par Accordéon Magazine.
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    Après un hommage très réussi à la Corse, Rodolphe revient aux « Chansonnettes ». Georges Brassens, Charles Trenet, Edith Piaf, Charles Aznavour, Yves Montand… Des standard bien de chez nous, des mélodies qui sont dans toutes les têtes, qui ont traversé les décennies et parfois les continents. Même s’il a des doigts (la preuve avec son chorus terrible dans « sur ma vie » d’Aznavour), Rodolphe n’est pas dans la virtuosité, mais dans la poésie et la sensibilité. C’est un style au phrasé tout de suite reconnaissable, alliant swing léger, sens de l’improvisation et intelligence musicale (sa lecture de « la mauvaise herbe »). Cet héritier de Henri Crolla magnifie la chanson populaire de qualité. Humanité et tendresse émanent sans cesse de sa guitare (« Milord » ou « Sa jeunesse » d’Aznavour). A la rythmique, les frères Gastine : Sébastien (contrebasse) et David (guitare d’accompagnement, chant sur deux morceaux), deux musicos bien connus dans le milieu swing manouche. A l’accordéon et à [...]

  • « Avec la majesté qui lui appartient » par Jazzmagazine -Jazzman
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    Guère encline à se produire dans un music-hall par scrupule religieux, Mahalia Jackson se prêtait néanmoins, en 1960, à des mises en scène orchestrales dignes des superproductions les plus profanes. A sa décharge, cela se passait à Hollywood sous la tutelle de Columbia et d’un chef d’orchestre-arrangeur bien établi, Percy Faith, qui n’avait pas la baguette légère. On note aussi que l’album « The Power and The Glory », dont ce CD achève la réédition commencée avec le volume 10 de l’intégrale en cours, connut un très gros succès commercial. La chanteuse avait joué le jeu en choisissant les hymnes chrétiens chantés dans l’ensemble des communautés américaines, et elle en tire parti sur un strict plan vocal avec la majesté qui lui appartient, par exemple dans « Nearer, My God, To Thee ». Mais on ne sublime pas tout : cordes et choristes, arrangements ivres d’emphase ou rythme de marche triomphale donnent aujourd’hui à ces plages un côté crème pâtissière  servie dans un hôtel de fiction [...]

  • « Un album des plus prometteurs » par Jazzmagazine- Jazzman
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    Les américains qualifieraient sans doute, et à juste titre, Marc Benham de musicien " versatile ". A savoir que dans son jeu coexistent des styles différents, du stride de James P. Johnson et Fats Waller à Keith Jarret et Chick Corea, avec des réminiscences harmoniques de Claude Debussy et d’Eric Satie. Improbable melting pot. Or, ce qui pourrait n’être que démarquage plus ou moins habile, collage aussi incongru qu’aléatoire, revêt sous ses doigts une unité telle que son idiome en acquiert une indéniable originalité. Avec, en outre, une parfaite fluidité. Tel est le talent de ce pianiste qui mêle, au sein d’un même morceau, les climats les plus divers, suggère tour à tour joie et mélancolie, recueillement et allégresse. Ainsi de ses compositions et de l’improvisation libre intitulée " Heure perdue ", déclinée en trois épisodes. Et aussi des standards intemporels, " Just You, Just Me, Tea For Two " le monkien "Think Of One” ou “Angelica” de Duke Ellington, trop peu souvent joué. Il [...]

  • « Nous avons craqué sur ce disque » par Le Centre de la Chanson
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    « Une fois n'est pas coutume, voici présenté en ces lignes un savoureux album de chansons... pas chantées ! Si nous avons craqué sur ce disque pourtant majoritairement instrumental, c'est qu'indépendamment de ses grandes qualités artistiques, il s'agit d'un très bel hommage revisité à cette chanson "patrimoniale" qui a fait le lit de la jeune scène actuelle.   Rodolphe Raffalli est un sacré bonhomme, guitariste jazz-manouche de grand talent, et amoureux sincère des ces "Chansonnettes", telles qu'il les nomme avec humilité et tendresse.  Après nombre d'albums (dont 2 dédiés intégralement au bon Maitre sétois), il promène à présent ses doigts agiles au fil de mélodies signées Piaf, Trenet, Aznavour, Ferré ou, bien sûr, Brassens, accompagné de quelques musiciens d'exception (contrebasse, accordéon, piano et seconde guitare).Le tout est irrévérencieux sans être iconoclaste, à l'image par exemple de cette belle reprise des "Trompettes de la Renommée" en bossa-nova façon manouche qui va [...]

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