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  • « Concentré de joie de vivre et de bonne humeur ! » par Musiques du monde.com
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    « Le label Frémeaux nous offre d’année en année ses trésors historiques musicaux, sous forme d’anthologies couvrant diverses régions et périodes. Voici donc un coffret de 2 CDs sur la musique de Porto Rico des années 40 au début des années 60 – 1962 précisément, date de la crise des missiles à Cuba, point culminant de la guerre froide entre les USA et l’URSS. Amoureux des danses latinos, ce disque est pour vous ! Car TOUS les titres de ce coffret – soit 44 chansons ou pièces instrumentales – ont été créés pour FAIRE DANSER les foules ! Et nous saluons bien haut l’Amérique Latine dans son ensemble – Caraïbes en premier ! – pour son goût pour la danse – inégalé dans aucun autre continent ! La preuve : le nombre de chansons du sous-continent qui conjuguent le verbe « bailar » à tous les temps ! Voici en mots-clés quelques pistes pour écouter ces deux disques formidables de musiques et chansons, concentrés de joie de vivre et de bonne humeur ! » Par Nadia KHOURI-DAGHER

  • « L’un des plus grands compositeurs italiens du XXe siècle » par Paris Move
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    « Né le 3 décembre 1911 à Milan dans une famille de musiciens, Nino Rota étudia dès son enfance au conservatoire de la capitale de la Lombardie, où il acquit une renommée précoce en tant que compositeur et chef d’orchestre (son premier oratorio, “L’Infanzia Di San Giovanni Battista”, fut représenté à Milan et à Paris quand il n’avait que douze ans!). Sur les conseils d’Arturo Toscanini, notre jeune surdoué obtint ensuite une bourse pour se perfectionner au Curtis Institute de Philadelphie, où il étudia de 1930 à 1932. De retour à Milan, il se consacra à son tour à l’enseignement de la musique tout en poursuivant son œuvre de compositeur, et prit en 1950 la direction du conservatoire de Bari, qu’il assura jusqu’à sa mort en 1979. Rota écrivit ses premières partitions pour le cinéma dès 1933 avec “Treno Popolare” de Raffaelo Matarazzo, suivi de “Jour De Noces” du même réalisateur, puis “Zazà”, de Renato Castellani en 1944. Il travailla aussi pour Edgar G. Ulmer, Alberto Lattuada, He [...]

  • « Une belle découverte ! » Par Blues Magazine
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    Si le blues est la musique du diable, nombre de ses serviteurs font référence à la musique sacrée de leur communauté comme pratique initiale du chant. Les anthologies Gospel du catalogue Frémeaux & Associés nous invitent à découvrir ce pan religieux de l’univers musical, qui a imprégné dans leur jeunesse plusieurs générations de chanteuses et chanteurs africains américains. Dernier en date, ce coffret de 3 disques nous offre un florilège de l’art vocal sublime de groupes féminins de Gospel qui se sont produits au sein des églises ou sur des scènes profanes entre 1940 et 1962, période considérée comme l’âge d’or du Gospel. De 3 à 7 membres, les ensembles étaient accompagnés généralement d’un piano ou d’un orgue, souvent d’une batterie et quelquefois d’une guitare. Des vocalistes talentueuses ont renouvelé le répertoire spirituel traditionnel par leurs thèmes, les arrangements et un tempo gorgé de Swing en écho au Rhythm & Blues contemporain en plein essor. Des plus célèbres comme l [...]

  • « Elle éclaire l’art de la mélodie du saxophoniste » par Robert Latxague
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    « On le sent, on le perçoit aussitôt : sa langue vernaculaire de chant, c’est bien celle du Brésil, pays qu’elle a adopté pour ses musiques, pays continent dont elle a arpenté les scènes, terre natale du père musicien de ses enfants. Alors dans sa bouche, dans la vibration douce de ses cordes vocales Tarde aussi bien que Vera Cruz ou encore Caminho Solar– version chantée du mythique Footprints des années d’or de Blue Note- sonnent aux accents parfaits cariocas, nordeste et compagnie. Pourtant le sujet de ce nouvel album passe bel et bien par une référence -référence ?- aux talents de compositeurs de Wayne Shorter. Sa voix suave, mesurée, maîtrisée l’y sert au premier chef. Elle éclaire l’art de la mélodie du saxophoniste sacralisé chez Miles Davis déjà, « mondialisé » via Weather Report pour ensuite un aboutissement au sein de son quartet jusqu’à ce jour (My Children of The night, Infant Eyes) Justement, comment ne pas souligner, comment passer sous silence cette façon très person [...]

  • « On se surprend à en redemander » par Classica
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    Le vibraphoniste et batteur Jean-Michel Davis, qui pratique aussi le marimba, le xylophone et le glockenspiel, a rassemblé un réjouissant quintet (avec guitare, piano, contrebasse et batterie) qui donne des versions enlevées de trois standards (« Embraceable You », « On Green Dolphin Street » et « You and the Night and the Music ») mais aussi de la chanson (Trenet, Kurt Weill, Gainsbourg et Gershwin). Quand en outre sont invités Daniel Huck, musicien d’envergure et ici maître du scat une nouvelle fois, ainsi que Juliette Pearl Davis qui sur quatre thèmes fait entendre une voix d’une rare pureté musicale et d’une justesse sans défaut, et l’élégiaque flûtiste Hubert de Villèle, on se surprend à en redemander, à se plonger encore dans cet univers charmeur qui allie avec bonheur les vertus du bop et celles non moins recommandables de la fraîcheur d’imagination musicale. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Illinois Jacquet, l’éclosion d’un nouveau talent » par Jazz Magazine
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    « Flying Home » est un de ces morceaux phares qui, à toutes les époques, ont jalonné l’histoire du jazz et révélé l’éclosion de nouveaux talents. En l’occurrence, celui du saxophoniste ténor Illinois Jacquet, à peine âgé, en 1942, de dix-neuf ans et membre du big band de Lionel Hampton. Chargé d’exécuter un solo sur ce classique trente-deux mesures dû aux plumes conjuguées de son leader et de Benny Goodman qui l’avaient créé en 1939, il se livra, sur soixante-quatre mesures, à une improvisation torride, véhémente, gorgée de swing. En un mot, d’autant plus saisissante qu’elle était transcendée par une sonorité pleine, issue en droite ligne de la tradition des ténors texans. La prégnance de ce solo fut telle qu’il fit désormais partie intégrante du morceau et constitua le passage obligé de tous ses interprètes, repris par cœur par Jacquet lui-même puis par ses successeurs chez Hampton, notamment Arnett Cobb. Et « Flying Home » contribua à faire de Jacquet une sorte de chef d’école d [...]

  • « La naissance de la guitare jazz moderne » par Jazz Magazine
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    « Solo Flight ». Beaucoup considèrent cette pièce comme l’acte de naissance de la guitare jazz moderne pour le solo qu’y improvise Charlie Christian, pourtant au sein d’une des formations les plus emblématiques de la Swing Era : le big band de Benny Goodman. A l’époque dès qu’il n’est pas requis par son patron, le guitariste passe ses fins de nuit à Harlem, au Minton’s Playhouse, où les jeunes loups du moment (Kenny Clarke, Thelonious Monk, Dizzy Gillespie…) expérimentent ce que l’on appellera bientôt le bebop. Soir après soir, il y expérimente une approche mélodique de la guitare qui tranche avec celle de ses prédécesseurs et dont on retrouve les caractéristiques dans ce « Solo Flight » que l’arrangeur Jimmy Mundy de Benny Goodman lui a confectionné sur mesure. Dominant l’orchestre grâce à l’usage nouveau de l’amplification, Charlie Christian y délivre un solo que tout guitariste de jazz se doit de connaître par cœur. Par L.F. – JAZZ MAGAZINE

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