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  • « Un cours d’Alain Viala, passionnant, érudit » par Blog Ministre de la culture
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    « Un cours d’Alain Viala, passionnant, érudit, la Ballade des pendus pour ouvrir à cette superbe leçon de littérature, lue par Mesguich. Quel poème, à l’écouter aujourd’hui ! Ecrit en prison par Villon, condamné à être pendu. Quel écho dans nos vies, et quel étrange plaisir à l’entendre. C’est du reste de cette relation singulière d’un poème écrit il y a des siècles à son écho en nous aujourd’hui, dont nous entretient Viala. Quelle rencontre est possible avec ces représentations que les homme se sont faites, soumises à nos imaginaires contemporains, à notre réflexion, à notre compréhension, qu’elle passe par la raison ou par l’émotion ? Quelle rencontre quand l’usage demeure si personnel, si intime, laissé en l’occurrence à l’appréciation de chacun par ces lectures que nous donnent Viala et Mesguich. Rencontre certes préparée, balisée, organisée par un appareil critique savant nous guidant dans ce fabuleux Moyen Âge, pour que cette part commune, la langue que la littérature nous o [...]

  • « Très agréable à écouter » par Le Cri du coyote
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    « Les voies du Seigneur sont impénétrables, dit-on, mais les voix qui le chantent sont, elles, bien répertoriées. Le 11ème épisode de la saga de Mahalia Jackson, avec, toujours, un très intéressant livret de Jean Buzelin, ne nous emmène pas, cette fois, sur la route des negros spirituals ou du gospel, mais sur celle d’hymnes chrétiens enregistrés par Mahalia en 1960. Les huit premiers l’ont été avec le grand orchestre de Percy Faith à Hollywood, les dix autres à Los Angles avec l’orchestre et le choeur de Johnny Williams. Et, à mes oreilles, c’est le choeur qui fait toute la différence. Ceux avec Faith m’évoquent plutôt l’opéra, alors que le choeur donne plus de profondeur et une ambiance gospel. En tout cas, c’est très agréable à écouter et on se dit qu’avec un tel vocal, elle aurait pu faire une belle carrière de diva au Met. » Par Bernard BOYAT – LE CRI DU COYOTE

  • « Le souvenir de Gene perdure et c’est très bien » par Le Cri du coyote
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    « Bien sûr, les fans de longue date possèdent déjà ces enregistrements en vinyle et, certainement, aussi le coffret EMI. Ils peuvent donc faire la fine bouche devant une compilation 3 CD regroupant les titres de Gene et les Blue Caps du 4 mai 1956 au 27 mars 1958 et offrant la quintessence de la production, dans l’ordre chronologique, sauf les versions de Hound dog et Be bop a Lula enregistrées lors d’une émission d’Alan Freed à radio WINS en août 1957 et placées à la fin du premier CD. Mais ce coffret est le bienvenu, car il peut faire découvrir Gene à la génération actuelle, permettre de compléter une discothèque et que, de toute façon, lorsqu’il est question de Gene, rien n’est superflu. Ajoutons-y la très belle photo de pochette résumant parfaitement l’image à la Janus du personnage, avec son air mi ange mi démon et un livret circonstancié de Bruno Blum. Le souvenir de Gene perdure et c’est très bien. »Par Bernard BOYAT – LE CRI DU COYOTE

  • “Recommended to all petrol heads” by Blues & Rhythm
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    I recall reading a review many years back written by our esteemed editor, when he wound up a critique of some much-reissued Chess material with words along the lines or ‘you may have this material already but this set is great for listening to in the car’. I could write something similar about this triple CD set, but then, that actually is its ‘raison d’être’. Mind you, I am not sure how many readers would have all this material anyway – after opening with Nat ‘King’ Cole’s cool (Get Your Kicks On) Route 66’ (composer Bobby Troup and Chuck Berry open the following two CDs respectively with this same song), we shift into a higher gear with some fine hot rod themed rockabilly interspersed with a couple of examples of bebop, and also blues from Lightnin’ Hopkins and Lowell Fulson. I’m not sure if Connie Allen is really singing about cars on ‘Rocket 69’, but Jackie Brenston certainly is on the following ‘Rocket 88’. Billy Strange’s curious ‘Diesel Smoke, Dangerous Curves’ precedes Wal [...]

  • “A very enjoyable set of cool modern blues” by Blues & Rhythm
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    Singer, guitarist and harmonica player Benoît Blue Boy has been recording since 1978 (including an album which featured Freddie Roulette) and here he teams up with his fellow countryman, singer and guitarist Franck Goldwasser – better known to readers maybe as Paris Slim, West Coast blues scene habitué and sometime Delta Groove recording artist – for a very enjoyable set of cool modern blues, down-home sounds, good rocking items and some less easily classifiable bluesy numbers (though ‘Coupes De Boules’ recalls The Rolling Stones of the early ‘70s) – all in French. Benoît wrote and sings most of the songs, with Franck providing some composing and vocal input and lots of distinctive guitar work. Not the usual blues album then, but certainly different and very entertaining.Norman DARWEN – BLUES & RHYTHM

  • « Un jazz passé par l’atelier du compositeur » par Jazz News
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    Erudit et passionné, Alain Tercinet fait œuvre utile en compilant sous le titre générique « East Coast Jazz Workshops » une quarantaine de pièces enregistrées entre 1954 et 1961 par des musiciens dont, pour la plupart, le nom ne dit sans doute plus grand-chose aux jeunes générations. Car si Gil Evans, Charles Mingus, Gerry Mulligan ou Gigi Gryce (dont on redécouvre l’importance depuis quelques années) sont passés à la postérité, qu’en est-il de Hal McKusick, Teddy Charles, Gil Mellé ou même Al Cohn ? Tous ces musiciens étaient pourtant, dans les années cinquante, hyperactifs, pour les plus importants labels, notamment RCA qui lança une collection « Jazz Workshop » à laquelle fait écho le titre de ce coffret. Point commun de tous ces musiciens : l’ambition de donner une dimension nouvelle à la composition et à l’arrangement tout en conservant les valeurs-clés du jazz (swing, expressivité des solistes, blues) mais enrichies de théorisations harmoniques, de procédés d’écriture repris [...]

  • « Coffret indispensable » par Rock & Folk
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    Ok le graphisme chez Frémeaux n’est pas des plus bandants, et ces gros boîtiers en plastique contenant deux ou trois CD semblent avoir été stockés vers 1988. Mais pour le son et le travail de compilation, ces gens rivalisent avec la crème internationale, de type Bear Family ou Rhino, il y a vingt ans. Le dernier coffret copieux dédié à Gene Vincent (Capitol/Emi), remontant au début des années 90, il va sans dire qu’il y a un sacré manque. Et voici que ces maniaques de la restauration sortent, comme ça, 68 titres du grand rocker à la jambe raide, captés pendant sa période dorée, entre 1956 et 1958 – oui, vous avez bien lu, 68 titres gravés en 24 mois – pour le studio Capitol, réputés pour la qualité sonore de leurs enregistrements. Frémeaux & Associés en livre une version inouï, une leçon humiliante de haute-fidélité. Voici enfin Gene et ses Blue Caps, tels qu’on ne les avaient jamais entendus. Il y a d’abord la période avec Cliff Gallup, le guitariste fou, qui jouait d’ailleurs de [...]

  • I certainly enjoyed the experience by Blues & Rhythm
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    ‘Volume One’ was reviewed in B&R 272 and contained most of Bo’s biggest hits and best-known numbers, though ‘You Can’t Judge A Bnook By Looking At The Cover’ is on disc three here. This release starts with Bo having moved to Washington DC in 1959. The first few tracks find the Diddley Daddy in ‘Gunslinger’ mode – there is plenty of western flavour to the opening numbers like ‘Mule Train’, ‘Cheyenne’ and ‘Whoa Mule’, and ‘Siixteen Tons’ maybe adds a country touch, though Bo’s treatment is instantly recognisable. The blues is still there, as on the slight reworking of ‘I’Am a Man’ that is ‘Better Watch Yourself’. With ‘Doing The Craw-Daddy’, Bo is in the 60’s dance craze mode, whereas ‘Can You Shimmy ?’ is one of Bo’s comic narrative (of which there are several others here). ‘Working Man’ flits between blues and something akin to Sam Cooke’s ‘Chain Gang’ (which it predates), whilst Sam’s influence can also be heard on Bo’s excellent vocal towards the end of ‘Somewhere’. The remainin [...]

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