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  • « La fraîcheur éternelle des rendez-vous amoureux » par Jazz News
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    Affublé d’un surnom et d’une iconographie de fier artisan, le guitariste Pierre Barré (il bénéficia d’une enfance méditerranéenne, avant de se passionner pour le jazz manouche en compagnie de Ninine Garcia, et du Kamlo trio) joue comme il chante, et chante sans doute comme il respire. Ses refrains modestes (en apparence) bénéficient de cette instantanéité qui fait les mélodies populaires. Soutenu par la fidèle – quinze années, déjà – contrebasse de Claude Mouton, le jeu de Barré permet à des doigts rêveurs et discrètement volubiles de nous conter les voyages, et les rêveries qui vont avec. Et ses propres compositions ou thèmes empruntés (la galopade conclusive de « Les Yeux noirs ») ont la fraîcheur éternelle des rendez-vous amoureux.Par Christian LARREDE – JAZZ NEWS

  • « Une suite prestigieuse » par Jazzmag-Jazzman
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    Ce douzième volume débute le 10 janvier 1946 avec l’Esquire All-Americans Award Winners parmi lesquels Satchmo est environné d’ellingtoniens et de figures comme Don Byas et Charlie Shavers. La suite n’est pas moins prestigieuse, où pour la première fois il donne la réplique à Ella Fitzgerald. Mais le cœur de ce volume est ailleurs, avec le film « New Orleans », une idée originale d’Orson Welles massacrée à la sauce hollywoodienne. Par bonheur, les musiques enregistrées pour la BO furent conservées telles qu’avant sélection, montage et mixage. Rien d’inédit pour les collectionneurs, mais une somme qui fait souvent défaut aux amateurs. Armstrong s’y trouve à la tête d’un Hot Seven reconstitué : Kid Ory, Barney Bigard, Charlie Beal, Bud Scott et Zutty Singleton (plus, selon les plages, Billie Holiday, Mutt Carey, Lucky Thomson et différents musiciens de studio). Swing et Victor profitèrent de ce séjour hollywoodien pour enregistrer quelques faces supplémentaires en septette. L’autre [...]

  • « Une pièce qui vaut acte d’archive historique » par Intramuros
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    Après un premier volume consacré aux années 1957/1960, voici une autre période des années Gainsbourg : 1960/1962. Entre rétro et modernisme, c’est-à-dire entre chanson à texte et tsunami yé-yé, notre homme est toujours là ou il fallait (« a place to beat » aurait –il pu dire). Un Gainsbourg prolixe, peu asséché du stylo et de l’inspiration, il écrivait à tout va et pour tous. La preuve encore avec cette somme de 58 titres (excusez du peu !) qui compile, outre lui-même (et même en scène et à travers des documents), Michèle Arnaud, Jean-Claude Pascal, Juliette Gréco, Catherine Sauvage, Philippe Clay, Petula Clark, Isabelle Aubrey… Plus qu’un simple coffet (trois cd tout de même !), cette pièce vaut acte d’archive historique en matière de musique française qui reste et restera.Par M.C. - INTRAMUROS

  • « Un langage ouvert » par Jazzmag-Jazzman
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    Ce violoniste habitué des Petits Joueurs et enseignant à la Romane Swing Académie à Paris s’exprime au sein d’un quintette façon Hot Club de France (Samy Daussat, Mathieu Guinot, Claudius Dupont), mais dans un langage ouvert à des influences plus modernes qui se mêlent l’une à l’autre très librement et sur des compositions pleines d’entrain.Par A.S. – JAZZMAG - JAZZMAN

  • « Entre Harlem piano et Modern jazz » par Libération
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    Exemple de grand écart entre deux styles (le Stride des années vingt et le Jazz-Rock première mouture), le pianiste parisien Marc Benham reste avant tout attaché à la notion d'émulation. Son père est saxophoniste de Dixieland. Son frère amateur de Jazz-Rock. Comment l'enfant du Nord de Paris peut-il rester insensible aux deux genres certes opposés dans le siècle, mais caractérisés par la virtuosité instrumentale? Marc Benham, né en 1980, ne s'est pas laissé déchirer. Entre les études au Conservatoire du 17e arrondissement, il joue à 14 ans dans la formation de son père et, à la maison, repique les solos de Joe Zawinul et de Chick Coréa sur les vinyles du frangin. Il découvre les solistes du Stride de Harlem, les décollages vertigineux de Donald Lambert, les ritournelles démentielles de James P Johnson. La révélation. Le Parisien n'en reviendra jamais : "l'indépendance des interprètes et la richesse du style m'a ébloui". A 18 ans, les contrats de musicien tombent en rafale. Benham [...]

  • « Un album essentiel » par Les dernières nouvelles du jazz
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    « C'est un album qui aurait pu facilement passer inaperçu si quelques acharnés de la cause ne montaient régulièrement au créneau pour défendre le talent de Patrick Favre. Et ils ont raison les bougres ! Il faut parler de Patrick Favre et il faut parler de ce superbe album, « Origines » dont on ne finit pas dé découvrir les subtilités et les richesses écoute après écoute. Car le pianiste a fait ici un gros travail sur à peu près tous les compartiments de la musique, qu'il s'agisse des compositions, des arrangements, de l'espace donné aux solistes ( au premier rang desquels Pierre Perchaud fait sensation *) et enfin de la direction artistique. Tout est ici convoqué pour en faire un album juste beau. Il y a de la vie dans ces « Origines », comme dans ce Bigibop aux chacras grands ouverts comme au premier matin du monde. Ici tout n'est que luxe calme et volupté pourrait t-on dire à l'écoute de cet album qui exhale des parfums harmoniques d'une rare poésie. Avec un sens du son et des t [...]

  • « Pétillant de vie » par Chants…Songs
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    « Dedans le sud de la Louisiane – Les Frères Michot (*) nous plonge avec bonheur dans le patrimoine cajun. Pétillant de vie. A écouter les Frères Michot, on plonge dans ce grand sud, celui des Français d’Amérique et ce patrimoine cajun qui fleure bon une culture à l’identité forte faite de fêtes, de tradition d’hospitalité, de partage avec la nature et de saveurs culinaires. Les Michot sont trois :  Rick et Tommy, qui chantent en s’accompagnant, le premier au violon, le second à l’accordéon et, sur « Le Blues de Carroll County » à l’harmonica. Le troisième Michot est Patrick Jr, qui ne chante pas mais les accompagne à la guitare. Ces amateurs éclairés et passionnés délivrent une indéniable émotion avec leurs mélodies qui donnent irrésistiblement envie de danser comme avec La Valse de Albert Broussard ou l’enlevé Chasse aux lapins. Rick Michot a beau être juge de Lafayette, en compagnie de ses deux frères, il parvient  à donner vie à ce répertoire célébrant une sorte de jardin d’Ed [...]

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