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  • « Une compilation idéale » par Jazz Magazine
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    Douze ans d’enregistrements de Thelonious Monk, vingt-huit extraits des sessions gravées par Blue Note, Prestige et surtout Riverside. Une compilation idéale pour les amateurs de compilations qui voudraient compléter efficacement les « best off » réalisés par Columbia pour la période 62-68. Idéale aussi pour découvrir chronologiquement, détails d’Alain Tercinet à l’appui, la continuité à la fois étriquée et incommensurable des 15 premières années discographiques de ce pianiste atypique. Ce qui frappe, c’est l’immédiateté avec laquelle Monk s’est imposé, notamment avec les premières versions de ‘Round Midnight’ (1947) ou de ‘Misterioso' (1948). La sélection d’Alain Gerber met en lumière un univers monkien qui se tranforme lentement et légèrement. Art Blakey, (formidable en 1957 sur Epistrophy), Roy Haynes ou Kenny Clarke pour ne citer qu’eux, paraissent jouer un rôle majeur dans ces fines évolutions qui conduiront à l’incandescence que l’on connaît. Un coffret à mettre à dispositio [...]

  • « Une anthologie indispensable ! » par Toupie Chansons
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    Ce coffret contient le B.A. BA. De la country et du gospel mais aussi des classiques originaux de blues et de jazz. Accompagné d’un livret richement documenté (on y trouve une mine d’informations) et joliment illustré sur l’histoire de la musique américaine, il est idéal pour initier et sensibiliser les enfants à tous les courants. Une anthologie indispensable ! TOUPIE CHANSONS

  • « Indispensable » par Classica Répertoire
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    Le second volume de cette intégrale se concluait par la prestation de Bird en mars 1946 au Finale Club de Los Angeles. Quelques jours auparavant il avait signé sur le coin d’un comptoir un contrat avec le label Dial du producteur Ross Russell. Fin mars, il enregistre pour celui-ci la première séance sous son nom, suivie dans ce volume de quatre autres séances essentielles : en juillet dans le célébrissime Lover Man, et trois séances en février 1947 où il grave un Yardbird Suite non publié à l’époque, puis en quartet avec Erroll Graner où sont enregistrées quatre prises extraordinaires de Cool Blues, et enfin en septet avec Wardell Gray et Howard McGhee qui produit entre autres les quatre prises légendaires de Relaxin’ At Camarillo. Si l’on ajoute que ce volume offre en outre la séance Savoy avec Miles Davis, Bud Powell et Max Roach où sont gravés Donna Lee, Chasin’ The Bird, Cheryl et Buzzy, ainsi que la première prestation au sein du JAPT en avril 1946 et de rares retransmissions [...]

  • « Les sommets de la créativité » par Jazz News
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    1946 : Bird s’installe à Los Angeles, signe des contrats d’exclusivité comme à gravelotte et concède un pourcentage de ses royalties à son dealer, puis ingère régulièrement un mélange de bouzédrine et d’alcool et est interné en psychiatrie. Deux années, entre un septette et un All Stars (la formule du quintette, idéale pour le jazzman, s’épanouit grâce à Max Roach, Bud Powell, et Tommy Potter), qui adoubent Miles Davis prince de la trompette, et quelques prestigieuses rencontres de hasard (Nat Cole, Lester Young), au cours desquelles le saxophoniste pose son âme sur la table à chaque chorus. Comme sur cette « Night In Tunisia », qui mène vers les sommets de la créativité. Christian LARREDE – JAZZ NEWS

  • « A la poursuite du Graal de prise en prise » par Jazz Magazine
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    Voici donc Charlie Parker sur la côte Ouest, le 28 mars 1946 pour une première séance Dial. Moose the Mooche, Yardbird Suite, Ornithology et Night in Tunisia dont le génial et fameux break fit tourner en bourrique ses comparses Miles Davis (tp), Lucky Thopson (ts), le singulier Dodo Marmarosa (p), Arv Garrison (elg), Vic McMillan (b) et Roy Porter (b). Puis à deux occasions, il jamme longuement pour le JAPT sur le blues, I got Thythm et Cherokee (avec pour « rivaux » saxophonistes Willie Smith, Benny Carter, Lester Young et Coleman Hawkins). Une radio d’une qualité médiocre le fait encore jouer Ornithology avec le trio de Nat King Cole, ce qui mérite tout de même de tendre l’oreille. Le 29 juillet, c’est le drame. Charlie Parker craque sur un Lover Man qui divise encore les fans. Il faut attendre sa sortie de l’hôpital de Camarillo pour le retrouver, totalement retapé, en quartette avec Russ Freeman (séance privée) puis avec Erroll Garner (séance Dial d’où sortiront notamment les [...]

  • « L’impératrice du gospel » par Jazz News
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    Ces années-là, Mahalia Jackson s’assied définitivement sur le trône de l’impératrice du gospel. Elle irradie dans de rares apparitions cinématographiques : le biopic Saint Louis Blues évocateur de W.C. Handy, et , surtout Imitation Of Life signé Douglas Sirk l’un des succès de 1959. Son interprétation de Trouble of The World sur cette B.O. reste une référence en matière de pathos. La chanteuse qui vient d’enregistrer Black, Brown And Beige confirme son attachement pour les droits civiques. Ce nouvel épisode de son intégrale rassemble des titres rares uniquement publiés en 45-tours, et met en lumière le directeur artistique Irving Townsend et l’accompagnatrice  Mildred Falls, indispensable à l’art de la diva. Christian LARREDE – JAZZ NEWS

  • A propos de ce disque :
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    Lors de l’enregistrement de son entretien avec Michel Tauriac pour Frémeaux & Associés, l’Amiral Philippe de Gaulle a expliqué à Patrick Frémeaux que le titre « Charge de l’armée française » (CD1 piste 7), a été enregistré avec les sonneries règlementaires arrêtées en 1915 pour les différencier des sonneries précédentes, qui avaient été apprises par l’ennemi et dont la signification était connue d’eux.

  • Une nouvelle page de ce chapitre de l’histoire de la musique intitulé ‘jazz mano
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    "Ils ne sont pas là pour entretenir la flamme qui brûle avec nostalgie au souvenir du Quintette du Hot Club de France qui fit les belles années musicales de l’avant-guerre, entre 1934 et 1939, et de l’après guerre, lorsque Stéphane Grappelli rejoignit enfin à nouveau Django Reinhardt resté en France pendant les années noires. Ils jouent au contraire pour actualiser et faire perdurer le patrimoine culturel qui est le leur! Des sommités du genre musical en question se sont réunis chez Didier Lockwood en 1998, dans son studio, et ont ouvert une nouvelle page de ce chapitre particulier de l’histoire de la musique intitulé ‘jazz manouche’.Babik Reinhardt à la guitare solo, Romane à l’autre guitare solo, Philippe ‘Doudou’ Cuillerier à la guitare rythmique, Florin Niculescu au violon et Gilles Naturel à la contrebasse. Il s’agit de la même formule musicale qu’à l’origine, excepté l’apport de l’électrification des guitares de Babick et Romane qui confèrent à l’ensemble un côté plus jazzy [...]

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