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  • Une mémoire émouvante par La Tribune
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    Réalisés entre 1916 et 2009, ces enregistrements, qui font partie d’une « anthologie des musiques traditionnelles », sous la direction de Guillaume Veillet (ancien red-chef de « Trad Magazine »), portent une mémoire émouvante. Une génération de chercheurs, réagissant à la société de consommation et y ajoutant souvent une préoccupation identitaire, se lance dans la collecte auprès de personnalités bien trempées et d’interprètes reconnus. Ici évidemment le chant polyphonique sous ses différentes formes, mais aussi d’autres expressions. Celles qui ponctuaient, comme les poèmes improvisés, les événements de la vie locale : complaintes, chants funèbres, sérénades, joutes improvisées, chants électoraux mettant également en valeur la tradition instrumentale. Forte présence de la montagne et hommage tout particulier aux chants enregistrés par les autorités allemandes auprès de prisonniers corses détenus à Königsbrucck en novembre 1916. Plongée dans la Corse de nos souvenirs, terroir vivan [...]

  • Onze propositions pour un concert idéal par Jazz Magazine
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    C’est avec l’orchestre de Bennie Moten, dans l’ambiance torride des clubs de Kansas City, que Count Basie fait ses débuts. Quelques futurs acteurs du Count Basie Orchestra sont déjà là. Notamment Eddie Durham tantôt en solo à la guitare avec résonateur, tantôt au trombone à pistons. Il a co-arrangé ce démarquage du standard You’re Driving Me Crazy avec Basie, à la hâte dans le sous-sol du Pearl Theater de Philadelphie pour satisfaire son directeur insatisfait. En outre, c’est lui qui sut comment réécrire les arrangements, lorsque Bennie Moten introduisit dans son orchestre un troisième trompettiste. Mais l’homme clé, à part Basie qui joue l’ouverture au piano comme il aimera toujours le faire, c’est Walter Page. Sa Walking Bass définit le mode de propulsion de la future limousine orchestrale du Count. Moten Swing en devint le générique avant de connaître en 1937 un nouvel arrangement de Buck Clayton.Par Franck BERGEROT – JAZZ MAGAZINE

  • Ce trompettiste de génie est passé devant les autres et a créé le soliste... par
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    "Le tome 9, triple comme ses collègues précédents, couvre la période 1938-1941 de la vie de Louis Armstrong et comme les précédents, il se révèle une mine de trésors réalisés par celui à qui l'on doit en quelque sorte le jazz moderne.Car tous les développements du jazz, une fois qu'il est sorti de l'improvisation collective de la Nouvelle-Orléans, vient du fait que ce trompettiste de génie est passé devant les autres et a créé le soliste, le leader, la vedette. Dans ces années 1938 à 1941, Louis Armstrong enregistre peu, il revient d'une tournée exténuante en Europe (1933-1935), il a les lèvres massacrées par son instrument (il en a profité pour chanter davantage) et il tourne dans quelques films. Ce tome 9 s'intitule « Jeepers Creepers » du fait que quatre versions de ce titre existent sur le disque 1, deux versions du film, une de la radio et une du disque. Le film, éponyme, n'était qu'un prétexte (un cheval de course qui ne gagne que quand Louis, garçon d'écurie, joue de la tro [...]

  • L’origine de sa brillante mais courte carrière par Le Quotidien du Médecin
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    "Après plusieurs intégrales magistrales consacrées à Louis Armstrong, Charles Trénet, Henri Salvador, Django Reinhardt (vingt volumes) et à l’accordéon notamment, le label français Frémeaux & Associés, qui produit aussi ses propres disques et a obtenu des centaines de distinctions pour son travail muséographique de sauvegarde et de diffusion du patrimoine sonore mondial, se lance dans la publication des oeuvres complètes de Charlie Parker (1920-1955). Le premier volume (2 CD - direction Alain Tercinet), intitulé « Groovin’ High - 1940-1945 » vient de paraître. Si le double album commence par un étonnant enregistrement privé du « Bird » au saxe-alto en solo à Kansas City, sa ville natale, au milieu des années 1940, on le retrouve par la suite au sein de la formation du pianiste Jay McShann, qui fut à l’origine de sa brillante mais courte carrière. Viennent ensuite des sessions en trio (1942), et surtout les premières rencontres avec Dizzy Gillespie, avant une collaboration plus pou [...]

  • Un double CD consacré au violoniste Stéphane Grappelli par Le Quotidien du Médec
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    "Dans la collection « Quintessence » (dirigée par le critique/écrivain Alain Gerber ), le label propose (sous la houlette de l’historien Daniel Nevers), un double CD consacré au violoniste Stéphane Grappelli. « Paris - London - 1933-1958 » comprend immanquablement des titres enregistrés avec son associé historique au sein du quintette du Hot Club de France, Django Reinhardt (déjà répertoriés dans l’intégrale consacrée au guitariste manouche), mais aussi des morceaux de « Grappelly » (avec un Y pour faire plus anglo-saxon) à la tête de ses quintets lors de son exil à Londres pendant la guerre, le même avec Jack Diéval (piano) à Paris (1954), en grand orchestre à cordes, et avec celui d’Eddie Barclay (1957), comprenant notamment Lucky Thomson (ténor-saxe) et Kenny Clarke (batterie), sur un arrangement de Quincy Jones."par Didier PENNEQUIN - LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

  • Le bon temps du swing ! par Le Quotidien du Médecin
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    L’ère des grands orchestres – les fameux big bands – correspond à unegrande période du jazz classique, même si, pour l’histoire du monde, elle colle aussi, pour partie, aux terribles années de la Deuxième Guerre mondiale. Les orchestres, essentiellement swing et de danse, les plus populaires de ces décennies étaient principalement blancs, à l’image de Benny Goodman, surnommé le « King of Swing » – qui avait cependant des musiciens noirs dans ses rangs, parmi lesquels Lionel Hampton –, Artie Shaw ou Glenn Miller, même si Duke Ellington, Count Basie, Cab Calloway et autres avaient une excellente réputation et des solistes de tout premier plan, qui ont inscrit de belles pages du jazz instrumental. « The Greatest Black Big Bands - 1930-1956 » réhabilite ces machines à swing afro-américaines. Si Count Basie, avec notamment Lester Young (ts), Duke Ellington, avec les fidèles Cootie Williams (tp), Johnny Hodges, Harry Carney (saxes), et Cab Calloway, aux côtés duquel on note la présence [...]

  • Une histoire dans l’histoire du jazz moderne. par Le Quotidien du Médecin
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    "« Jazz West Coast - From Hollywood To Los Angeles - 1950-1958 » procède à une autre réhabilitation, surtout en France : celle du style West Coast. Née en Californie à l’aube des années 1950, cette musique, dont les principaux protagonistes furent blancs (Shorty Rogers, Art Pepper, Stan Getz, Chet Baker, Gerry Mulligan, Jimmy Giuffre, Shelly Manne, Zoot Sims, Lennie  Niehaus, l’actuel directeur musical des films de Clint Eatswood, Bud Shank, Barney Kessel ), à l’exception notoire de Chico Hamilton ou Buddy Collette, est restée dans les esprits comme l’expression d’un jazz « cool », désinvolte mais rigoriste dans son écriture, créé par des supertechniciens. Une histoire dans l’histoire du jazz moderne."par Didier PENNEQUIN - LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

  • Un joyau de l’âme musicale profonde de la Guadeloupe par Air Caraïbes Inflight M
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    "Voici un joyau de l’âme musicale profonde de la Guadeloupe, sauvegardé dans les années 60-70 grâce au producteur Raymond Célini et réédité par Jean pierre Meunier. La clarinette allègre de Robert Mavounzy et la voix poignante de Manuela Pioche nous restituent la beauté des plus célèbres biguines d’autrefois. Enregistrée fin 1966 dans la fièvre d’une nuit en mémoire de Roger Fanfant, cette séance déploie déjà toute sa science des claviers, atteint des points de fusion tels que l’on y retrouve des bribes de toute la Great Black Music. L'album est complété par Élie Cologer qui nous entraîne dans le rythme envoûtant de quadrilles séculaires ressuscités par la magie de son violon. 'L’album d’or de la Biguine' a eu un succès considérable aux Antilles en proposant l’héritage des musiques de danse guadeloupéennes enregistrées avec la technologie de matériel de studio des années fin 60 et début 70, bien supérieure à celle des décennies précédentes sur 78 tours. Ce disque devint l’album cu [...]

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