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  • « Regain de la littérature sonore » par Le Magazine Littéraire
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    Ce regain de la littérature sonore doit être loué pour une raison évidente : en sollicitant l'ouïe plutôt que la vue, celle-ci déplace notre appréhension du texte et ainsi nous apprend toujours autre chose, même s'agissant d'une œuvre que nous pensions connaître parfaitement.Vous voyez encore le style du Camus de L'Etranger comme un exemple d'écriture blanche ? Ecoutez la lecture qu'en fait son auteur (aux éditions Frémeaux & Associés), et la blancheur  que vous prêtiez au style se teindra des ors de la poésie en prose. « Par ses inflexions, Camus nous indique comment comprendre son œuvre  », explique Patrick Frémeaux. Certes, mais la voix de l'auteur n'est pas le seul révélateur. Si la lecture est réussie, un petit miracle se produit. : celui de faire sortir des éléments du texte que seul votre inconscient avait jusqu'alors perçus.Alexis BROCAS – LE MAGAZINE LITTERAIRE

  • « Lectures colorées » par Le Magazine Littéraire
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    Si la sobriété sied à certains textes, d'autres, par leur truculence, appellent des lectures plus colorées. Les Fables de La Fontaine dites par Michel Galabru en sont un délicieux exemple.Alexis BROCAS – LE MAGAZINE LITTERAIRE

  • « Trésors d'archives » par Le Magazine Littéraire
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    Ajoutons que l'audio ne nourrit pas la seule mémoire des auditeurs : il enrichit de façon  inestimable le patrimoine littéraire. Des enregistrements comme ceux de L'Etranger par Camus relèvent des trésors d'archives, au même titre que les manuscrits. Mieux, ils contiennent des informations que ne sauraient rendre ceux-ci.[…][E]n écoutant le souffle de Camus dans sa lecture de L'Etranger, vous apprendrez d'une façon différente, mais frappante, ce que vous dit la biographie d'Olivier Todd sur sa tuberculose... « J'ai publié, dans un CD, des enregistrements de Cyrano par Rostand ou par Sarah Bernhardt, ajoute Patrick frémeaux. Parfois, cela frôle l'inaudible, comme nous le précisons sur la jaquette. Néanmoins, ces enregistrements ont autant de valeur que les hiéroglyphes dégradés que vous pouvez voir au Louvre. » Alexis BROCAS – LE MAGAZINE LITTERAIRE

  • On en reprendra Par le Journal de Montréal
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    Frère du réputé violoniste Didier Lockwood, Francis, autant pianiste jazz que classique, livre ses impressions sur Bach. Entouré du guitariste Jerry De Villiers Jr et de la violoniste Véronicas Thomas, il alterne entre les classiques : Prélude N°3, N°14, Bach revu : Walking to Lubeck, Round Around Bach et le jazz pur : Saint-Georges Church, Saint Blasius, dans une atmosphère bon enfant et tout à fait dans le ton. On en reprendra.Par LE JOURNAL DE MONTREAL

  • Cette réédition intégrale s’imposait en cette année Brassens par Jazz Magazine
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    Un premier disque de 2001 remporta un vrai succès public dans une relative indifférence médiatique. Suivi d’un second paru en 2005 tout aussi réjouissant. La musique de Brassens n’est pas sans sympathie avec l’univers de Django. Rodolphe Raffalli étant l’un de ses plus sûrs héritiers, cette réédition intégrale s’imposait en cette année Brassens.Par FB – JAZZ MAGAZINE

  • Du bon Romane, guitariste et compositeur, avec déjà une signature bien à lui par
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    Frémeaux lance l’intégrale de Romane en commençant par ce premier album de 1992 du faux-vrai manouche. Guitares, batterie et contrebasse (rien moins que Michel Gaudry), le délicieux Paul Cazes tient la clarinette. Du bon Romane, guitariste et compositeur, avec déjà une signature bien à lui au bas de la partition Dans le regard de Laura.Par AS – JAZZ MAGAZINE

  • L’essentiel, l’authentique swing, a toujours été préservé par Jazz Magazine
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    Comme le titre de la collection le laisse entendre, cette nouvelle compilation de la collection Quintessence tente de réunir les pièces libres de droits les plus incontestables du Modern Jazz Quartet. Une autre ambition étant sans doute de susciter l’envie folle de prolonger ces écoutes par d’autres non retenues. C’est en tout cas l’effet que ces vingt-quatre plages produiront sur tout auditeur passionné, car plus on s’éloigne de 1952, plus le plaisir que trouvent les musiciens à jouer ensemble devient prenant. Et pourtant, les années 1950 sont bien celles du hard bop le plus exubérant. Comment, dès lors, expliquer le succès du MJQ ? Selon Alain Gerber, dont la thèse est exposée dans le livret, il repose sur la cœxistence du feu – Milt Jackson – et de la glace, ou plutôt du faussement glacial John Lewis. Ce qui est certain, c’est que le groupe, ne serait-ce que par sa prestance scénique, rendait le jazz « admissible » par la société blanche bien pensante. Le MJQ ne poursuivait-il [...]

  • Ces mélodies se parent ici d’harmonies [donnant] leur originalité [au] swing par
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    Après guerre, la valse et le bal musette étaient un passage obligé pour les musiciens. Django Reinhardt et nombre de guitaristes s’y frottaient, parfois à reculons, souvent en y ajoutant une note de fantaisie. Romane, en 1999, accompagné de sa seule contrebassiste Alice Bassié, s’y pliait à son tour, reprenant les standards de Gus Viseur, Jo Privat ou Tony Murena. Enrichies dès l’origine par les Manouches et Gitans, ces mélodies se parent ici d’harmonies, d’inflexions qui donnent leur originalité à un registre qui fricote naturellement avec le swing.Par Romain GROSMAN – SO JAZZ

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