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  • « Le plus bel hommage qu’ils pouvaient rendre au blues » Par Trad Mag
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    « Juste retour des choses que cette union musicale des Verbeke père et fils, que seul Patrick Frémeaux pouvait nous offrir avec autant de générosité et de qualité. Cet album est en effet, en plus d’une aventure familiale (pour la moitié des treize titres composés par le duo), l’héritage de la tradition musicale franco-nord-américaine. Le mélange des compositions (Tu m’as menti, La tangente, Mets ta casquette blues, Dis moi pourquoi, Celle que j’aime, Ragtime blues) côtoient les classiques du Mississippi blues (Frankie & Johnny, Cattfish Blues), dans une fusion naturelle qui frise l’exceptionnel avec La p’tite ceinture et T’efface pas comme ça (adaptation de Baby Please Don’t Go ?). Les jeux subtils des instruments (guitare steel, acoustique, électrique harmonicas) et des vois très différentes, sur des arrangement simple mais efficaces, sont les fils conducteurs de cet album qui ne cherche pas à épater ni à surprendre, mais juste à émouvoir, comme ce qui constitue le sens même du b [...]

  • « De nombreux témoignages de ces tirailleurs » Par Trad Mag
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    « En ces périodes de polémiques autour du film «  Hors la loi » de Rachid Bouchareb à Cannes ou, d’une façon plus générale, d’un passé colonial si difficile à dépasser après reconnaissance des immenses dégâts qu’il a produit, il est intéressant de se pencher sur les rôles que jouèrent autrefois nos « compatriotes colonisés » pour défendre les valeurs d’un pays qui n’hésite pas aujourd’hui à expulser leurs enfants, sans tambours ni trompettes… Pour les en remercier ! Ce coffret est consacré aux tirailleurs « sénégalais » (qui étaient aussi maliens, malgaches, marocains…ou martiniquais) qui défendirent de leurs vies, de 1857 à 1964, en première ligne et sur tous les fronts ce beau pays qui est le nôtre. Il regorge de nombreux témoignages de ces tirailleurs, d’entretiens divers, extraits musicaux, chansons, extraits d’émissions de RFI, allocution officielles et propos d’historiens. Laissons parler l’histoire avec des extraits de chansons d’époque : « Un caillou blanc, un caillou noir [...]

  • « Album sublime » Par Sciences et Avenir
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    « Le label Frémeaux, bien connu pour ses rééditions de bonne facture, publie cette compilation couvrant la période la plus électrique de Manu Dibango, de 1978 à 1989. On (re)découvre ainsi quelques extraits d’un album sublime, un tantinet oublié, Waka Juju, datant de 1982, quand le grand Manu commençait à sérieusement fricoter avec le funk et l’afrobeat, notamment le fabuleux Africa Boogi, avec Wally Badarou et Jean-Claude Naimro, le clavier de Kassav’. Ou cette rareté, le fameux Soul Makossa, titre qui avait lancé la carrière internationale du saxophoniste camerounais en 1972, piraté par Michael Jackson dans l’album Thriller dix ans plus tard, mais ici repris par Manu lui-même en 1978, lors d’une séance de studio à Kingston, avec la section rythmique jamaïcaine, Sly Dunbar et Robbie Shakespeare. On regrette d’autant qu’il n’y ait ici aucune trace de l’album le plus expérimental de Manu Dibango, Electric Africa, enregistré en 1985 avec Herbie Hancock, Bill Laswell et Bernie Worrel [...]

  • « Musique du monde sans doute, musique noire certainement » Par Trad Mag
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    « L’infatigable Manu Dibango a enregistré partout. Il a coloré son makossa d’esprit soul ou bien encore reggae selon les moments. Dans les années 1970 et 1980, il a roulé sa bosse avec d’excellents musiciens, allant même jusqu'à Kingston (Jamaïque) pour enregistrer avec les pointures du reggae. Cette compilation offre quelques bons moments de ses voyages. Manu Dibango est bel est  bien l’un des piliers des genres urbains. Musique du monde sans doute, musique noire certainement. A écouter pour retourner à ces carrefours que seuls quelques artistes sont capables de nous montrer. »Par Etienne Bours — TRAD MAG

  • Un impromptu à se procurer promptement. par Djangostation
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    "Enregistré en 2002 pour le label Jazzetal du guitariste et producteur Dave Kelbie, cet Impromptu nous présente le quartet anglais d’Angelo debarre. La rythmique est d’abord très convaincante : emmenée par Dave Kelbie, qu’on a déjà pu entendre derrière Fapy Lafertin pour ses albums anglais (excusez du peu... !), et par un contrebassiste, Pete Kubrick-Townsend, ne dédaignant pas d’y aller de son petit chorus, elle assure aux solistes un tapis swingant parfaitement rassurant et propices aux envolées debarresques. Face à un Angelo très en verve, le violoniste Chris Garrick s’en sort plutôt bien, réussissant même à tirer son épingle du jeu sur certains titres ; on pense notamment à la tension fébrile et palpable d’un Lentement Mademoiselle sur le fil, et qui doit beaucoup à sa subtilité. Les arangements violon/guitare sont également particulièrement soignés (Flèche d’or). Et quand à Maître Debarre, il est égal à lui même ! Une précision et un toucher exceptionnel, de la volubilité fac [...]

  • « Décès du musicien Bob Lenox » Par Libération
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    « Le chanteur et compositeur américain Bob Lenox est décédé ce lundi, à l’âge de 65 ans, des suites d’une longue maladie. L’artiste était notamment connu pour son style très personnel, fruit d’un mélange entre folk et blues, ainsi que ses collaborations avec Jimi Hendrix, Tina Turner et un autre ancien de Woodstock, Joe Cocker. Lenox avait également signé plusieurs bandes originales de films : comme celle du premier long métrage de la française Isabelle Mergault, Je vous trouve très beau, sorti en 2005. » Par LIBERATION

  • Le crépuscule d’une idole Par Lire
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    "Après Dieu, Michel Onfray déboulonne Freud, le freudisme et les freudiens. Les griefs qu’il récapitule en tête de sa conclusion  (voir l’extrait ci-dessous) sont de trois ordres. Le premier est biographique : Freud aurait eu un comportement malhonnête. En deuxième lieu sa thérapie n’a pas fait ses preuves. Progressiste ou révolutionnaire, Freud ? En aucun cas, objecte Michel Onfray, qui tient à le mettre également en cause sous l’angle de la politique. C’était un fieffé conservateur, gardien des bonne mœurs et partisan de régimes autoritaires.Au terme de cette analyse, une question s’impose : si Freud fut bien cet affabulateur accablé par un lourd dossier ; s’il a bien été un philosophe qui a détesté la philosophie pour mieux déployer sa pensée dans le seul cadre philosophique : s’il a très tôt détesté les biographes parce qu’il savait que cette engeance ferait un jour l’histoire de ce qu’il s’est évertué, lui et ses amis, à présenter sous le signe de la légende ; si son odyssée [...]

  • Un monde que l’on imagine difficilement aujourd’hui par Cairn Info
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    "La banlieue “a des charmes que rien ne remplace”, c’est “un paradis qu’on a mis sur terre”, où “le dimanche, on oublie ses ennuis”, chantaient Reda Caire, Damia ou Robert Lamoureux dans les années 1930, 1940 et au tout début des années 1950. Cette banlieue mise en musique est un monde que l’on imagine difficilement aujourd’hui. Certes, on reconnaît les noms des communes qu’on ose afficher, à l’époque, jusque dans les titres, comme “Entre Saint-Ouen et Clignancourt”, “Les filles de Gennevilliers” ou “Joinville-Musette”, mais ensuite on entend la description de sites où tout n’est que jardins, ombrages, fêtes et romances. On voit bien que la banlieue était déjà plurielle, avec des territoires très distincts. Il y a des distinctions sociales entre le monde très ouvrier de Saint-Ouen, l’espace des fonctionnaires (Saint-Mandé) ou celui des bourgeois (Saint-Germain, Chantilly). Il y a les banlieues du quotidien et celles où l’on va pour se distraire. Dans cette dernière catégorie, la g [...]

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