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  • « La légende de la musique cubaine » par le Monde de la Musique
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    Une fois de plus, la méthode Frémeaux répond à un besoin auquel personne n’avait encore su répondre : un survol anthologique des grandes faces enregistrées de la musique cubaine. Pourtant tout commence assez mal : une citation de Manuel de Falla en exergue au dos du boîtier qui pourrait être interprétée de manière fort péjorative et une liste d’inconnus qui n’incite guère à l’achat le néophyte auquel cette publication est en premier lieu destinée. Il faut ouvrir le livret pour réaliser qu’il s’agit d’une liste de compositeurs. Les noms des interprètes risquent de vous être plus familiers : Antonio Arcano, Arsenio Rodriguez, La Sonora Matancera, Perez Prado, Tito Puente, Tito rodriguez, Los Compadres (le duo qui valut à Francisco Repilado son  surnom de Comapy Segundo), Machito, Chucho Valdes…et d’autres noms moins connus, notamment en ce qui concerne le premier de ces deux disques, mais qui confirment que la légende de la musique cubaine est là entre vos mains, racontée par une sp [...]

  • « L’évolution des rythmes et des musiques » par La Croix
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    Dans la suite des compilations vouées au jazz, au fado ou au swing, les éditions Frémeaux & Associés proposent deux doubles CD, l’un consacré à la samba brésilienne, l’autre à Cuba. Souvent « historiques », les enregistrements ne sont pas toujours d’une qualité idéale. Ils ont cependant l’immense mérite de permettre de suivre l’évolution des rythmes et des musiques, apportant au charme évident des Pixinguiha, Noêl Rosa, Carmen Miranda pour ce qui est de Brésil, des Maria Teresa Vera, Tito Rodriguez ou Chucho Valdès pour Cuba, une valeur ajoutée irremplaçable. Par-delà les plaisirs exotiques, torrides ou langoureux, du baduqte et des sambas batuque, cançao, amaxixado…ici, des danzones, cha-cha-cha et autres mambos là, c’est autant l’histoire que l’âme des peuples qui se découvrent. Chaque CD est accompagné d’un livret très complet où spécialiste comme néophyte trouveront leur compte.Didier MÉREUZE – LA CROIX

  • « Une plongée dans le temps et dans les styles » par L’autre Afrique
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    On ne les compte plus, on croit le réservoir épuisé, mais chaque nouvelle « compile » de musique cubaine, amène son lot de découvertes et d’émerveillement. Cuba :1923-1995 n’échappe pas à la règle et révèle des perles rares retraçant une partie – une partie seulement – de l’épopée de la musique cubaine. Tant il est vrai qu’il « existe peu de pays au monde ou la musique soit aussi présente et exubérante qu’à Cuba », écrit isabelle Leymarie, auteur de plusieurs ouvrages sur les musiques de l’île, dans le petit livret explicatif qui accompagne les deux CD. L’auteur a aussi assuré leur direction artistique. Cuba : 1923-1995 est une plongée dans le temps et dans les styles. La première partie du voyage (CD 1) commence en 1923 à La Havane, avec Los cantares del Abacua d’Ignacio Pinciro, pour se terminer avec Fefita de Jose Urfe en 1953. On croise, entre-temps, des artistes tels que Eusebio delfin, Gilberto Valdes, Guillermo Castillo…La seconde partie du parcours (CD 2) débute en 1948 po [...]

  • « La totale » par World
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    C’est la totale. Cette compilation nous fait croire qu’elle embrasse toute la musique cubaine contemporaine, de 1923 à 1995. Cela s’appelle Cuba et ça parle aussi de musiciens d’origine portoricaine (Tito Puente, Johnny et Tito Rodriguez, Noro Morales, Joe Loco). Cela débute en 1923 et ça parle essentiellement des années 40-50. Cela s’achève en 1995 et il n’y a que deux chansons datant de ces années sur une quarantaine de morceaux réunis en ces deux CD. C’est prétentieux alors que l’on a besoin, en période de gavage cubain, d’outils pédagogiques précis et clairs pour mieux connaître, discerner les riches musiques de la plus grande île des Caraïbes confisquée par Castro depuis quarante ans. Malgré tout ça, le plaisir est sauf quand on écoute (encore une fois) le « Barbare du rythme », Benny Moré avec l’orchestre d’un autre mythe Pérez Prado ; « l’Aveugle merveilleux » Arsenio rodriguez, Machito et ses Afro-Cubans, ou l’historique Sonora Matancera.B.D. - WORLD

  • « Expression de force et de joie » par Latina
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    La maison Frémeaux & Associés (catalogue gratuit sur demande au 20, rue Robert Giraudineau 94300 Vincennes) continue à consolider les racines patrimoniales de la planète en confiant à Isabelle Leymarie, spécialiste incontestée de ce domaine foisonnant, un panorama sonore cubain qui couvre pratiquement les trois-quarts de notre siècle. Les premiers témoignages enregistrés (1923) concernent des formes déjà très raffinées qui avaient la faveur de lieux publics élégants, reste sous-entendu tout un mode d’émotions et de tâtonnements émouvants, dont nous n’avons presque plus de traces, celui partagé par un prolétariat rural sauvagement exploité. Ces traces sont encore tangibles dans certaines fêtes locales et des défilés de carnaval. Faut-il rappeler que la magie du rythme cubain est l’héritage de l’infâme trafic des esclaves noirs ? Isabelle Leymarie dans son ouvrage « Du Tango au Reggae » (Flammarion, 1996), note : « Très tôt, les noirs brillèrent par leur talent musical et constituèr [...]

  • « Le rayonnement de la musique » par Républicain Lorrain
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    Cuba est en passe de devenir la destination touristique par excellence. Un choix justifié par la beauté des paysages, l’histoire, l’architecture, le climat, la personnalité des cubains et le rayonnement de la musique. Il existe peu de pays au monde où la musique est aussi présente et exubérante. Dans cette île, elle a toujours précédé arts plastiques et littérature. C’est vrai que durant 400 ans, des millions d’esclaves venus d’Afrique ont influencé les rythmes cubains, marqués des cadences de type espagnol. Tango, congo, clave, boléro, son, danzon, guajira, mambo, cha cha cha etc. personnalise les différents genres. Des variétés que l’on peut découvrir dans un double CD d’anthologie, paru chez Frémeaux & Associés et baptisé Cuba 1923-1995.RÉPUBLICAIN LORRAIN

  • « Étonnante richesse musicale » par Paris/México
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    Quelle île symbolise mieux la musique que Cuba ? Frémeaux vient de livrer une anthologie, Cuba 1923-1995, large éventail de ce que l’île a pu créer comme musiques et musiciens, qui commence par Ignacio Eusebio et finit sur Chucho Valdés, en passant par Miguel Matamoros et le Duo Los Compadres (Lorenzo Hierrezuelo et Compay Segundo). On peut s’étonner de ne pas trouver certains personnages, mais qu’importe, il faut faire des choix et ce double CD a l’avantage de surprendre et de donner envie de continuer à découvrir cette étonnante richesse musicale qu’est Cuba.PARIS/MÉXICO

  • « Abundantes textos y datos » par El Pais de las Tentaciones
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    Las discográficas francesas están entrando fuerte en el tesoro cubano y este doble panorámico, realizado con ayuda del sello barcelonés Tumbao, tiene el encanto de juntar temas eternos – Ay mama Inés, El manisero, Quizás quizás quizás – con decenas de piezas menos obvias interpretadas por agrupaciones no del todo legendarias. Como es habitual en los productos Frémeaux, hay abundantes textos y datos. Lástima que hayan intentado llegar hasta el presente : los 40 años   del castrismo sólo se representan con tres grabaciones (Bola de nieve, Frank Emilio, Chucho Valdés). Más que un error, un insulto.Diego A. MANRIQUE – EL PAIS DE LAS TENTACIONES

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