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  • « Le visionnaire » par Jazz Notes
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    Après le couple somptueux Lady Day / Prez, voici l’homme seul grand maître du jazz, possédant un nombre important de disciples et qui resta longtemps incompris. Écoutez donc ces enregistrements les plus essentiels de sa période 1936-1944 où il va à l’opposé du courant défini par Coleman Hawkins. Lester sera toujours le visionnaire représentant exclusif de la décontraction, dans un swing toujours intense. Un coffret qui possède des joyaux dont amateur ou débutant dans le Jazz doit s’imprégner. Merveilleux.JAZZ NOTES

  • « Entre un homme et une femme » par L’Affiche
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    Si j’étais dictateur ou président, j’imposerais une fois par semaine, à l’heure de grande écoute, (et une fois par jour, spécialement à l’intention de Monsieur Robert-André Vivien, rapporteur odieux-visuel auprès de je ne sais trop quel machin où l’on n’a sûrement pas le temps d’écouter du jazz), j’imposerais donc, disais-je, la vision de « Jammin’The Blues », ce court-métrage de 1944 tourné par Gjon Mili avec Harry Edison, Ilinois Jacquet, Barney Kessel, Red Callender, Sidney Catlett et…Lester Young, le président comme l’appelait Lady Day, Billie Holiday, la meilleure de ses partenaires. « Jammin’ The Blues »,c’est un rêve éveillé qui danse, sculpté dans le jazz, la lumière noire et blanche et la fumée des cigarettes, un tempo et une poésie désormais tellement rares (comme les Jacques Tati perdus sur nos étranges lucarnes ces dernières semaines à 20h30, sur Arte certes) que même les plus cool et les plus endurcis de nos concitoyens zapperaient sans comprendre puisque zapper, nous [...]

  • « Young’s early peak » par Jazz Journal International
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    Dispensing first with the negative : only one track with Billie Holliday, excused because of two other albumes available on the same label – wich sounds to me like a marketing ploy. Slightly off speed on Lester Leaps Again ; and Glenn Hardman’s organ playing. Pretty nearly everything else that can be said has to be positive, but only because I think there might be some strange Gallic logic in arranging the tracks in random order – unless the object was to give me a headache rearranging the personnel details. Musically, every track has merit, much excellent playing from the stars of the proceedings, fine support from the other great names on hand. The period covered, 1936 to 1944, was Young’s early peak (later he was different, better or worse being an idiosyncratic decision). Listening again to the poised elegance of his solos during this period it is striking how far he had turned away from the accepted sound and style of the saxophone tenor in jazz. The melancholy quality that m [...]

  • « Vivier de chefs d’œuvre » par Jazzman
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    Ce second volume de l’indispensable florilège, toujours sélectionné et présenté par ce grand maître lesterien qu’est Alain Gerber, complète tout aussi amoureusement la précédente « Quintessence » (FA 210) qui s’arrêtait en 1944, domaine public oblige. Ce double album nous permet ainsi de redécouvrir quelques perles « basiques » de Lester Young (avec le Kansas City Six ou au sein de l’orchestre de Count) qui n’avaient pu trouver leur place dans le premier coffret ni d’ailleurs dans le volume consacré à Count Basie (FA 202). Mais surtout, il permet de retrouver le saxophoniste au sortir du cauchemar du service militaire  et du séjour forcé dans des baraquements disciplinaires qui lui inspira en Janvier 1945 le déchirant D. B. Blues. Soi la première parmi les dix plages sélectionnées par Gerber dans le vivier de chefs d’œuvre que recèle le label Aladin, pour lequel Lester enregistra, de 1945 à 1947, trente titres. Dont, bien entendu, These Foolish Things qui est à Lester Young ce que [...]

  • « Lester Young est essentiel » par Répertoire
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    Tout, je dis bien tout, ce que Lester Young est essentiel, à un titre ou à un autre. Cette excellente anthologie, qui complète la précédente 1936-1944 (FA 210) et celle dévolue à Count Basie (FA 202), s’impose si l’on ne souhaite pas acquérir l’intégrale entreprise par Masters of jazz.RÉPERTOIRE

  • « On a smooth cushion » par Jazz journal International
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    I suppose most diehard jazz collectors will possess these titles, but probably scaterred among many ancient 78s and recentky obsolete LPs. Anyway, i twas a nice, romantic gallic touch to produce a compilation emphasising the close relationship – musical and social – between Billie Holiday and Lester Young. John Hammond claimed that they met for the first time at  the Teddy Wilson recording session he organized on January 25, 1937, but Billie has state dit occured earlier in Harlem during a jam session at the Uptown House, where she was singing. ‘It was at one of those sessions I first met Lester Young. From then on, Lester knew how I used to love to have him come around and blow pretty solos behind me’. This is just what he does on these tracks ; he is reflective, understated and completely empathetic with his Lady Day, while she, of course, is superb. Teddy Wilson is his usual suave, brilliantly lyrical self, and the very underrated Buck Clayton supplies tender, mostly muted supp [...]

  • « Avec cœur et sincérité » par Notes Bibliographiques
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    Un hommage « for ever » à Gainsbourg par ses amis, avec une préface de Richard Cannavo et de nombreuses photos de lui, de sa famille, d’écrits de ses fans, de sa demeure. Soixante dix huit courts textes de ses chansons dits par trois femmes et trois hommes avec plus ou moins de talent, mais certainement avec cœur et sincérité. De « Il était une oie » créé en 1959 par Juliette Gréco, à « Les mots inutiles » en 1998, Gainsbourg a écrit et mis en musique toutes ses chansons : humoristiques, mélancoliques, provocatrices, tendres, érotiques, il aimait jouer avec les mots, se référer à Verlaine, Shakespeare, Apollinaire et même Bossuet ! C’était un désespéré, il avait l’obsession de sa laideur. Malgré le succès, il doutait de lui, heureusement, disait-il « il me reste la poésie »…Il nous reste ses chansons.NOTES BIBLIOGRAPHIQUES

  • « La magie continue » par Jazz Hot
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    Onze ans après le précédent, B.B. Boy remet cela, en Amérique cette fois, à Austin et avec des partenaires bien choisis. Le  feeling est toujours là et la magie continue de faire ses effets. C’est original et bien torché, les West Side Horns apportant ce plus qui fait la différence là où il faut. Certaines mélodies accrochent vraiment et restent en mémoire de façon insistante (« Gare ta voiture… », « C’est moi qui tient l’volant », les très belles ballades, entre autres, « Toujours demain » et « T’es la seule »). Une mention spéciale à « Hey toi » (harmonica et guitares) à « Rentrer chez soi » (accordéon !) et au très swamp-pop « Tout les jours ». Avec ‘J’suis pas l’homme qui t’faut », « Tu sais rien » et quelques autres titres, Benoît prouve qu’il est possible de swinguer en Français et d’aucuns pourraient en prendre de la graine. En fait, aucun titre ne laisse à désirer. Le plaisir d’écouter commence avec le premier et perdure jusqu’au dernier avec quelques points forts de-ci de [...]

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