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  • Fernandel - l'interprète idéal par Le Parisien
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    […] Parmi eux, les incontournables "Lettres de mon moulin", dont la célèbre "Chèvre de Monsieur Seguin".Qui mieux que l'acteur Fernandel pouvait lire la Provence de Daudet ? En 1954, il enregistra les "Lettres", aujourd'hui remises au goût du jour par la maison de disques Frémeaux & Associés, qui oeuvre pour la défense du patrimoine sonore. L'inimitable accent de Fernandel ainsi que sa générosité de conteur font de lui l'interprète idéal. "Monsieur Seguin n'avait jamais eu de bonheur avec ses chèvres. Il les perdait toutes de la même façon. Un beau matin, elles cassaient leur corde, s'en allaient dans la montagne et là-haut, le loup les mangeait. (...) C'était paraît-il des chèvres in-dé-pen-dantes." A chaque syllabe, le comédien apparaît. On se croirait assis au pied du moulin, écoutant un aimable grand-père partager ses souvenirs. Et quand c'est l'histoire du "Curé de Cucugnan" qu'il raconte, c'est carrément Don Camillo qui fait son entrée dans notre salon !" LE PARISIEN

  • «L’âge d’Or des bals et cabarets antillais » par France Antilles Hebdo
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    Dans un dernier numéro du Monde, cahiers arts et spectacles, le quotidien du soir plébiscite le travail de Jean Pierre Meunier. Les deux coffrets « biguine » (distribution Frémeaux) qui retracent l’âge d’Or des bals et cabarets antillais de Paris viennent d’être classés parmi les CD de 94. Le commentaire de notre confrère à propose de ces deux CD est le suivant : « Comment partir sur la trace des bourgeois et des poètes partis s’encanailler dans les « bals nègres » et autres exotismes ? Comment remonter le fil d’une histoire d’amour qui dure toujours (le zouk aidant). Ces deux coffrets sont remplis de richesses insoupçonnées et de renseignements précieux sur la vie nocturne de la capitale, sur les échanges entre les Antilles françaises et la Métropole. Tous les orchestres historiques y figurent et le livret est fort bien fait ». Bravo Jean-Pierre Meunier ! FRANCE ANTILLES HEBDO

  • « Valse des rencontres» par Le Nouvel Afrique-Asie
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    Octobre 1925 : Joséphine Baker et le Revue Noire passent au théâtre des Champs-Élysées. Le public français raffole de ces  « nègres à talents », authentiques « tout-monde », doués d’un génie presque insolent dans le jeu de la clarinette, du trombone ou du cornet à pistons. La musique métisse des Noirs de la Caraïbe se diffuse ainsi au cœur de la métropole. C’est surtout la biguine qui bouleverse le paysage sonore de la capitale hexagonale entre 1918 et 1939, où le clarinettiste martiniquais Alexandre Stellio et le « Bal colonial de la rue Blomet » occupent le devant de la scène. Les enregistrements présentés dans ce coffret de deux lasers ont été réalisés à Paris entre 1929 et 1940 et témoignent de la richesse d’un courant musical, valse des rencontres où les influences jazzy de La Nouvelle-Orléans sont le troisième partenaire.LE NOUVEL AFRIQUE-ASIE

  • «Voyage dans le temps » par Trad Magazine
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    Après « Musette et Swing » volume 1 et 2, « Tziganes », voici « Biguine » sous titré « l’âge d’Or des bals et cabarets antillais de Paris ». Ce précieux document fait figure d’encyclopédie, tant par les disques eux-mêmes que par l’impressionnant livret. Jean-Pierre Meunier, fondu de musique antillaise, a bien voulu nous dévoiler le meilleur de son incroyable collection de 78 tours, de photos et de documents sur les orchestres qui jouèrent à Paris dans les années trente. Á écouter les repiquages, à lire les textes et à admirer les magnifiques reproductions de photos d’époque, on imagine le travail de fourmi qu’il a effectué depuis 20 ans. Fortement teintée de jazz de New Orleans, cette musique de danse a néanmoins reçu toutes les influences qui traînaient, quand Paris était encore la capitale culturelle du Monde, dans les orchestres, les clarinettistes sont à l’honneur :Stellio, Eugène Delouche, Sam Castandet…souvent leaders et compositeurs, ils ont le même statut que les accordéon [...]

  • « A first class talent » par Dirty Linen
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    This award-winnig double album, which comes with a limited-edition lithograph signed by the artist, features 36 tracks and includes a 64-page booklet (in French). The album traces the career of a singer, musician, percussionist, bandleader, and painter who has had a long and illustrious career. Over the years Guédon, who is originally from Martinique, has released a couple of dozen albums that fuse jazz with rythms from Africa and the West Indies. The tracks on Retrospective, most of which were composed by guédon, date from 1972 to 1992, although they are not presented chronogically. There may not be a whole lot of variety but Guédon is a first-class talent, and some tracks do stand out as being particularly distinctive. « Mazurka tropical » and « Neg Macouba » are two of them.Henri GUÉDON – DIRTY LINEN

  • « Trente-six chandelles » par Percussions
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    Henri Guédon est-il un peintre qui joue des percussions ou un percussionniste qui fait de la peinture ? Question stupide car , H. G. – comme Daniel Hummair et bien d’autres – ne fait pas les choses à moitié. Merci aux éditeurs d’avoir pris l’initiative de ce double album dont le livret (64 pages en français, è » photos, une lithographie tirée à 6000 exemplaires) pourrait bien vous couper le souffle. Mais Henri Guédon méritait cela. Les trente-six morceaux fixés sur les deux disques vous en feront voir trente-six chandelles. On y retrouve certaines des plages des LP que nous avons tant aimés : « Afro-Blue », « Le Retour », « Afro-Temple » et sans doute quelques inédits. Á l’écoute, on prend conscience des talents – j’allais écrire de la palette – d’Henri Guédon. Cela ne va pas également sans surprises (heureuses). Quel artiste !PERCUSSIONS

  • «Le chantre percussioniste » par Les Inrockuptibles
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    L’homme qui est l’objet d’une double rétrospective – de son vivant ! – vient des Antilles françaises, de la Martinique, pays des alizés et du soleil en bleu azur, ce que souffle l’arc-en-ciel musical de ce créateur à l’allure débonnaire. Créateur du mot « zouk » en 1972 avec le disque Cosmo-Zouk, importateur de la salsa sous nos latitudes à la fin de la même décennie – Afro-Caraïbes jazz meeting invitait Andy Gonzales, Mario Riveira, Alfredo De La Fe…-, Guédon marquera les mémoires avec Afro-blue puis Afro-temple, à l’orée des années 80. On y entend le trompettiste cubain Arturo Sandoval, le tromboniste dévergondé Glen Ferris, le saxophoniste boute-en-train Bobby Rangell. Mais s’il a gravé plus de vingt disques sous son nom, ce plasticien a, mu d’une égale curiosité, multiplié les rencontres expérimentales comme cette réunion de deux cents percussionnistes venus du monde entier, ce poème symphonique dédié à Aimé Césaire en Avignon en 1988, ou encore cet hommage à Toussaint Louvert [...]

  • « Ça zouk à Vincennes » par Télérama
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    La maison Frémeaux a deux casquettes : elle produit des disques de jazz et de chansons populaires et vend des estampes modernes et contemporaines. Il est donc logique que, après une exposition consacrée aux dessins et lithographies de Charlélie Couture ou de Daniel Humair, elle accueille doublement Henri Guédon : côté galerie, une exposition de ses dessins et peintures, côté musique, un double CD. Ça zouk à Vincennes…TÉLÉRAMA

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