<< 1 ... 665 666 667 668 669 >>
  • Tout a commencé par un petit bout d'os... par Télérama
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Tout a commencé par un petit bout d’os tout con, une écaille de squelette qu’un coup de hache malencontreux venait de projeter sur la neige alors qu’il creusait la terre gelée à la recherche d’une éventuelle carcasse de mammouth. “Bof !” s’est dit Bernard Buigues, mais il a enveloppé dans un Kleenex le petit bout d’os tout con, et mis le machin dans sa poche, on ne sait jamais.Ça faisait plusieurs années que Bernard Buigues fréquentait la région de Khatanga et que les autochtones essayaient de lui vendre des bouts de mammouth. C’est bien joli, les bouts de mammouth, mais, selon ses propres termes, ça ne “[l]e branchait pas plus que ça”. Quant à se lancer sur la piste du mammouth, ce n’était pas une petite entreprise. Il faut imaginer Khatanga, bourgade perdue aux confins de la Sibérie. Du temps de l’Union soviétique, cette base navale qui ouvre sur l’océan Glacial arctique avait une certaine importance stratégique, militaire et scientifique. Classée secret défense, interdite aux [...]

  • On s'amuse et on se trémousse par Ecouter Voir :
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Après l’invasion allemande et la défaite de juin 40, l’orchestre swing de Ray Ventura se replie en zone libre. Mais la propagande antisémite y est de plus en plus virulente et Ventura, d’origine juive comme plusieurs de ses musiciens, se sent menacé. Il saisira la première occasion, en novembre 1941, pour quitter le pays avec une bonne partie de ses musiciens et aller chercher fortune sous des cieux plus cléments. Ce disque est le témoignage sonore de cette aventure chaotique qui conduira l’orchestre au Brésil, en Uruguay, au Chili et en Argentine. La confrontation directe avec les rythmes de la musique populaire latino-américaine enrichira la formation quand elle se reconstituera en France après la Libération. Les vingt faces reproduites ici, d’une qualité technique assez inégale, ont un petit côté “musique typique” qui ne rend pas vraiment justice au swing de l’orchestre. Mais il ne faut pas bouder son plaisir, car on s’amuse et on se trémousse, et puis ce sont des pièces rare [...]

  • FFF Télérama
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Parmi les “Collégiens” du chef d’orchestre Ray Ventura figurait… Henri Salvador. Pour fuir les lois racistes et antisémites de l’occupation allemande, Ray Ventura (qui était juif) réussit in extremis, en novembre 1941, à entraîner son orchestre au Brésil et en Argentine. Son swing francophone pour grandes formations façon années 30 (Tout va très bien madame la marquise, Les Chemises de l’archiduchesse) se colore alors d’exotisme à base de tchic-tchic-tchic-boum-boum. Cela donne un pimpant Rio de Janeiro pour trombones, tambourins et maracas, chanté en portugais d’une voix glamoureuse à souhait ; et toutes sortes de sambas et de fox-trot instrumentaux dont les arrangements romantico-solennels sonnent savoureusement rétro.Les refrains sont chantés en français, en anglais ou en espagnol par des voix doucereuses à la Frank Sinatra ou roucouleuses à la Maurice Chevalier. Et puis, il y a l’inimitable timbre caressant (il n’a pratiquement pas changé soixante ans plus tard) d’Henri Salv [...]

  • Les Collégiens témoignent d'une époque par Le Monde
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Ray Ventura et ses Collégiens, fuyant la guerre et l’antisémitisme, firent une escale prolongée en Argentine et au Brésil entre 1942 et 1944. Frémeaux & Associés publie un CD de vingt titres très swing témoignant de la vitalité de ces virtuoses du jazz français, qui reprennent au passage le classique Tico Tico non fuba. Le pianiste et compositeur Paul Misraki ainsi que Coco Aslan et Henri Salvador étaient du voyage. L’homme à la voix de miel y interprète C’est la première fois, Premier rendez-vous. Du choro brésilien au fox-trot en vogue, les Collégiens témoignent d’une époque. » Le Monde

  • Une France libre loin du front par Nova Magazine
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « L’épopée mal connue de notre big band jazz entre Rio et Buenos Aires enfin exhumée ! Une France libre loin du front, où Ventura, Misraki et leurs potes zazous tirent à vue avec leur arsenal swing : standards cuivrés vitaminés, échappées fox-trot en espagnol de Coco Aslan, thèmes locaux de samba, choro ou boléro avec renforts de musiciens du cru (quel Tico Tico !) et les premiers roucoulements gravés du benjamin de la troupe, Henri Salvador. Beau travail (livret, icono, récup’ des cires) dû à Alain Boulanger pour “the” label fouineur, Frémeaux… » R. Kolpa Kopoul – Nova

  • A l’abri de l’irrémédiable par Platine
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « C’est après dix ans de gloire en France que Ray Ventura et ses Collégiens doivent quitter la France devenue antisémite. C’est ainsi que Coco Aslan, Loulou Gasté, Paul Misraki, Guy Paquinet, Micheline Day… rejoints par quelques nouveaux dont André Ekyan, Hubert Giraud, Alain Romans, et Henri Salvador… réussissent à sortir de France et à prendre le bateau en Espagne en novembre 1941, et ce, après avoir tourné un peu dans le Midi où les incidents se sont multipliés… A peine arrivés à Rio, l’orchestre débute au très chic Casino da Urca où, malgré le niveau de jazz, il faut attendre les imitations de Popeye par Salvador pour que l’ambiance se dégèle. Après quatre mois à Rio, des semaines de tournée au Brésil, l’orchestre se produit en Uruguay, puis en Argentine où ils enregistrent même pour Odéon de juillet à décembre 1942. Ce sont 9 de ces enregistrements que l’on retrouve ici, des reprises de leurs succès (Fantastique, Insensiblement, Tiens, tiens, tiens) avec, pour la première foi [...]

  • C’est sûr, la magie fonctionne ! par Ecoute
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Paname et ses titis, sa tour Eiffel, ses bals-musettes, ses p’tites femmes de Pigalle… Ce double CD vous convie à un voyage sentimental, du Paris nostalgique des années folles jusqu’à celui de l’après-guerre. 36 chansons à la gloire de la Ville lumère sont chantées par des voix connues et moins connues. Vous entendrez Joséphine Baker, Maurice Chevalier, Fréhel, Arletty, Mistinguett, Charles Trenet et – bien sûr – Edith Piaf. C’est tout juste si l’on n’entend pas grincer les sillons. C’est sûr, la magie fonctionne ! » Ecoute

  • Des chansons de toujours par L'Alsace
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Paris, c’est connu, est la plus belle ville du monde. En tout cas, on l’a chanté sur tous les tons. Voici une sympathique compil où l’on retrouve Fréhel et Paris la nuit, Arletty et A la Villette, Georges Ulmer et Pigalle, Trenet et Ménilmontant, Piaf et Paris. Tout simplement. Des chansons de toujours. A Fredonner. » L’Alsace

<< 1 ... 665 666 667 668 669 >>