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  • « Précieux pour notre éducation » Ministère de l'Eduction nationale
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    « En dressant un panorama des initiatives publiques, privées et citoyennes visant à préserver et adapter nos forêts, votre livre constitue une ressource utile pour tous ceux qui chérissent ce bien commun, et montre à quel point le fameux mot de Colbert est toujours d’actualité : « La France périra faute de bois », c’est-à-dire de forêts. (…) Votre ouvrage sera précieux pour notre éducation au développement durable ! » Nicole BELLOUBET – MINISTRE DE L’EDUCTION

  • « C’est un témoignage de première main ! » par France Musique
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    « C’est un témoignage de première main ! L’humour, le goût du saute-mouton et du coq-à-l’âne, la traversée du siècle, les considérations musicales et les anecdotes personnelles : il n’y manque rien. Tout ce qui vient de Martial Solal est solalissime. Et comme Martial est notre plus grand musicien de jazz vivant, c’est indispensable. » Arnaud Merlin (France Musique)

  • « Un tableau d’une incomparable richesse » par Classica
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    Ray Charles fut incontestablement l’une des grandes voix du XXe siècle. Le projet de Joël Dufour se divise logiquement en deux parties : son inspiration (les sources) et son influence. Ainsi les quatre premiers CD couplent la version d’origine et celle de Ray Charles ; exemples : « Georgia on My Mind » par Billie Holiday ou « Let The Good Times Roll » par Louis Jordan, repris par Ray Charles. Quant à l’influence, les trois CD suivants inversent le sens ; exemple : le « What’d I Say » de Ray Charles est suivi de ceux de Clyde McPhatter, Jerry Lee Lewis, Sandy Nelson et The Drivers (on connaît même la version francisée de Richard Anthony). Voici donc l’occasion unique de découvrir les racines et les effets musicaux d’une des voix américaines les plus remarquables et de concevoir un tableau plus complet de son incomparable richesse. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « L’un des derniers remparts contre l’oubli » par Alain Pailler
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    « (…] Le jazz possède une histoire et celle-ci, désormais, n’existe plus au regard des jeunes générations que grâce à la politique éditoriale de Frémeaux & Associés. Vous devez être l’un des derniers remparts contre l’oubli quasi définitif dans ce domaine. Idéalement, j’aurais souhaité qu’un magazine censément spécialisé comme Jazz Mag accorde à l’histoire du jazz l’intérêt que vous lui prêtez depuis toujours, en particulier grâce à la collection The Quintessence. Sans votre travail de préservation, qui aujourd’hui pour consacrer la moindre étude à des musiciens comme King Oliver, Jelly Roll Morton, Fletcher Henderson, Michel Warlop, Martial Solal, etc? Plus le temps passe et moins ces noms-là disent encore quelque chose à la plupart des gens qui prétendent aimer cette musique. Notez que l’on pourrait en dire à peu près autant s’agissant de la littérature française. Malherbe, Boileau, Maurice Scève, Louise Labbé, Théophile de Viau… qui se souvient encore d’eux ? » Par Alain PAI [...]

  • « Une pépite » par Paris Move
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    « La violoniste Mathilde Febrer a parfaitement accompli la mission qu’elle s’était fixée, rendre hommage à la figure tutélaire du violon jazz qu’était Stéphane Grappelli (1908 – 1997) dès le premier album sous son nom! De formation classique et convertie au jazz depuis longtemps (Daniel Colin, Alexandre Lagoya, Charles Aznavour, Claude Bolling, Led Zeppelin, Renaud, Henri Salvador, Rodolphe Raffalli ou encore Sanseverino), elle produit son premier album sous la direction artistique du producteur Kenichi Takahashi pour le label Respect Records. Elle est accompagnée par Alain Jean-Marie au piano, Yves Torchinsky à la contrebasse, Julien Charlet à la batterie, Jean-Marie Ecay à la guitare, Samy Daussat à la guitare manouche et Christophe Lampidecchhia à l’accordéon. Un petit clin d’oeil à la Partita N°1 de J.S. Bach, quelques incontournables du Maître lui-même, Les Valseuses, Milou en mai, des standards qu’il affectionnait, I’ll Remember April, The Jitterbug Waltz de Fats Waller, des [...]

  • « Doit figurer en bonne place dans les discothèques des mélomanes ! » Paris Move
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    « Le choro souvent comparé au jazz brésilien séduit par sa finesse mélodique et son caractère latin. A travers son nouveau projet le Paris Cadjo Club marie choro et swing créant ainsi un lien entre les cultures de Paris et de Rio. Ils revisitent ainsi les classiques de la samba et de la bossa nova et les agrémentent d’une touche manouche. Il convient tout d’abord de présenter deux nouveaux guests qui viennent s’ajouter au sextet agrémenté de nouvelles têtes, celles d’Hélène Argo au chant et d’Aurélie Tropez à la clarinette. Yamandu Costa, guitare 7 cordes sur Choro N°1 d’Heitor Villa Lobos, 1920 et Alexis Lambert, accordéon sur Lamenios do Morro d’Anibal Augusto Sardinha (Garoto), 1950 et sur Ternura de Sebastiao de Barros, 1977. Les autres membres du sextet sont Christophe Davot, guitare, chant, mandoline, whistle, Jean-Yves Dubanton, guitare et chant, Eric Fournier, guitare et Laurent Vanhée, contrebasse. La grande nouveauté étant le chant sur 8 des 14 morceaux. Comme vous l’aur [...]

  • « Le Brésil vu par le prisme de la musique manouche » par TSF Jazz
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    « Le Brésil vu par le prisme de la musique manouche ? C'est le pari fou du Paris Gadjo Club mené, entre autres, par la clarinettiste Aurélie Tropez et le guitariste Christophe Davot. Dans leur troisième disque, ils donnent au choro brésilien de nouvelles (et belles) couleurs. » Par TSF JAZZ

  • « Cette galette caresse les sens autant qu’elle les échauffe » Paris Move
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    « On l’a découverte voici deux ans à peine avec son magistral “Children of The Night – Tribute To Wayne Shorter” (chroniqué ICI), et la Maison Frémeaux réédite à présent son tribute to Johnny Alf (19 mai 1929 – 4 mars 2010), précurseur méconnu (du moins de ce côté-ci de l’Atlantique) des grands maîtres de la bossa moderne que furent Joao Gilberto et Antonio Carlos Jobim. Sur les traces de Stan Getz et Sarah Vaughan en pareil équipage, l’ensorceleuse Manu et le saxophoniste Idriss Boudrioua (épaulés par les ivoires frétillantes d’Alberto Chimelli, la contrebasse alerte de Sergio Barrozo et les baguettes virevoltantes de Rafael Barata, ainsi que par deux flûtistes) déroulent dix envoûtantes adaptations du répertoire de Alf. Tour à tour irrésistiblement dansante (“Ceu E Mar”, “Rapaz De Bem”, “Seu Chopin”) et langoureuse (“Eu E A Brisa”, “Ilusoa A Toa”, “Quem Sou Eu”, “O Que E Amar”, “Nós”), voire les deux à la fois (“Fim De Semana”, et ce “Tema Para Idriss” où le piano de Chimelli tu [...]

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