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  • « L'étude d'un style » par La Revue du Jazz
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    Depuis longtemps le label Frémeaux & Associes a développé avec bonheur l'art et la manière de construire des coffrets réunissant tout ou partie de l'oeuvre d'un musicien, ou en proposant l'étude d'un style, voire d'une période bien déterminée. Aujourd'hui, c'est le trombone Jay Jay Johnson (1924-2001) qui est présenté. Le natif de Indianapolis (capitale de l'État de I'Indiana) était un musicien talentueux, avec un son tout en rondeur. Il était également compositeur et arrangeur. L'année du centenaire de sa naissance, il entre dans la collection "Quintessence" que dirige Alain Gerber, écrivain, critique de jazz et longtemps homme de radio. La période choisie par les producteurs s'étend de 1945 à 1961. L'après-guerre sera un moment important pour le jazz. Un "virage" va être pris qui modifiera - en partie - l'approche habituelle de cette musique. Les fameux big bands vont, peu à peu, quitter les ballrooms et des petites formations de cing ou six musiciens vont prendre le relai. Une [...]

  • « Cet orchestre si original » par La Revue du Jazz
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    Frémeaux & associés vient de sortir un best of du groupe Pink Turtle. Il s'agit du choix d'une quinzaine de morceaux extraits des trois CD parus chez ce même éditeur en 2008, 2010 et 2012. Le Bulletin s'en est fait l’écho à chaque sortie. Rappelons qu'il s'agit de traiter en jazz des thèmes connus de la pop music, anglaise ou américaine. Rien d'anormal puisque tout peut se traiter en jazz ; l’originalité, ici, consiste dans des arrangements qui se prêtent le plus souvent au swing tout en restant, somme toute, proche des versions originales. Nous retrouvons des titres fort bien interprétés tels Hôtel California, rappelant presque le Count Basie orchestra ; c'est Jean-Marc Montaut le pianiste. Le chœur pourrait même faire penser à Jimmie Lunceford, Christophe Davot jouant les Trummy Young. On peut citer, parmi les réussites, A hard day's night des Beatles ou Get up, stand up, emprunté à Bob Marley, voire Hey jude, enregistré en public. Etant donné la composition de cet orchestre s [...]

  • "L'une des compositions les plus marquantes de Duke Ellington" par TSF JAZZ
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    Nouvelle édition revue et corrigée pour Ko-Ko, Duke Ellington en son chef-d'œuvre, un ouvrage d'Alain Pailler sorti en 2011 et consacré à l'une des compositions les plus marquantes de Duke Ellington. C'est Frémeaux et Associés qui vient de rééditer cet essai qui avait valu à son auteur, à l'époque, le prix livre de l'Académie du jazz. "Dans ce livre, j'ai vu Ellington comme on voit Mozart", affirme à ce propos l'éditeur de l'ouvrage, Patrick Frémeaux, qui met aussi en exergue "la juxtaposition sensible et solaire de la composition, de l'arrangement et de l'interprétation", formant à ses yeux "une une seule et même œuvre". Par TSF Jazz

  • « L’un des derniers géants du jazz » par France Musique
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    À 97 ans, Martial Solal publie son autobiographie et raconte, au fil de ses souvenirs, sa carrière extraordinaire. Compositeur, improvisateur, orchestrateur et ancien producteur sur France Musique, le pianiste nous a reçus chez lui. Entretien exclusif avec l'un des derniers géants du jazz. C’est l’un des plus grands jazzmen, compositeurs, pianistes français, et bien au-delà : une légende vivante de la musique. Il a joué avec Sidney Bechet, Oscar Peterson, Django Reinhardt, Stan Getz, Stéphane Grappelli, Lee Konitz et tant d’autres ! À l’occasion de la parution de son autobiographie « Mon siècle de jazz » chez Frémeaux & Associés, nous sommes ce matin chez Martial Solal. Ce micro que nous lui tendons, il le connaît bien, lui qui a produit, au début des années 1990 et sous l’impulsion de Claude Samuel, une émission hebdomadaire sur les ondes de France Musique, accueillant une centaine de pianistes issus d’une nouvelle génération de musiciens dont beaucoup revendiquaient l’inspirat [...]

  • « Un recueil hautement recommandable » par Paris-Move
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    Disparu le 3 novembre dernier, Quincy Jones laisse en héritage le fruit de sept décennies d’une carrière musicale qui l’aura vu gravir les échelons du succès jusqu’à leur plus haut niveau. Si les média grand public ont surtout célébré l’arrangeur et producteur aux ventes record (il fut en effet l’éminence grise derrière le fameux “Thriller” de Michael Jackson, qui s’écoula à plus de 60 millions d’exemplaires, reléguant ainsi “Dark Side Of The Moon” au rang d’aimable amuse-bouche), l’amateur de jazz ne manquera pas de souligner que “Q” (comme on le désignait dans le métier) débuta modestement aux côtés de Ray Charles, avant d’enregistrer ses premiers singles à vingt ans (lors d’une tournée scandinave en tant que trompettiste de Lionel Hampton), puis d’endosser l’emploi d’arrangeur (et occasionnellement celui de directeur musical) auprès des frangins Dorsey, Sarah Vaughan, Dinah Washington et Cannonball Adderley, ainsi que de Sinatra, Barbara Streisand et Tony Bennett, sans oublier [...]

  • « Une soliste aussi brillante qu'inspirée » par Jazz Magazine
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    Premier album publié sous le nom de la violoniste Mathilde Febrer, cet hommage à Stéphane Grappelli a été produit par le directeur du label Respect Record, le célèbre producteur japonais Kenichi Takahashi. Il rassemble dans des groupes à géométrie variable, des musiciens français venus d'horizons divers, tous dignes d'entourer une musicienne elle-même éclectique : la violoniste a, en effet, reçu une formation classique avant d'être gagnée par le virus du jazz Durant sa carrière, elle a accompagné des artistes aussi divers qu'Alexandre Lagoya, Charles Aznavour, Claude Bolling, Renaud, Led Zeppelin, Henri Salvador ou encore Stéphane Grappelli lui-même. Son engouement pour ce dernier, maître incontesté du violon jazz français, ne date pas d'hier. II se traduit ici par le choix d'un répertoire varié, emprunté à Grappelli. Django Reinhardt, Georges Ulmer, Charles Trenet ou Jean-Sébastien Bach. Sans oublier des compositions de Mathilde Febrer elle- même, qui signe aussi tous les arrange [...]

  • "Indispensable, indeed" par Paris-Move
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    Longtemps considéré comme un sous-genre éphémère, centré sur la période de transition entre le rhythm n’ blues noir originel et l’avènement des groupes vocaux des early sixties, le doo-wop est de fait consubstantiel de ce bouleversement que l’on nomma rock n’ roll à l’orée des fifties aux USA. Pas toujours judicieusement documenté, ce courant (ramené plusieurs fois au goût du jour depuis le “American Graffiti” de George Lucas) fit l’objet de multiples compilations un peu fourre-tout (voire anachroniques), ainsi de “Le Doo Wop, C’est Plus Fort Que Toi”, publié à grand renfort publicitaire en 1992, où se côtoyaient Lee Dorsey, Johnny Adams, Aaron Neville, les Crystals et les Trashmen. Érudit s’il en est de l’histoire des musiques anglo-saxonnes (et caraïbéennes aussi), Bruno Blum tente ici d’y mettre bon ordre, en remontant d’abord aux racines et aux origines de cette déferlante. S’ouvrant sur “Ida, Sweet As Apple Cider” des Mills Brothers (en 1934), ce coffret triple CD (et 72 titr [...]

  • "D’une rigueur et d’une exhaustivité impressionnantes" par Paris-Move
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    Allons enfants de la batterie… Batteur lui-même (et non des moindres), Guillaume Nouaux est déjà l’auteur de “Jazz Drums Legacy” chez 2Mc Éditions, et co-auteur des deux tomes de “La Section Rythmique” chez Frémeaux & Associés. Il nous livre cette fois le fruit de trois décennies de recherches aux sources louisianaises du jazz, et concomitamment, de celle de l’instrument qui en cristallisa les caractéristiques (et s’en avère en quelque sorte le produit dérivé). D’une rigueur et d’une exhaustivité impressionnantes, cet ouvrage ne manque toutefois pas du souffle épique sans lequel tout historien ne peut emporter l’adhésion du lecteur. Car ce que démontre ici Nouaux, par-delà le recensement des origines complexes du jazz en terres créoles vers la fin du XIXème siècle, c’est en quoi l’accouchement sui generis d’un courant musical révolutionnaire préfigure autant qu’il l’accompagne un bouleversement technologique. Issu des brass bands itinérants typiques du folklore néo-orléanais (judi [...]

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