« Elle aime mettre en avant la chanson populaire, et, plus particulièrement, les femmes qui, de tous temps, n'ont cessé de lutter pour la liberté. Après sa trilogie-hommage à Yvette Guilbert et sa mise à l'honneur humoristique des beuglants de la Belle Époque (Café Polisson), Nathalie Joly s'empare cette fois du répertoire des artistes déracinées, de Cuba aux rives méditerranéennes. Accompagnée de sa sœur, Valérie Joly, au chant, et de Thierry Roques au piano, accordéon, et samples, elle revient aujourd'hui nous livrer les chansons d'exil de ces « diseuses ». »
Par Marie-Catherine MARDI - TELERAMA