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“Island rhythms and early strands of jazz!” by Dusty Groove
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“(…) A hell of a clarinet player, and one who effortlessly weaves together island rhythms and early strands of jazz! All of the recordings here were done in Paris during the mid 30s, and provide a great illustration of the way that the crumbling French colonial empire was allowing all sorts of unusual criss-crossing in sound (…) very much in the spirit that would soon become known as biguine! (…)“By DUSTY GROOVE
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“This is quite simply essential” by Blues & Rhythm
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“There is no exaggeration in the title - Fructueux Alexandre a.k.a. “Stellio” was the man for creole music in Paris in the thirties, which was where the biguine craze was centred. (…) The bulk of these songs are lively and upbeat biguines, with the Caribbean elements pronounced, but there is also a marked similarity to vintage New Orleans jazz, superficially at least. (…) If you appreciate the creole music of the French Caribbean, or vintage Caribbean music in general, this is quite simply essential.”By Norman DARWEN – BLUES & RHYTHM
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« Le geste musicien reste indéfectiblement collectif » par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Du geste à la couleur… L’illustration de l’album par deux œuvres de Humair le peintre donne le ton d’une manière propre au batteur d’occuper l’espace et d’y distribuer les motifs. A ceci près que le geste musicien reste indéfectiblement collectif, à l’image de ce tout récent programme où le bugle de Yoann Loustalot transforme le trio en quartette. Si le rythme règne, il n’est pas l’apanage de la percussion, qui suggère l’alternance des formats et des matières : les compositions collectives (« Drum Thing, La Cantonale ») ou individuelles (« Mutinerie » de Portal ou « Heaven’s Gate ») sont reliées par un prologue puis des interludes improvisés parfois très brefs, dessinant une suite aussi contrastée qu’imprévisible. Du chant des souffleurs à l’expressivité habitée, au drive irrépressible du tandem Kerecki-Humair, on ne saurait trop dire lequel soutient, entoure ou colore l’autre. Les mélodies passent volontiers par les toms, comme dans l’introduction du « Send In The Clowns » de Ste [...]
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« Une exceptionnelle virtuosité » par Jazz Hot
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Dans le registre de la musique de Django, voici un excellent enregistrement porté par une culture populaire qui continue de rayonner en Europe par sa qualité et le nombre élevé de musiciens de talent qui la transmettent. Ici, nous avons le très expressif Tcha Limberger, dont le violon semble traduire l’histoire et l’âme de l’Europe, en particulier dans des aigus d’une sensibilité extrême et par une sonorité profonde. L’autre soliste de cette rencontre est Mozes Rosenberg, le frère de Stochelo Rosenberg, une de ces grandes familles tziganes (de Hollande) qui transmet la musique de Django avec une exceptionnelle virtuosité, une qualité totalement maîtrisée pour donner à la musique la plénitude expressive nécessaire. Mozes est donc non seulement très brillant mais aussi parfait de clarté dans ses chorus («Someday You'll Be Sorry»), ses contre-chants («I Surrender Dear»), ses échanges («Topsy») avec Tcha Limberger. La rythmique assurée par le fondamental Sébastien Girardot et par Da [...]
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« Du pur jazz intemporel » par Jazz Hot
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Il s’agit de la réédition du vinyle Jazz Odyssey 012 mais les titres sont placés dans l'ordre du déroulement des deux séances en y insérant à leur place, des morceaux qui ne figurent pas dans le 33 tours original («Three Little Words», «Indian Summer», «Al & Billy Fast Blues») et une prise alternative de «Who». (…) C'est Hugues Panassié qui a eu l'idée de cette séance avec une instrumentation inhabituelle. La réalisation étant déléguée à son fils Louis. Décédé le 8 décembre 1974, Hugues Panassié a eu l'opportunité d'en apprécier le résultat et de rédiger le texte reproduit dans le livret. Le disque est à la hauteur de l'estime qu'il portait à ces trois musiciens (…), loin de toute considération de «figue moisie», propose une musique pure, hors mode. Le swing est paisible dans «Tea for Two» exposé par Al Casey (qui opte pour quelques inflexions à la Django, son guitariste préféré selon Panassié). Dans «St. Louis Blues», c'est Billy Butler qui expose le thème avec des effets music [...]
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« Ces faces deviennent indispensables » par Jazz Hot
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« L'orchestre de Woody Herman, qui survit à son chef, a fait preuve d'une grande longévité et fait mentir le cliché de la fin des big bands après ladite Swing Era. Dans cette période 1939-1962, l’œuvre de Duke Ellington et Count Basie, ainsi que la virgule aussi dynamique que créative du big band de Dizzy Gillespie en 1946-49, nous semblent plus indispensables que celle de Woody Herman (avis non partagé par feu Leonard Feather). L'orchestre n'a d'ailleurs pas un «son» personnel comme ceux signalés et celui de Jimmie Lunceford si l'on excepte la couleur trois sax ténor+1 baryton à partir de 1947. Le clarinettiste Woody Herman, pas ridicule, n'a pas la virtuosité de Benny Goodman et d'Artie Shaw ni l'étrange créativité de Pee Wee Russell. Mais aujourd'hui, où d'infiniment plus virtuoses que ces Herds qui sont pourtant, à leur époque, avec les éléments de Stan Kenton parmi les maîtres de la technique, sont incapables d'émettre un phrasé balancé, ces faces deviennent indispensables. ( [...]
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« L’agencement des titres fait bonne part aux rapprochements et aux contrastes »
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Ce triple CD Frémeaux consacré aux chanteuses-pianistes fait suite au « Jazz Ladies 1924-1962 », centré sur les femmes instrumentistes. Parmi les pianistes, celles qui sont ou deviennent aussi chanteuses grandissent en nombre dans les années 1940, précédées par les pionnières durant les premières décennies du disque. La sélection proposée par Jean-Paul Ricard et Jean Buzelin va du jazz orchestral et du stride au blues de diverses factures, du gospel au R&B et à la chanson-standard. De Cleo Brown à Nina Simone, en passant par Lil Armstrong, Arizona Dranes, Julia Lee, Martha Dais, Hadda Brooks, La Vergne Smith ou Blossom Dearie, l’agencement des titres fait bonne part aux rapprochements et aux contrastes. En 1938, Lil Armstrong n’est plus aux côtés de Louis le Grand, mais elle chante d’une voix nette à la tête d’un Swing Orchestra où l’entourent des musiciens du calibre de Buster Bailey et Wellman Braud, ce qu’elle fera encore en 1961. Julia Lee, cette perle de Kansas City, ne déçoi [...]
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Une belle redécouverte lettre de Colette Delerue à Frémeaux & Associés
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Un exemplaire de votre envoi vient de me parvenir à Los Angeles. Bien que connaissant son contenu par nos échanges, son écoute m’a été une belle redécouverte. Je n’ai pas en tête toutes les musiques de Georges (il en a tellement écrit) et, même pour moi, votre travail de résurrection est important. Il m’emmène à la rencontre musicale d’un Georges jeune que je ne connaissais pas en tant qu’être humain bien qu’évidemment, j’avais vu sur grand écran dans les salles obscures presque tous les films de ce coffret auxquels il a participé. J’espère que les jeunes générations apprécieront non seulement la musique de Georges mais aussi votre rôle de transmetteur. Grand et joyeux merci à vous. Vous avez fait un beau travail. Il y faut de l’amour et de l’abnégation. » Colette DELERUE - 21 03 2021