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“A fine addition to his large discography” Los Angeles Jazz Scene
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“[…]After producer Norman Granz introduces the group, the classic John Coltrane quartet performs a hard-swinging version of “Mr. P.C,” (which gives each of the musicians an opportunity to solo), a relatively concise “Everytime We Say Goodbye” (the only number that is under 15 minutes), “Impressions” and “My Favorite Things.” While the performances do not offer any new revelations about Coltrane and his sidemen, those fans who love his music and want new versions of his repertoire will particularly enjoy this fine outing, available from www.fremeaux.com. All of the musicians get to stretch out with John Coltrane in typically brilliant form on tenor and soprano, making this a fine addition to his large discography.By Scott YANOW – LOS ANGELES JAZZ SCENE
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“Some of the arranger’s most significant music” Los Angeles Jazz Scene
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“During a musical career that has now exceeded 70 years, Quincy Jones has had quite a few accomplishments. However I suspect that among his proudest achievements were his big bands of 1960-61.(…) The previously unreleased performances from the big band’s Paris concert of Mar. 14, 1961 have now been made available on this fine CD. Performing Jones’ arrangements are 18 top-notch musicians (…) While it is a shame that the Quincy Jones Big Band did not survive past the summer of 1961, it is fortunate that recordings such as this fine outing have lasted, letting one hear some of the arranger’s most significant music.”By Scott YANOW – LOS ANGELES JAZZ SCENE
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« le lien entre l’abstraction picturale et l’abstraction musicale » par Citizen
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Un immense batteur, en l’occurrence Daniel Humair, autour duquel se trouvent Stéphane Kerecki et Vincent Lê Quang, trio de base pourrait-on dire, auquel est venu s’adjoindre Yoann Loustalot : c’est ainsi qu’on pourrait de prime abord qualifier ce disque. Quatre brillants musiciens qui travaillent ici une matière donnée par Humair. Matière sonore et picturale, en l’occurrence, puisque le batteur est également connu pour manier les pinceaux. D’ailleurs le label – Frémeaux et associés – est également une galerie d’art qui a exposé des œuvres d’Humair et le texte de présentation de l’album est signé Patrick Frémeaux.Bien entendu, on serait tenté de faire le lien entre l’abstraction picturale et l’abstraction musicale et on aurait raison. Drum Thing, cette chose batterie dont l’intitulé témoigne d’un objet d’art, est en effet constitué de quatorze pièces au sein desquelles on trouve cinq interludes, un prologue et un épilogue qui structurent ce disque. Si les autres morceaux – « Drum [...]
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« Un gros “coup de coeur”! » par Paris Move
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Daniel Humair à la batterie, Stéphane Kerecki à la contrebasse, Vincent Lê Quang aux saxophones ténor et soprano et Yoann Loustalot au bugle ont enregistré au Studio Voodoo Child cet album les 2 et 3 juillet 2020. Toutes les compositions sont œuvre plus ou moins collective des musiciens, à l’exception de deux reprises : “Mutinerie” du musicien compositeur basque Michel Portal et “Sends in the Clown” du compositeur parolier américain Stephen Sondheim. Avec le batteur Daniel Humair agissant comme un chef d’orchestre qui laisse au gré de la section rythmique les préposés aux cuivres divaguer et improviser, on comprend tout de suite pourquoi ladite section a de l’importance. Ce n’est d’ailleurs pas le fruit du hasard si les deux producteurs de l’opus sont justement ceux qui composent celle-ci! Un opus réalisé non pas comme une suite (de très grande qualité) de titres, mais comme “un tout”, puisque ce superbe album est composé d’un “Prologue” et d’un “Epilogue” avec, entre le début e [...]
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« Daniel Humair offre un quatrième côté à son triangle » par France Musique
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Pour “Drum Thing” qui sort chez Frémeaux, Daniel Humair offre un quatrième côté à son triangle. Yoann Loustalot rejoint le trio du batteur avec Stéphane Kerecki et Vincent Lê Quang. »Par Alex Dutilh – France MUSIQUE
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« Le clarinettiste qui a illuminé les nuits parisiennes »
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Le clarinettiste qui a illuminé les nuits parisiennes pendant les années 1930. (…) Son jeu a inspiré tous les clarinettistes du jazz d’après-guerre à Paris. Jazz au trésor de la semaine. » Par Alex DUTILH – FRANCE MUSIQUE
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« Il faut se plonger, corps et âme dans ces enregistrements. » par Le Souffle Bl
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Se souvient-on que la culture française s’est alimentée de bien des façons des cultures créoles ? La langue comme le soulignait Aimé Césaire mais, pour le Paris des années 1920-30, la musique avec, notamment, le clarinettiste martiniquais Alexandre Stellio (1885-1939), créateur de la Biguine. S’appeler pour l’état civil Alexandre Fructueux ne pouvait qu’être le prémisse d’une vie orientée vers le don de soi en construisant une musique du bonheur et de la transe.Le coffret de 4 CD publié par Frémeaux et associés permet de retrouver les filiations des musiques actuelles. L’influence des cultures antillaises a longtemps été sous-estimée dans les affluents du jazz, notamment en France. Pourtant, longtemps « La Cigale » a été le temple de ces musiques. Elle a permis de faire naître un genre particulier qui inondera les années 50 et les débuts de la décennie d’après, les orchestres typiques comme les chanteurs qui utilisent cette veine, comme Dario Moreno par exemple. Aux États-Unis, [...]
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« Il exprime toute sa fougue, tout son dynamisme » par Le Souffle Bleu
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Les années 1950, en France et aux États-Unis notamment se verront submerger par les rythmes afro-cubains et par les danses comme la rhumba, le cha-cha, le calypso, la samba… Il sera question d’orchestres typiques pour qualifier cette vogue en France. Un chanteur personnifie la folie de ère : Dario Moreno. La chanson qui fera de lui une star, « Si tu vas à Rio » reste à jamais l’emblème de l’époque. De temps en temps, la mémoire de ces musiques, de ces danses refait surface et c’est reparti pour la grande fête du corps. La collection « Live in Paris » permet de le retrouver là où il exprime toute sa fougue, tout son dynamisme : la scène. C’est la meilleure manière de le découvrir comme ses chansons qui ont marquées notre histoire culturelle. Dario faisait venir les foules dans ses récitals, il savait galvaniser le public. Même sans l’image, il est facile de l’imaginer sur des scènes dont certaines ont disparu comme Bobino. Ne boudez pas votre plaisir. »Par Nicolas BENIES – LE SOU [...]